Masochisme

sont pas punies. Attention: ce n'est pas parce qu'il y a consentement de la victime : le droit pénal ne prend pas en compte cette circonstance, et c'est pourquoi, par exemple, les violence consenties dans un cadre non coutumier (duel, bagarre, sado-masochisme) sont punies. Le combat de boxe, dans les règles, n'est pas puni car il y a autorisation de la coutume. Attention, la coutume par nature, a un caractère changeant et se distingue de l'usage. Sa réalité est appréciée souverainement (Crim., 8

comme une mère. Ceci est rendu décisif par le fait que cela va avoir des conséquences sur sa vie future. III Influence sur sa vie future1) Sexualité particulière Ceci explique sa sexualité au cours de sa vie. Il a une sexualité primitive : masochisme. Ceci provoque chez lui, des réactions de plaisir lors des fessées de Mlle Lambercier. Ce besoin a pour effet chez rousseau de voir rendre toutes les femmes comme Mlle Lambercier : « faire autant de demoiselles Lambercier ». Sa sexualité particulière

repentir d'Electre, mais pas celui d'Oreste qui quitte Argos, libérant ses nouveaux sujets de leurs remords et des mouches. Thèmes dominants de la pièce: Le repentir Les habitants d'Argos sont enfermés dans un perpétuel repentir qui frise le masochisme: l'intrigue se déroule lors de la fête des morts, qui sont exhortés à venir tourmenter les vivants pour leur faire payer leurs fautes. Pour Oreste, regretter un crime est un moyen lâche de s'en défaire, il choisit d'assumer pleinement son double

main de Leni L’Etrange : « il n’est rien arrivé, dit-elle ; j’ai jeté simplement une assiette contre le mur pour vous faire sortir » p.142 Onirisme : Absurde Humour noir : burlesque de la fin Violence : la fin, Le Fouetteur Malsain : masochisme des inspecteurs, aspect immonde des femmes surtout Leni Religion « Dans la cathédrale » Injustice, calomnie, sentiment de culpabilité ( K. arrive trop tard au tribunal) Erotisme : Leni ne l’a a peine abordée qu’elle se demande déjà si elle

auto-érotique comme « l’ excitation artificielle » des organes génitaux. Freud n’hésite pas à dire que l’enfant expérimente déjà des instincts qui se présentent par groupes de deux (actif-passif) : le plaisir de faire souffrir (sadisme) et son opposé (masochisme), le plaisir de voir et de s’exhiber. Il dit même qu’on peut sans crainte attribuer à chaque enfant une « légère disposition à l’homosexualité ».  Ce n’est qu’à la fin de la puberté que la sexualité change pour se soumettre au processus de normalisation 

zegt dat ze het mis heeft over hem en dat het hem ziek maakt dat zoveel vrouwen gemagnitiseerd zijn door zijn afsvhuwelijke reputatie, hij wilt dat ze het gedrag van vrouwen uitlegt)-> s dit : chez la plupart des femmes il existe une forme de masochisme, c’est le côté obscur des femmes – il demande pourquoi elle n’est pas comme ça ? – elle dit : pourquoi les autres sont-elles folles ? – il cite que les femmes sont meilleures ou pires que les hommes, il dit que les espagnol idéalisent les femme

comparaison cette fois : l'amoureux et sa belle sont comme un moribond et son propre tombeau. Le point commun, c'est l'amour qui les lie. Le poète entretient une relation privilégiée avec la beauté, mais c'est une relation douloureuse. Dans une forme de masochisme, le poète désire cette mort. TROISIEME MOUVEMENT : UNE BEAUTE QUI DEPASSE LE REEL Que tu viennes du ciel ou de l’enfer, qu’importe, Ô Beauté ! monstre énorme, effrayant, ingénu ! Si ton œil, ton souris, ton pied, m’ouvrent la porte D’un

chemin la pulsion de vie. Cette dernière parvient à dévier sur l’extérieur la pulsion de mort qui va alors prendre la forme d’un désir de destruction, de domination primaire. Il s’agit ainsi de l’origine de l’agressivité, du sadisme (actif) et du masochisme (passif). Cependant, la pulsion de destruction se retourne inéluctablement contre le sujet lui-même. C’est enfin de cette opposition que nait l’ambivalence des sentiments, la personne aimée est en même temps haïe. Ces pulsions destructrices et mortifères

supplice. » Importance du SOUVENIR, qui accroît la souffrance du jaloux. -p. 331 : à nouveau, mensonges d’Odette : « elle parlait ; il ne l’interrompait pas, il recueillait avec une piété avide et douloureuse ces mots qu’elle lui disait » : sorte de masochisme de Swann. « il se doutait bien par moments (…) que les relations qu’elle pouvait avoir avec d’autres hommes n’exhalaient pas naturellement (…) une tristesse morbide, capable de donner la fièvre du suicide. Il se rendait compte alors que cet intérêt

qui exigent l’intervention d’une personne étrangère. Ces instincts se présentent par groupes de deux, opposés l’un à l’autre, l’un actif et l’autre passif, dont voici les principaux : le plaisir de faire souffrir (sadisme) avec son opposé passif (masochisme) ; le plaisir de voir et celui d’exhiber (du premier se détachera plus tard l’exhibition artistique et dramatique). D’autres activités sexuelles de l’enfant appartiennent déjà au stade du choix de l’objet, choix dans lequel une personne étrangère