Mary Shelley

ravive le moyen-âge, ou alors Alexandre Dumas – Les trois mousquetaires). - Les romantiques se tournent vers la nature, les voyages, le rêve et l’exotisme - Un goût très marqué par le mystère et le fantastique (Romantisme noir : Frankenstein de Mary Shelley, La vénus d’île de Prospère Mérimée, Quasimodo Notre-Dame De Paris) - La recherche de la liberté (Libérer l’écriture des règles traditionnelles qui étouffent l’imagination et la sensibilité, les dramaturges refusent la règle des trois unités

des géants pour le moins extraordinaires, au vrai sens du terme... Il est en d'ailleurs d'autres sous-genres romanesques qui se plaisent à recourir à l'imaginaire, tel le roman fantastique à partir du 19e siècle. À la lecture de Frankenstein de Mary Shelley, personne ne peut croire à la réalité du monstre issu du génie du docteur. Or ce personnage a fasciné dès 1818 un très large public, attiré non seulement par sa force et sa laideur bestiales, mais aussi par sa sensibilité et son intelligence humaines

conventions établies. Une décision qui le place à l’écart de la société. Il y a donc un esprit de rébellion dans le héros romantique. b. Un modèle de révolte Le XIXe siècle est connu pour être le siècle des mythes de révolte. Les oeuvres de Mary Shelley, Prometheus Unbound et le Cain de Byron donne le ton. Si Prométhée ouvre la marche, il semblerait que ses homologues bibliques tel Caïn, Satan, Job ou le Christ aient joui d’une plus grande réputation, en Grande-Bretagne comme sur le continent

du CRM. Pour faciliter la compréhension des différents éléments et justifier certaines de mes critiques du CRM actuel, j'ai choisi de faire une comparaison avec certains éléments de la littérature fantastique et particulièrement la créature de Mary Shelley "Frankenstein". La première partie traitera de la création du "monstre" ? La seconde partie sera plus en prospective pour dégager une vision "post 2010" pour les entreprises qui ont déjà mises en place des architectures CRM et leur permettre imaginer

lampes funéraires » (p. 19) ; 2 — des images macabres : la marchande de bijoux faux « enfermée dans une des armoires », tel un cercueil (p. 18), la muraille « toute couturée de cicatrices » qui fait songer au personnage de mort-vivant crée par Mary Shelley, Frankenstein ; — une atmosphère sombre et pesante qui évoque la mort : « obscures » (p. 17), « écrasées » (p. 17), « noire » (p. 18), « souterraine » (p. 19) ; — le champ lexical de la peur et de l’étrange qui renvoie à la peur de la mort : «

Partridge, Eric The French romantics' : knowledge of English literature : 1820-1848. Genève : Slatkine, 1974. XV-370 p. [Reprod. en fac-sim. de l'éd. de Paris, Champion, 1924] Salle V - Littératures d'expression française – [840.900 7 PART f] Perkins, Mary Anne « Romantic Theories of National Literature and Language in Germany, England, and France ». Dans Sondrup, Steven P. (ed.) ; Nemoianu, Virgil (ed., introd., and conclusion) ; Gillespie, Gerald (ed.) Nonfictional romantic prose : expanding borders

arrachée de ses ailes et elle prend la forme d’un bel ange féminin nommé Liberté. On assiste à la manifestation d’un goût pour l’horreur et les atmosphères complaisamment morbides (prison, guillotine, bourreau, profanation). Le Frankenstein de Mary Shelley est traduit en France en 1821. On chante les vertiges de la débauche qui désigne la déchirure entre la chair et l’idéal : l’homme est partagé entre la femme charnelle dangereusement sensuelle et la femme idéale, pure, vierge ou mère comme chez

. . . . . . . . . 139 Schlegel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194 Schmitt, Carl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227 Schopenhauer . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 Scorsese, Martin . . . . . . . . . . . . . . . 159 Shelley, Mary . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 Shutter Island . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159 Six livres de la République . . . . . . 226 Smith, Adam . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 Spengler, Oswald . . . . . . . . . . . . . . . 162

La Fontaine • Jean Meslier • Voltaire • Denis Diderot •| |Léger Marie Deschamps • Sylvain Maréchal • Jacques Roux • | |William Godwin • William Blake • Mary Wollstonecraft • | |Gracchus Babeuf • Philippe Buonarroti • Jean-François | |Varlet • Jean-Théophile Leclerc • Samuel Taylor Coleridge | |• Charles Fourier • Percy Bysshe Shelley • | |Max Stirner • Henry David Thoreau • Carlo Pisacane • | |Anselme Bellegarrigue • Joseph Déjacque • Francisco Pi i | |Margall •

. . . . . . . . . 139 Schlegel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 194 Schmitt, Carl . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 227 Schopenhauer . . . . . . . . . . . . . . . . . . 52 Scorsese, Martin . . . . . . . . . . . . . . . 159 Shelley, Mary . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 Shutter Island . . . . . . . . . . . . . . . . . . 159 Six livres de la République . . . . . . 226 Smith, Adam . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 Spengler, Oswald . . . . . . . . . . . . . . . 162