Marquise De Corneille

Saint-Amant. Tristan l’Hermite. (p.17) 5.Le roman et la nouvelle dans la première moitié du XVIIème siècle. L’influence espagnole. Honoré d’Urfé. Charles Sorel. (p.21) 6.Les mouvement des idées. Descartes. Pascal. (p.23) 7.L’essor du théâtre. Corneille. (p.29) 8.La préciosité. Voiture. Mlle de Scudéry. (p.34) 9.Molière. La comédie « à l’espagnole ». (p.36) 10.L’appogée du classicisme. Boileau. Racine. La Fontaine. (p.41) 11.Le roman et la nouvelle dans la 2e moitié du XVIIème siècle. Mme de

d’Autriche, mais il aime séduire et visite quotidiennement ses favorites. A l’époque du récit, la première favorite du roi devait être la marquise de Montespan. Ensemble ils eurent six enfants légitimés. Avant elle, le roi eut pour favorite Louise de la Vallière de 1661 à 1674 avec qui il eut quatre enfants, dont deux survécurent et furent légitimés. Après la marquise, le roi se rapprocha de la gouvernante des enfants qu’il avait eu avec Madame de Montespan, Madame de Maintenon. Il l’épousa même en secret

supérieurs (= même rapport à l’objet) ; mais à la fois, la tragédie peut être rapprochée de la comédie, car les deux mettent en scène des personnages en action (= même rapport au mode). ► Corneille, Trois discours sur le poème dramatique Importance des préceptes aristotéliciens sur la tragédie du XVII°. Pour autant, Corneille tout en élaborant sa pensée sur ce modèle antique, justifie un certain nombre d’écarts, par la nécessité d’un réajustement au goût de son siècle. Ainsi la combinaison à quatre termes

François de la Rochefoucauld, contemporain de Corneille, est encore un personnage de l’époque de Louis XIII, romanesque, amoureux de l’intrigue, téméraire, il ne renonce à l’action qu’après une trentaine d’années d’agitation aussi brouillonnes que vaines. A partir de 1658 commence dans le cercle jansénisant de Madame de Sablé, l’élaboration du recueil qui va assurer la gloire à La Rochefoucauld. Il s’agit d’une véritable joute mondaine, où les hôtes de la marquise allient pénétration psychologique et concision

L'expérience de la durée. Le temps en poésie Guillaume APOLLINAIRE, «Que lentement passent les heures» A la santé, dans Alcools, 1898-1913. Charles BAUDELAIRE, «L’Horloge», dans Spleen, 1862. «L'Horloge», dans les Fleurs du Mal, 1857. CORNEILLE, « Stances à Marquise», 1658, suivi de la réponse imaginée par Tristan Bernard et interprétée par BRASSENS. Alphonse de LAMARTINE, Le Lac, dans Méditations poétiques, 1820. Arthur RIMBAUD, Le buffet, 1870. Pierre de RONSARD « Quand vous serez bien vieille

moment qui passe »). ● Relations avec d’autres œuvres de l’auteur : Un autre poème célèbre de Ronsard, Quand vous serez bien vieille, utilise le même thème. ● Œuvres connues influencées par l’Ode à Cassandre : - Stances à Marquise, de Pierre Corneille. - Remords posthume, de Charles Baudelaire. - Si tu t’imagines, de Raymond Queneau. VI. Les figures de style. a) Les figures d’équivalence. ● Comparaison : « son teint [comparé] au vôtre

dmasquer. -Elle veut que sa fille pouse lhomme quelle aime Clonte. 7-Quest-ce qui, en Dorimne, attire surtout M. Jourdain Daprs Dorante, que doit faire un homme pour conqurir une femme Partagez-vous cette opinion Expliquez pourquoi. Le fait quelle soit marquise. Daprs Dorante, une femme sachte par des cadeaux, par les dpenses que lon fait pour elle. (l.46-53) 8-Comment Mme Jourdain conoit-elle le gendre idal Et M. Jourdain Mme Jourdain pense quil doit tre du mme niveau social que sa belle famille. Il

emploi étonnant de l’alternance discours-récit en plein poème, puis par 3 des images choquantes, pour enfin lui donner un avant-goût, dans la forme, de ce que sera sa funeste éternité. Après Horace, après Ronsard à Cassandre, après Corneille et ses Stances à Marquise, l’on a ici un carpe diem paradoxal, du moins inédit : à défaut de rassurer et de revigorer (ce qui était l’essence du carpe diem d’Horace par exemple), ce carpe diem –là alerte. Quand Baudelaire devrait rassurer, il inquiète. Mais le

première parution, sont rendues publiques les Lettres à Madame la Marquise interrogeant de façon critique La Princesse 4 de Clèves. Á l’époque, on soupçonne que l’ouvrage est écrit par le Père Bouhours (1625-1702), critique et éducateur des princes de Longueville. La tradition veut désormais qu’il soit l’œuvre de JeanBaptiste Henry de Trousset de Valincour. Ce recueil consiste en trois lettres fictives adressées à une marquise qui les aurait demandées à leur auteur. Le propos est d’examiner

suivant la mode de l'époque. Il pensionne de nombreux poètes, comme Corneille (2000 livres par an), Scarron (1600 livres) ou encore Gombauld (1000 livres), et protège les sculpteurs François Anguier, son disciple François Girardon, Thibaut Poissant et Pierre Puget. Sa générosité à l'égard des artistes en fait l'un des mécènes les plus puissants de France, bien devant le cardinal Mazarin et même le roi. En remerciement, Corneille dédie son Œdipe (1659) au surintendant, « pas moins [celui] des belles-lettres