Martin Luther Protestantisme

l’esprit  critique : La traduction de la bible est à la source de la guerre de religions. La parution de l’ouvrage en allemand en 1521 met le texte à la portée de tous mais remet surtout en question l’autorité religieuse. Un moine allemand, martin Luther s’attaque ouvertement à Rome, en dénonçant le luxe et la débauche des évêques et le pouvoir divin du pape. Jean Calvin propose dans la même période une doctrine dans laquelle seule la bible fait autorité. Il est à l’origine de l’affaire des placards

accessible à tous. C'est un énorme succès. Mais à cette époque, commence à s'élever la voix d'un Réformiste, Luther, qui tonne contre les dérives de l'Eglise. Les guerres de religion se profilent à l'horizon. Erasme est sommé de choisir son camp (les Catholiques ou les Evangélistes). En 1521, Erasme s'installe à Bâle et une querelle tant philosophique que théologique s'engage avec Luther. La tension devient trop forte et Erasme fuit à Friboug. Soucieux, comme tout humaniste, de la concorde au sein

théologie à Cambridge. En 1516, son "Nouveau Testament" traduit du grec, dédié à Léon X obtient un très grand succès. Il s'installe à Bâle en 1521 et, en 1524, publie le "De Librio Arbitrio" où il réfute la thèse de la prédestination de Martin Luther qui lui répond en 1525 avec son "De Servo Arbitrio". Auteur prolixe, préférant toujours le texte, et rien que le texte, à l'allégorie chère au néo-platonisme florentin, son influence est immense sur tous les penseurs du XVIème siècle. Il

La Reforme Protestante : Le 31 octobre 1517, les étudiants de Martin Luther affichent sur la porte de l'église de Wittenberg une lettre adressée à Albert de Brandebourg constituée de 95 thèses, écrites par Martin Luther lui-même ou il dénonce le commerce des indulgences, l’avarice des prêtres, l’effet néfaste de l’achat des indulgences (41 :dépense d’argent qui aurait servit a la charité, 45 :perte de la crainte de Dieu...),ainsi que le statut de l’Eglise (61 :le pouvoir du Pape est insuffisant

faiblesse de l’Eglise face un monde laique que l’on peut définir en partie d’ anticlérical car se serait oublier les efforts effectués dans les eglise à cette époque . Dans ces années, un courant potestant « positif » aurait soutenu la montée du protestantisme en Angleterre. De ce fait, l’Angleterre aurait donc ,sans difficulté, accepté la Réforme. Les éventuelles résistances auront été maitiser par le gouvernement soutenue par le Parlement et la population. Cependant cette intéprétation est très

portrait se développe. www.Fiche-Bac-Francais.fr 3) La réforme et les guerres de religion Le retour aux textes antiques et le développement de la réflexion critique ont donné naissance à l’esprit de libre examen. C’est ce que va dénoncer Martin Luther, un moine allemand (1483-1546), il veut réformer le Christianisme et retrouver la ligne stricte de l’Eglise primitive. Excommunié, il assure la diffusion de ses idées. Les Humanistes, eux, sont de tendance évangélique. Lefèvre d’Etaples traduit

Martin Luther, né le 10 novembre 1483 à Eisleben (Saint-Empire romain germanique)1 et mort le 18 février 1546 dans la même ville, est un moine augustin2 allemand, théologien, professeur d'université, père du protestantisme3,4,5,6 et réformateur de l'Église dont les idées exercèrent une grande influence sur la Réforme protestante, qui changea le cours de la civilisation occidentale7. Il défie l'autorité papale en tenant la Bible pour seule source légitime d'autorité religieuse8. Selon Luther, le

La question religieuse : Érasme (1467-1536), hollandais cosmopolite et humaniste traduit le Nouveau Testament en 1516, pour qu'il soit possible d'en étudier le texte sans le poids des commentaires ou des interprétations. Le 31 octobre 1517, Martin Luther (1483-1546) s'indigné devant les indulgences papales, affiche ses "95 thèses" sur la porte d'une église de Wittenberg : il chercher à faire revenir l'église aux premiers principes de la chrétienté et à la débarrasser de l'emprise de l'appareil

pour devenir homme », Comenius III. La montée de la scolarisation & l’émergence de la pédagogie au XVIIIème siècle. 3. Facteur du développement de la scolarisation. a) La réforme & la Contre-Réforme. Fondation : Martin Luther (la Réforme) Pas d’intermédiaire entre l’homme & la parole de Dieu. → Défense de l’éducation du peuple + création d’école élémentaire. Contre-Réforme : réaction des catholiques b) La nécessité éducative. Au XVIIème siècle, l’éducation

des arts. Il faut dire qu'a la fin du XVème siècle, l’église catholique est en crise. En 1509, dans « l’éloge de la folie », Erasme reproche aux fonctionnaires de l’église leur manque d’intérêt pour la religion. Encouragé par les humanistes, Martin Luther, un moine allemand, puis Calvin, aide de Henri VIII, ont dénonce les abus de l’église et de ses représentants. De ces dénonciations est née la reforme protestante qui a donne lieu aux églises épiscopales, luthériennes, etc. l'une des conséquences