Mary Higgins Clark

Mes premières lectures sont arrivés vers l’âge de 6ans quand j’ai su lire, je lisais je me rappelle très bien, Franklin un livre qui parle des aventures du tortue et de ses amis, cette série de livres est écrite par Pauline Bourgeois et par Brenda Clark. Ensuite je m’étais abonné a j’aime lire un magazine pour les enfants de a peu près 8ans, je recevais donc mon magazine toutes les semaines, j’y trouvé des histoires courtes mais très bien et des jeux parfois. J’ai bien sur aussi commencé par des

Jean-Christophe Grangé, "Misèrere" http://livre.fnac.com/a2410014/Jean-Christophe-Grange-Miserere?Mn=-1&Ra=-1&To=0&Nu=1&Fr=0 Harlan Coben, "Mauvaise base" http://livre.fnac.com/a2420547/Harlan-Coben-Mauvaise-base?PID=1&Mn=-1&Ra=-1&To=0&Nu=3&Fr=0 Mary Higgins Clark, "Cette chanson que je n'oublierai jamais" http://recherche.fnac.com/search/quick.do?text=Cette+chanson+que+je+n%27oublierai+jamais&category=book&bl=rera&AID=&submitbtn=Ok Steve Mosby, "Ceux qu'on aime" http://livre.fnac.com/a2516888/Steve-Mosby-Ceux-qu-on-aime

comme dans un roman policier où le lecteur résoud l’énigme ; dans ces romans, le lecteur est acteur car lui aussi imagine que ce soient les décors, l’énigme, ou la suite de l’histoire, et ce jusqu’aux dernières pages comme dans les livres de Mary Higgins Clark par exemple. L’imagination fait aussi passer un message abstrait comme dans Molière : le malade imaginaire ou dans Tartuffe. Molière se moque des défauts humains pour faire rire le lecteur( comme dans l’Avare où il se moque de l’avarice)

air hautain. La lecture a été créée pour la réflexion du lecteur. Jean Guéhenno a dit : « La vraie lecture commence quand on ne lit plus seulement pour se distraire et se fuir, mais pour se trouver. » Ce n'est pas vrai. Prenons la série de Mary Higgins Clark. Aucune réflexion n'est suscitée chez le lecteur, il lit pour se détendre et savourer le fictif de l'histoire. De plus, le roman permet diverses interprétations et imaginations. Nous n'avons donc plus qu'à profiter d'un moment d'évasion. Vraiment

simplifiés et au contraire, peuvent être des « énigmes ». On ne peut, par exemple, s’identifier à Maupassant dans le Horla, car c’est un être perturbé et incompréhensible. Il est de même pour un tueur en série comme dans La Nuit du Renard de Mary Higgins Clark, qui agit incompréhensiblement, et qu’on ne peut comprendre. André Maurois juge qu’un être vivant ne peut être comparé à un personnage de roman. On a vu que cela était vrai dans certains cas tel que dans les pièces de théâtre, dont les personnages

Le Billet gagnant et deux autres nouvelles : Présentation du Billet gagnant 1) Les références du livre -Nom de l’auteur : Mary Higgins Clark -le genre : roman policier -l’éditeur : Magnard -la date de publication : 2006 (pour l’édition Magnard) -la langue d’origine : anglais 2) La trame Je vais vous présentez l’une des trois nouvelles de ce livre intitulée le billet gagnant. -Qui raconte l’histoire ? Un narrateur omniscient raconte l’histoire. -Où et quand se déroule-t-elle ? Elle se

fait, notamment, le succès persistant des romans de Christian Jacq, qui ont pour cadre l’Egypte antique, ou encore des tragédies de Racine, qui prennent leurs sources dans la mythologie grecque et romaine). 2) C’est pourquoi les romans de Mary Higgins Clark ont un tel succès : un suspense bien construit, axé sur le sort de la victime, des personnages stéréotypés et une fin heureuse sont les ingrédients qui assurent au lecteur un moment d’évasion. Dans le roman policier où le personnage principal

terreuse. Les yeux brûlaient, on voyait seulement les trous des bouches noires, chantant la Marseillaise, dont les strophes se perdaient en un mugissement confus, accompagné par le claquement des sabots sur la terre dure. » Le billet gagnant, Mary Higgins Clark Description de Loretta : « Loretta était particulièrement attirante ce soir-là. Ses cheveux blonds vénitiens tombaient en cascade sur ses épaules, son rouge à lèvres framboise mettait en valeur ses grands yeux, et sa poitrine généreuse

simplicité du vocabulaire et de la syntaxe. Il s’agit de retenir l’attention sans exiger un gros effort de concentration. L’espace de quelques heures, le livre joue le rôle d’écran entre le lecteur et son environnement. C’est pourquoi les romans de Mary Higgins Clark ont un tel succès : un suspense bien construit, axé sur le sort de la victime, des personnages stéréotypés et une fin heureuse sont les ingrédients qui assurent au lecteur un moment d’évasion. Dans le roman policier où le personnage principal

welcomed a visit from you even if she didn't call. It's a big change to come home to that empty house, and it's got to be pretty damn lonely for her there. She had plenty of company in prison, even if it was company she didn't appreciate." Mary Higgins Clark We'll Meet Again, (2000) 1) Where does the scene take place ? 2) Name the four characters. Say: a) Whether they are present or just mentioned. b) How they relate to one another, when possible. 3) Tick the two adjectives which best apply