Mathématiques arabes

LE PASSAGE DES MATHEMATIQUES EN ARABE AUX MATHEMATIQUES EN FRANÇAIS EN ALGERIE : DIFFICULTES ET AVANTAGES RACHID BEBBOUCHI Page 528 LE PASSAGE DES MATHEMATIQUES EN ARABE AUX MATHEMATIQUES EN FRANÇAIS EN ALGERIE : DIFFICULTES ET AVANTAGES. RACHID BEBBOUCHI Résumé. Depuis la fin des années 1970, l’enseignement des mathématiques au primaire, moyen et secondaire en Algérie se fait dans la langue nationale, à savoir l’arabe littéraire (à différencier de la langue maternelle qu’on appelle habituellement

connaissances de l'homme est croissant au fur et à mesure du temps, et dès qu'une question est résolue, dix nouvelles questions apparaissent. Les premières sciences apparaissent dans la tradition mésopotamienne, avec ce qui correspond à une sorte de mathématiques avec des algorithmes. Les Égyptiens développent les premières sciences : pour développer la construction des pyramides, le développement de la première médecine d'où la parfaite conservation des momies que l'on conserve aujourd’hui dans les musées

d’origine arabe pour exterminer les Juifs d’Europe. Un site Internet, The MacTutor History of Mathematics archive, http://turnbull.mcs.st-and.ac.uk/~histo ... atics.html qui brille par la quantité d’informations assez factuelles sur l’histoire des mathématiques, physiques et astronomiques sort par contre de son rôle purement informatif pour nous débiter: « Certainly many of the ideas which were previously thought to have been brilliant new conceptions due to European mathematicians of the sixteenth, seventeenth

l’islam a-t-il accordé aux mathématiques? Lorsque l’on pense à la place que l’islam a accordé aux mathématiques, on pense à deux choses. L’invention du Zéro (qui au passage n’est pas le fruit des arabes mais des indiens, les arabes n’ont fait que transmettre cette découverte) et des chiffres arabes d’une part, qui témoigne d’ une gloire passée ; et le vide actuel laissé par les mathématiques dans les pays de l’Islam de nos jours .Quel place l’islam a-t-il accordé aux mathématiques ? Pour répondre à cette

L’enquête PISA évalue dans quelle mesure les élèves âgés de 15 ans ont acquis des connaissances et compétences essentielles pour pouvoir participer pleinement à la vie de nos sociétés modernes, en particulier en compréhension de l’écrit, en mathématiques, en sciences et en résolution de problèmes. L’enquête PISA ne cherche pas simplement à évaluer la faculté des élèves à reproduire ce qu’ils ont appris, mais vise aussi à déterminer dans quelle mesure ils sont capables de se livrer à des extrapolations

principes évidents et des démonstrations, soit sur des raisonnements expérimentaux, ou encore sur l'analyse des sociétés et des faits humains. » Cette définition permet de distinguer les trois types de science : les sciences exactes, comprenant les mathématiques et les « sciences mathématisées » comme la physique théorique ; les sciences physico-chimiques et expérimentales (sciences de la nature et de la matière, biologie, médecine) ; les sciences humaines, qui concernent l'Homme, son histoire, son comportement

4h Mathématiques 7 ou 7+2 (2) écrit 4h Physique chimie 6 ou 6+2 (2) écrit + pratique (3) écrit +pratique (3) 3 h 30 +1h 3 h 30 +1h 4h Epreuves terminales obligatoires TRONC COMMUN Sciences de la et vie et de la terre 6 (ou 8*)(2) Langue et Littérature Arabes 5 Ecrit Langue vivante 2 2 Ecrit et oral(4) Philosophie 3 Ecrit 2h et 10 min + 10 min 4h E.P.S. (5) 2 CCF ou Examen ponctuel Histoire géographie (en langue arabe) 3 Oral 15 min Langue et Littérature Arabes 4 Oral

années, tandis français a été maintenue comme la langue d'enseignement des mathématiques et la science dans les deux niveaux primaires et secondaires. Plus tard, pour répondre à la demande croissante pour l'enseignement secondaire dans les années 1970, le Maroc a importé des enseignants francophones de pays comme la France,la Roumanie et la Bulgarie pour enseigner les mathématiques et les sciences, et les enseignants arabes pour enseigner les humanitéset les sciences sociales . En 1989, l'arabisation

L’évolution des mathématiques au cours du Moyen-Âge et de la Renaissance Table des Matières L’évolution des mathématiques au Moyen-Âge 3 L’évolution des mathématiques à la renaissance 4 Annexe 5 Bibliographie

C’est alors l’ère des mathématiques arabes. Les savants de cette ville traduisent les textes grecs et étudient aussi les mathématiques indiennes. C’est donc sur une double connaissance qu’ils vont progresser. Un des savants les plus célèbres de l’époque est : Abu Abdullah Muhammad ibn Musa Al-Khwarizmi. Al-Khwarizmi était l’un des plus grands mathématiciens qu’a connu l’histoire. Il s'intéressa principalement aux mathématiques mais il consacra aussi