Massif du Tibesti

des années sans qu'il y ait de pluie. Selon Balencie Jean et Lagrange Arnaud de: «le Nord représente plus de trois quarts (3/4) du pays, il comprend deux sous ensembles distincts»TP 1 PT TUne zones de désertique (région du BET) parsemée des massifs montagneux. Peuplées de nomades noirs Toubous ou Tedas encore appelé Goranes. Des zones sahéliennes (Kanem, Ouaddaï, Guéra etc. ...) localisées dans le centre de l'Est du pays, couvertes des steppes ou des savanes. L'ensemble est peuplé de populations

des plis parallèles au rivage ; dans la partie NordOuest du pays, ils se recourbent vers le Nord, constituant avec les montagnes de l’Espagne méridionale un grand hémicycle, que le fossé de Gibraltar a coupé brusquement et qui marque la bordure d’un massif ancien, effondré dans la Méditerranée. La disposition du relief empêche la formation de rivières importantes. Mais, grâce au voisinage de la mer et il l’existence de montagnes élevées, les pluies sont abondantes; les vallées, courtes et étroites,

ces oasis lorsqu’on veut se diriger, par le sud, vers le Tchad ou, par le nord, vers le Fezzan, puis le Niger. L’archéologie prouvera peut-être un jour si ces grands axes de circulation africaine ont été utilisés par les Egyptiens pour parvenir au Tibesti, au Darfour, au Tchad, au Fezzan ... Ce que l’on sait, c’est qu’à partir de la XIXème dynastie, les Libyens constituent pour les Egyptiens une réserve de main d’oeuvre et de soldats. Les captifs libyens, reconnaissables à la plume qu’ils portent

du Canada. Un code-barres magnétique au fond des océans Le premier à montrer que ce champ s’est inversé par le passé est le physicien français Bernard Brunhes, au début du XXe siècle. Ses conclusions, fondées sur l’étude de quelques roches du Massif central, ne seront toutefois définitivement acceptées qu’au début des années 1960, grâce à l’analyse du signal magnétique des fonds océaniques. En effet, les laves sortant des dorsales, où ces fonds se forment, piègent l’orientation du champ magnétique

essentiels de géographie : 1° Le désert : le Sahara. Désert qui s'étend de l'Atlantique à la mer Rouge et qui occupe une partie importante du continent. Il est constitué de grandes étendues sableuses (erg), étendues rocheuses (les reg), massifs montagneux (Atlas, Auggar, Tibesti). L'autre désert, celui du Namib, est le désert, c'est le symétrique du Sahara, mais plus petit car cette région est en altitude. Il y a des flux humides qui viennent de l'Est et arrosent la région. Désert extrêmement aride, sur

une période de 10 ans parfois. C - Relief Le pays comporte 2 zones principales : la côte méditerranéenne et le désert. La façade méditerranéenne est longue de 1770 km de long. Il n’existe pas de réelle chaine de montagnes à l’exception du massif TIBESTI près de la frontière tchadienne au Sud (2200m). Il y a de hauts plateaux comme le Djebel Nafousah, le Djebel Akhdar et le Djebel Assawda en arrière du golfe de syrte. Les terres fertiles sont concentrées sur une bande étroite près de la côte

(Mathon et Laurent, 2002; Le Barbé et al., 2002; D'Amato et Lebel, 1998), et sont donc de première importance pour les populations locales. Les observations passées montrent que certaines zones sont propices à l’activité convective. Au Niger, deux massifs montagneux, les monts de l’Aïr et le plateau du Djado, sont des zones préférentielles de formation de MCS. Le Barbé et al., (2002) ont détecté des changements mineurs entre les régimes de démarrage de la mousson africaine pendant les années humides

financer, au début des années quarante, certaines missions ou publications ethnographiques. En 1941, les sections histoiregéographie et sciences naturelles accordent par exemple de larges subvent ions Charles Le Cœur, pour sa mission chez les Teda du Tibesti, et à à Griaule pour l'édition des documents recueillis au cours de ses précédentes missions (Gaillard, 1989 : 91). À la Libération, le CNRS crée pour la première fois une section « anthropologie, ethnographie, préhistoire », avec à sa tête un comité

un développement. C’est donc à toute la diversité de situations, qui varient en fonction des pays sahariens considérés, que les notions de ressources et de conflits sont à appliquer. Le Sahara : peuplement et routes principales Atlas Hoggar Tibesti Darfour Nil Sénégal Nouakchott Nouadhibou Laâyoune Tan-Tan Laghouat Bechar In Salah Tamanrasset Tozeur Benghazi Koufra Sebha Le Caire Assiout Louqsor Tripoli Néma Tombouctou Aozou Niamey Casablanca Marrakech Tindouf GAMBIE

inadaptée: 7 a) Des forces militaires sensiblement égales à celles de son adversaire: 7 b) Une stratégie défensive inadaptée aux conditions de la guerre motorisée: Les Allemands qui ont compris les tactiques nouvelles que permettaient le recours massif aux engins motorisés=> privilégient le mouvement et l'offensive: la Blitzkrieg 8 2) Les Français devant la guerre: 10 a) Une opinion résignée à la guerre: 10 b) Mais il reste des forces hostiles à la guerre 11 les münichois: 11 la gauche non