Massacre de Sharpeville

conventions collectives ou accord collectifs du travail. Les mouvements antiracistes : sensibilisation et éducation. Il y a une journée contre le racisme durant la semaine du 21 mars en hommage aux 70 manifestants massacrés le 21 mars 1960 dans les rues de Sharpevilles (Afrique du sud), les Nations Unies décident de faire de cette date la journée internationale contre le racisme. En France et dans d’autres pays, il y a alors l’idée d’une semaine entière consacrée à la lutte contre le racisme

protestation non-violente : manifestation devant des hôpitaux interdits aux noirs, des grèves, des occupations de bus réservés aux Blancs… Malheureusement, le 21 mars 1960 dans le township de Sharpeville, 69 Noirs manifestants pacifiquement sont tués par la police. Mandela est horrifié et au soir du massacre tellement révolté, il ne crut qu’à la force des mots et des idées. Mandela et ses camarades qui dirigeaient désormais l’ANC considéraient qu’ils n’avèrent pas d’autre choix que de faire parler

5 décembre 1956, Mandela et 150 autres personnes sont arrêtés et accusés de trahison. Ils sont au bout du compte tous acquittés, grâce aux plaidoiries des avocats et au légalisme pointilleux des tribunaux sud-africains en 1961. Après le massacre de Sharpeville où il y a eu 79 morts et 178 blessés en 1960, les appels à la lutte armée sont plus pressants d'autant plus que l'ANC et le Congrès panafricain sont interdits, ses leaders emprisonnés ou assignés à résidence. La stratégie non-violente de l'ANC

considèrent comme un Héros. En fait cette appellation est un tout : il est considéré ainsi autant pour sa force psychologique (27 ans de prison, pardonnant à ses ennemis, …), mais aussi pour ses actions : protestations non-violentes jusqu’au MASSACRE DE SHARPEVILLE EN 1960, son amitié avec FREDERICK DE KLERK (plus pour raisons politiques car Mandela représentait un élément clés pour la paix étant un des prisonniers politiques les plus célèbres de l’Histoire ce qui fait de lui un personnage important)

 Mandela épouse en 1958 Winnie Madikizela, sa deuxième  femme, qui est aussi une activiste de l’ANC.     En 1960, dans la township de Sharpeville, une zone urbaine réservée aux noirs, on organise  une manifestation pacifique contre la loi qui les oblige à posséder un passeport spécial pour  circuler par les “zones blanches”. La proteste fut durement réprimée par la police qui finit par  qualifiée de massacre. Le gouvernement décida d’interdire l’ANC suite à cet évènement.     Une grande section de L’ANC envisage alors l’emploi de la violence pour accomplir leurs 

bantoustans africains. Ceux-ci sont alors surpeuplés (74 % de la population noire), fragmentés et dotés de ressources limitées. Une révolte des Noirs contre le système des passeports intérieurs en 1960 est réprimée dans le sang et débouche sur le massacre de Sharpeville. L'interdiction de l'ANC Renforçant sa politique répressive, le gouvernement interdit, le 8 juin 1960, les mouvements d'opposition à l'apartheid nés dans les années 1950 sous l'influence de l'ANC (African National Congress) ou d'autres

jusqu'à l'invalidation de ceux qui sont contractés à l'étranger. 2.4. La montée des tensions interraciales (1960-1979) En 1960, une révolte des Noirs contre le système des passeports intérieurs est réprimée dans le sang et débouche sur le massacre de Sharpeville. Renforçant alors sa politique répressive, le gouvernement interdit, le 8 juin 1960, les mouvements d'opposition à l'apartheid nés dans les années 1950 sous l'influence de l'ANC (African National Congress, Congrès national africain, né en

150 militants de l'ANC et accusé de trahison mais tous seront acquités après un long procès en 1961. Entre-temps, Nelson Mandela a divorcé et épousé en 1958 Winnie Madikizela, qui lui donnera deux filles, Zenani et Zindziswa. Après le massacre de Sharpeville en 1960 qui voit la police sud-africaine tirer sur la foule et tuer 69 manifestants, le Congrès National Africain est officiellement interdit en Afrique du Sud. Nelson Mandela crée alors un mouvement armé clandestin baptisé "Umkhonto we Sizwe"

l'ANC sous l'apartheid puis dans la transition et enfin au pouvoir. I - L’ANC sous l'apartheid Tout comme Malan avait prétexté en 1950 un massacre commis par ses propres forces pour interdire le parti communiste, ces menbres s'étant alors rapprochés de l'ANC . Le gouvernement d'Henrik Verwoerd prit en 1960 le prétexte des morts du massacre de Sharpeville pour interdire à son tour l'African National Congress. Arrêtant ainsi des centaines de militants et l'ANC basculant dans la clandestinité, se

l'élection du parti nationaliste aux élections générales, que l'on entend pour la première fois le concept d'apartheid avec Daniel François Malan le nouveau premier ministre de l'Afrique du Sud. En 1960, l'apartheid prend de l'ampleur avec le massacre de Sharpeville et l'interdiction de l'ANC qui est pourtant condamné par les nations unies et la communauté internationale. Le 31 mai 1961, l'Afrique du Sud se proclame indépendant, et rompt ses derniers liens avec les Britanniques. L'ANC débute alors une