Martyrs de Lyon

DELAITRE SAS L'ILE AUX TRESORS VOGUE CHAUSSURES BOTTE ROUGE PLACE DES CREATEURS GROUPE PALLUAU BOUYER CHAUSSURES VYTALYS EURL IVOIRE CLYDE Adresse 8 RUE ALEXANDRE BERARD 37RUEFOCH 14 RUE MARECHAL FOCH RESIDENCE DE LA POSTE - 330 GRANDE RUE 31 RUE DE LYON 49 GRANDE RUE 4 RUE DE LA CHAUSSEE 2B PLACE EMILE VILLEMANT 16 RUE CHATELAINE 22 RUE ST CHRISTOPHE 23 RUE CROIX BELLE PORTE 28 RUE EMILE ZOLA 6 PLACE DE L EGLISE 24 RUE DES COUTELIERS 20 RUE PRESIDENT WILSON 25 RUE CLEMENCEAU 36 BOULEVARD GASSENDI

Malraux, la Résistance a un caractère essentiellement militaire. C’est le sens du parallèle esquissé entre le héros de la 2e DB, le général Leclerc (enterré aux Invalides en 1947, maréchal de France à titre posthume en 1952) et Jean Moulin, héros-martyr d’une armée de l’ombre : au même titre que les Forces françaises libres, la Résistance intérieure a combattu une puissance occupante pour « la survie de la France ». La mémoire gaulliste de la guerre s’attache à commémorer une France victorieuse et

défenseurs (147) seront fusillés contre le mur des fédérés au cimetière du Père-Lachaise (27 mai) 28 : Dernière barricade tombe ( 30 000 morts, 40 000 déportés en Nouvelle-Calédonie Dans le même temps, les autres communes de France sont écrasées (Lyon, Marseille, Le Creusot, Toulon, Narbonne, Saint-Etienne qui a été la seule ville avant Ajaccio, à tuer son préfet) La République ne sera pas non plus sociale. Thiers l’emporte avec ses valeurs d’ordre et de république autoritaire. Victor Hugo dira

père Florent (Florentius), d'une famille aristocratique arverne : son père et son grand-père Georgius (ou Georgins) avaient été sénateurs, et son oncle paternel Gallus ou saint Gal Ier, évêque de Clermont. Par sa mère, il est apparenté aux évêques de Lyon Sacerdos et saint Nizier d'une part, et aux évêques de Langres Grégoire et Tetricus d'autre part. C'est d'ailleurs de Grégoire de Langres qu'il tient son troisième nom, celui par lequel il est connu. Leurs prestiges venant de deux faits, d’une part

 la  science  du  droit     Document   7  :     Philippe   JESTAZ,   «  Pour   une   définition   du   droit   empruntée   à   l’ordre   des   beaux-­‐‑arts  »,  Mélanges  Marty,  p.  480.   Document   8  :   Henri   BATIFFOL,   «  Observations   sur   la   spécificité   du   vocabulaire   juridique  »,  Mélanges  Marty,  p.  35.   Document  9  :          Gérard  CORNU,  Vocabulaire  juridique,  coll.  Quadrige,  PUF  (extraits).   Document  10  :      Alphonse  DAUDET,  extrait  de  l’acte  d’achat

conviction profonde, de ses croyances (au sens non religieux du terme). En architecture on appelle une confession, une petite crypte. C'est un endroit très étroit où sont conservées des reliques de martyrs. Cette œuvre serait donc comme une crypte où l'on voit les reliques de Rousseau se considérant comme un martyr. Confessions ou confidences ? : Même si Dieu est évoqué dans le préambule, Rousseau s'adresse surtout aux hommes, et l'aveu des fautes n'obéit pas vraiment à une intention religieuse

et d'armes (sabres, fusils) qui évoquent le pouvoir et les succès militaires. Les rameaux de chêne évoquent la durée dans laquelle la république veut s'installer. Au faite de chaque obélisque deux médaillons portent les portraits de deux autres martyrs de la république : le Peletier et Marat. Ces deux héros sont couronnés de lauriers par deux femmes assises dans les nuées. Dans leur autre main, elles tiennent le fil à plomb, symbole de la justice, surmonté de l'oeil de la raison inscrit dans un

fusillés ». Le rôle des communistes ds la Résista intérieure fonde la légitimité nale du parti et remplit les pages de l'Humanité de 45 à nos jours. Le PCF oublie son attitude ambiguë au lendemain du pacte germano-soviétq d’août 39. Il se forge l'image du martyr, inventant le mythe des « 75mil fusillés » communistes, alors que le nbre total de Fçs civils fusillés par les All est de 30mil et que celui des résistants de l'intérieur, tombés au combat est de 20mil. Alors que la mémoire gaulliste veut effacer

référant à un certain nombre d’auteurs (HADDAD G. (1997)3, THILL G., WARRANT F. (1998)4, KERR C. (1982), CHARLE C., VERGER J. (1994)5, El GHARBAOUI A. (1985)6, LAROUI A. (1993)7, SOUALI M., MERROUNI M. (1981)8, RIVET D. (1976)9, BAINA A. (1981)10, MARTY P. (1925)11, AYACHE A. (1997)12, BOUTATA M. (1987)13, BENHIMA (1981)14, MENOUNI A. (1970)15, RADI M. (1995)16, EZZINE M. (1998)17, IBAAQUI L. (1996)18, BERNARD C. (Eds) (1982)19, ASHBY E. (1965)20, MEZOUAR A. (1977)21, GUEDIRA M. (1998)22, BEKKALI

juridictions administratives en août 2002 que le juge retient une appréciation souple de l’urgence et particulièrement favorable au patient. Ainsi, dans l’affaire Feuillatey jugée en août 2002, en première instance par le Tribunal administratif de Lyon puis en appel par le Conseil d’Etat, les requérantes (une patiente transfusée contre son gré et sa sœur désignée comme « personne de confiance » au sens de l’article L. 1111-6 du Code de la santé publique) soutenaient que l'urgence résultait du comportement