Mathias Grunewald

panneaux principaux est appelée triptyque, elle rappelle la forme des retables(lexiques) de la Renaissance. Le peintre n’a pas choisie cette composition par hasard puisqu’elle évoque une œuvre majeure de la Renaissance: La retable d’Issenheim de Mathias Grünewald. La couleur : Dans cette œuvre Otto Dix utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnements quotidien des poilus. Le rouge est utilisé pour représenter tour

rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque*. Le peintre évoque également une œuvre majeure de la Renaissance Le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. Dans cette peinture, il est question de mort et de souffrance puisque le panneau central de celui-ci est la représentation d'une crucifixion. En utilisant la forme du triptyque, Otto Dix ajoute une touche d'horreur à l'horreur mise

La guerre de 1914 – 1918, la "Grande Guerre" a marqué les esprits. Otto Dix nous montre la guerre autrement que par l'art officiel qui fait des monuments aux morts où les soldats sont héroïsés. Et plus...: -Le retable d'Issenheim de Mathias Grünewald. -Triptyque du jugement dernier de jérôme bosch.

1932, une période ou les idées nazies et fascistes glorifient la guerre. Composition de l’œuvre : un triptyque. Cette œuvre est un triptyque c'est-à-dire une peinture composée de trois panneaux. Otto Dix s’inspire du retable d’Issenheim de Mathias Grünewald (Peintre de la Renaissance, 16ème siècle) ou il est aussi question de souffrance. Retable : dans une église, tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints. Description de l’œuvre :

: (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d’où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d’hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d’obtenir de l’aide dans un univers d’où l’humanité a disparu, son appel

qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la bouche ouverte d’où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d’hygiène abominables dans lesquelles ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d’obtenir de l’aide dans un univers d’où l’humanité a disparu, son

terribles souffrances apportées par la guerre. Cette œuvre composée de trois panneaux principaux et est appelée un triptyque. Elle rappelle la forme des retables de la Renaissance notamment une œuvre majeure : « Le retable d'Issenheim » de Mathias GRÜNEWALD. En utilisant la forme du triptyque, Otto Dix cite très directement le retable d'Issenheim et par cette évocation, ajoute une couche à l'horreur déjà représentée dans son œuvre. ANALYSE PANNEAU PAR PANNEAU Le panneau de gauche, représente

- Triptyque inspiré des retables du Moyen- Age [retable d'Issenheim de Mathias Grunewald où il est aussi question de mort et de souffrance (le Christ sur la croix, panneau central)]. - Long préparatifs

au dadaïsme. il réalise plusieurs tableaux destinés à témoigner de l’enfer des tranchées, de la cruauté et de l’absurdité de la guerre. (Pour Otto Dix, son œuvre est une référence à un triptyque de la Renaissance, Le Retable d'Issenheim de Mathias GRÜNEWALD) A l’arrivée au pouvoir des nazis en Allemagne, Otto Dix est persécuté, car les artistes antimilitaristes et artistes de la Nouvelle Objectivité sont déclarés comme «artiste dégénéré». Ses œuvres sont interdites, elles sont jugées dangereuses

d'Issenheim (de Mathias Grünewald) : l'organisation est sans profondeur, et le personnage empalé fait référence au Christ. Le peintre peint des blessures réalistes, avec un caractère expressif. Il a également choisi de peindre son tableau dans un format gigantesque afin de susciter l'émotion. Otto Dix fait des références religieuses, car la fonction du triptyque est, entre autres, de protéger la ville. Dans cette œuvre il est aussi question de mort, de souffrance, Mathias Grünewald choisit de peindre