Martine Aubry

de toute existence. Il s'agit de toute philosophie qui place au centre de sa réflexion l'existence humaine dans sa dimension concrète et individuelle. Rappelons au passage qu'en faisant sienne cette idée, Sartre s'est inspiré du philosophe allemand Martin Heidegger (1889-1976) dans son ouvrage L'Etre et le Néant publié en 1943. Les existentialistes estiment que la liberté est une conquête qui s'impose à tous. Elle ne dépend d'aucun être. Elle est en soi. Donc pour la rendre manifeste il faut s'engager

L'éloge de la folie est publiée en 1515. Dans cet ouvrage Erasme critique un certain nombre de profession comme les théologiens , les maîtres , les moine , le haut clergé et les courtisants. Erasme crée donc le premier grand programme européen en matière d'éducation supérieure. Ce programme devient un grand succès. Il consiste à mobiliser les étudiants et les enseignants dans l'Union européénne. La République des lettres : Erasme est le représentant de cette république car c'est un grand connaisseur

mode de l’être-avec-autrui.» Martin Heidegger, Être et Temps Quel homme peut se vanter de n’avoir nul besoin de l’autre durant sa destinée ? Que l’on veuille ou non, le destin de tout homme est marqué par l’empreinte de l’altérité. L’être de l’homme est en partie prenante avec autrui, d’où le mode être-avec-autrui prend une signification capitale pour toute existence menée solitairement ou socialement. Le philosophe allemand de la première partie du XXe siècle, Martin Heidegger, a pris le parti

s'adressant directement à Dieu[5]. À sa suite, l'humanisme chrétien touche exclusivement les pratiques ecclésiastiques, et non pas la religion. À ce titre, les humanistes sont en partie à l'origine de la Réforme protestante du XVIe siècle introduite par Martin Luther en Allemagne et Jean Calvin à Genève. En 1524, Érasme se lance dans une controverse avec Luther en publiant Essai sur le libre-arbitre. Le réformateur allemand y répond par l' Essai sur le serf-arbitre. Les débats portent sur la liberté de

certains tentent de réformer l'Eglise pacifiquement. D'autres, plus radicaux, prennent le relais.L'Eglise catholique est très riche et les papes s'occupent davantage de politique et d'œuvres d'art que de religion.La Réforme commence avec l'action de Martin Luther, un moine allemand qui, en 1517, dénonce les abus de l'Eglise et de ses représentants. Il affirme aussi que chacun est seul face à Dieu, sans autre intermédiaire que la Bible, ce qui rend inutile l'existence des prêtres et du pape. Luther est

vit plus sous les principes qu’elle impose à ses fidèles. >> création du purgatoire, argent pour aller au paradis … Problèmes de morale L’homme réfléchit et se pose des questions sur la Bible Mais l’Eglise refuse de se remettre en question. Martin Luther Moine, Allemagne. Ses idées : - Le pape ne peut prendre de décisions concernant le devenir des âmes. - Remise en cause de l’immaculé conception - remise en cause culte des saints - seule la foi peut sauver Idées confirmées par Jean

en cause de l’autorité de l’Eglise ne se limite pas aux querelles scientifiques. Les Humanistes contestent l’Eglise et le clergé : le haut clergé (sa richesse et sa compromission avec le monde politique) et le bas clergé (mal encadré et ignorant) Martin Luther, dans son livre critique l’Eglise et fonde le protestantisme, réforme du christianisme plus respectueuse du message chrétien conformément aux Evangiles. Il refuse l’autorité du pape et conteste le rôle d’interface de l’Eglise entre l’homme

Dans le contexte t de la Grèce antique en -500 av JC, certains philosophes se sont questionner sur la notion de la réalité. Or la question : «qu’est-ce que le réel?» décortiquons premièrement la question. La définition de l’être est : « le fait d’être, l’existence.» et le réel définie par : « qui existe ou à exister vraisemblablement.» Puisque le sujet est l’existence (être) les thèses précédemment présenter relève de la métaphasique. D’autre part, la première thèse présentée est celle d’Héraclite

Martin Luther et Jean Calvin La réforme Encouragés par les idées des humanistes certains tentent de réformer l'Eglise pacifiquement. D'autres, plus radicaux, prennent le relais. A la fin du XVe siècle, l'Eglise catholique est en crise. Elle est très riche et les papes s'occupent davantage de politique et d'œuvres d'art que de religion. La Réforme commence avec l'action de Martin Luther, un moine allemand qui, en 1517, dénonce les abus de l'Eglise et de ses représentants. Il affirme aussi que

le baptême. Pas de hiérarchie, tous capable de comprendre le discours de Dieu. Les chrétiens sont tous prêtres L'autorité de la seule Bible : Toute la parole divine et rien que la parole divine. Les saints n'ont aucun sens. Culte marial refusé Martin Luther va se faire excommunier. Le luthéranisme se développe essentiellement dans le Nord de l'Europe Jean Calvin (1509-1564) = Français (Picardie, Noyon), 2nd grand réformateur Institution de la religion chrétienne. Texte qui sera publié en