Masochisme

  * On oppose donc les faux plaisirs aux vrais qui s’appuient sur une nature unique du plaisir mais aussi sur une opinion vraie et ne sont pas mélangés à de la douleur. Autres pratiques dans lesquelles on peut confondre plaisir et douleur. Masochisme : La souffrance causée ou subie est en tant que telle source de plaisir… Sadisme : jouir à faire souffrir l’autre Le plaisir comme transgression, comme défi : plaisir de violer un ordre transcendant qui s’imposerait CONCLUSION : Les deux points

livre
 «
Masochism
 and
 Subjectivity
»
 [1980]18
 de
 Kaja
 Silverman

 porte
 sur
 le
 masochisme
de
 l’individu
 qui
 apprend
 à
 tirer
 du
 plaisir
 des
 moments
 de
 douleur
et
de
perte,
que
le
cinéma
rejoue.
Or
le
rôle
passif
subissant
ces
souffrances
est
 toujours
 attribué
 à
 la
 femme.
 La
 part
 masochiste
 du
 spectateur
 masculin
 est
 satisfaite
 par
la
souffrance
du
personnage
féminin.
En
somme
ce
qu’on
pourrait
prendre
pour
du
 sadisme
masculin,
ne
serait
que
du
masochisme
étant
donné
que
l’homme
s’est
identifié


femme de son mari et dit « mon frère » etc… Ainsi, mère-tante, mari-frère sont liés par une association. 5. Définissez, en les comparant, le sadisme et le masochisme. Sadisme : perversion qui consiste à éprouver une jouissance en faisant souffrir les autres. Le sadisme s’accompagne souvent de la perversion inverse, le masochisme. Masochisme : perversion dans laquelle le malade éprouve du plaisir à s’humilier et à souffrir. 6. Résumez par un schéma très simple l’évolution de la théorie des

plusieurs reprises + propension à jouir de la souffrance infligée à autrui + dans sa rêverie : réitère la scène, mais cette fois c'est lui qui est en action et qui inflige la souffrance, et qui l'aime : vers 21 + menace mais sadisme réversible en masochisme :" trop tard, je lui demandais grâce • " scène imaginée où de toute façon elle est celle qui se refuse puisqu'il essaie de la convaincre : même dans la rêverie, ne rêve pas à l'accomplissement de l'amour mais simplement au désir : confirme que

précédemment actif devient passif (un exhibitionniste qui devient voyeur) et que leur contenu amoureux devient haineux ou inversement. Deuxièmement, il y a le retournement sur la personne propre, pour une explication claire prenons l’exemple du masochisme qui est l’expression d’un sadisme retourné sur le moi. On peut noter le lien entre retournement et inversion en son contraire. C’est en quelque sorte comme un déplacement d’objet : l’autre est abandonné et devient soi. Ensuite, il y a le refoulement

c'est les autres" (Huis-Clos) Les rapports entre les consciences ne semblent pas évident : nos relations avec autrui sont-elles vouées à osciller entre le masochisme et le sadisme ? Entre l'amour et la haine ? (Marquis de Sade). 1è analyse des relations entre les consciences : Jean-Paul Sartre : Les rapports de sadisme et de masochisme sont les rapports de deux consciences qui cherchent à se soumettre, ou à soumettre l'autre, sans supprimer la liberté de l'une et de l'autre. Ceci est paradoxal

lorsqu’elles présentent un caractère exclusif du comportement sexuel et permettent seules d’atteindre la satisfaction. Il analyse alors les déviations de type pervers telles le fétichisme et deux célèbres couples activité/passivité : sadisme/masochisme (liaison de la satisfaction à la souffrance physique subie ou infligée) et voyeurisme/exhibitionnisme (plaisir scopique se suffisant à lui-même sans nécessité de l’acte sexuel proprement dit). Le fétichisme est la substitution de l’objet sexuel

jouir. Quitte ensuite à lâcher du lest lorsque l’autre se mettra à pleurer ou abdiquera. L’important n’est pas l’acte mais la douleur morale et l’humiliation infligées à l’autre. Intelligent, rusé, pervers, il n’aura de cesse de rencontrer le masochisme de l’autre et la soumission de son équipe. Points forts : Machiavélisme, domination, énergie, ruse. Place dans le milieu professionnel : Licenciement, restructuration d’entreprise, gestion par le stress, poste ponctuel (nettoyeur, effaceur…)

raisonnement lorsque nous sommes en amour que dans toutes autres situations, il en va de soi. Partie 2 A) Fromm commence cette partie en parlant de la relation que partage la mère et l'enfant qu'elle porte en elle. Il fait le parallèle avec le masochisme et le sadisme, souligne le fait que cette relation d'amour est une relation d'interdépendance, ce qui semble selon lui être la base de l'amour. Le masochiste se servant d'un «idole» pour se valoriser et le sadique se servant de l'autre pour se sentir

beaucoup de phrases interrogatives : « Pourquoi » répété 4 fois, « que veut dire cela ? » -> Doute, hésitation. « cette joie brûlante comme un fer rouge » Oxymore (« joie brûlante ») qui montre que le plaisir contraste avec la douleur de tuer -> masochisme caché. « le spectre de mon père me conduisait-il ? », « j'ai tout quitté » -> Folie ? Le meurtre d'Alexandre est associé à la propre destruction de Lorenzo : métaphore filée : « la seule pensée de ce meurtre a fait tomber en poussière les rêves