Mathieu Dreyfus

développement de l’antisémitisme en France. L’affaire Dreyfus qui débute avec l’arrestation d’Alfred Dreyfus en 1894 fait monter d’un cran les réactions antisémites. Le journal la Libre Parole, dirigé par Drumont annonce la nouvelle. A sa suite des journaux catholiques tels que la Croix s’empresse d’accabler Dreyfus et les juifs en général. Le 5 janvier 1895, la dégradation de Dreyfus provoque des manifestations antisémites. La réhabilitation de Dreyfus en 1906 est le fait d’hommes influents tels qu’Emile

Charles Cros et Edison Ce qui marque le tournant entre le 19 eme et le 20 eme siecle est l'affaire Dreyfus. " J'accuse " paru dans L'Aurore s'oppose à La Libre parole de Drumont. Jean Banois ( 1913 ) de Roges Martin du Gard. Qui présente l'affaire Dreyfus dans la fiction. On apellé le parti de Dreyfus, les intellectuels. Le parti anti - Dreyfus , les intelligents. - Défenseurs de Dreyfus : Mallarmé, Jules Renard, Charles Péguy, Remy de Gourmont, Pissaro, Signac, Bonnard, Paul Langeuin (

de la Légion d'honneur. Mais, en raison de sa condamnation consécutive à « J'Accuse...! », Zola est suspendu de l'ordre de la Légion d'honneur et ne sera jamais réintégré. L’affaire Dreyfus (1898) a pour origine une erreur judiciaire ][]sur fond d’espionnage et d'antisémitisme, dont la victime est Alfred Dreyfus. Le véritable traître en lieu est le commandant Walsin Esterházy, il est dénoncé puis jugé mais il est acquitté le lendemain. Après la condamnation d'un innocent, c'est l'acquittement du

bien cet argument par son article, publié dans le quotidien « L’Aurore » en 1898, se nommant « J’accuse ». Zola s’engage alors politiquement aux côtés des défenseurs des droits de l’homme dans l’affaire Dreyfus qui dura de l’année 1894 à l’année 1906, au cours de laquelle il défend le capitaine Dreyfus, accusé de trahison mais victime d’un complot antisémite. Il impose son point de vue par la presse et dénonce les injustices liées à cette affaire qui sera une des plus importantes erreurs judiciaires

mensonge : « mensongers, frauduleux, acquitter sciemment un coupable… ») 2. Zola défend la thèse de l’innocence de Dreyfus. 3. La forme verbale « j’accuse » est recensée trois fois. 4. Dans ce texte, Zola porte des accusations grâce à des arguments qui soutiennent sa thèse. Le premier argument qu’il utilise est que les trois experts en écriture qui ont pris part dans l’affaire Dreyfus aient menti, et aient rendu des rapports faussés, afin que l’accusé soit déclaré coupable. Son second argument

l’énorme amende à laquelle Zola a été condamné. Le portrait que Mirbeau fait de Joseph (domestique de la famille Lanlaire décrit à travers les yeux de Célestine, femme de chambre), « violemment antisémite » et anti-dreyfusard (« Quant à l'ignoble Dreyfus, il ne faudrait pas qu'il s'avisât à rentrer de l'île du Diable »), cristallise son analyse virulente des différentes formes d’antisémitisme, pour certaines ancestrales et pour d’autres relativement nouvelles et de plus en plus répandues à ce moment

où il reçoit, le lieu de rendez-vous de jeunes écrivains tels que Huysmans ou Maupassant. Indigné par la dégradation du capitaine Dreyfus, le 5 janvier 1895, à l’École militaire, il dénonce à la fin de l’année dans trois articles publiés par Le Figaro les campagnes de presse contre la République et les Juifs. Convaincu que le véritable coupable de l’affaire Dreyfus est le commandant Esterhazy, qui est acquitté à l’unanimité le 11 janvier 1898, Zola publie dans L’Aurore deux jours plus tard l’article

Médias et opinion publique dans les grandes crises politiques en France depuis l'affaire Dreyfus 1/ L'avènement des médias de masse et l'opinion publique Depuis la fin du 19s les médias cont présents comme des éléments forts qui agissent sur l'opinion publique et lui donnent la parole. Leur dvpmt leur donne un rôle majuer dans la vie démocratique lors des crises poltiques. *Médias = supports, moyens techniq qui permettent la diffusion d'information auprès de l'opinion publique. *Opinion

l’état-major, le capitaine Dreyfus. Malgré des expertises graphologiques contradictoires, Alfred Dreyfus est arrêté, puis condamné à la déportation à vie après une dégradation en public, le 19 décembre 1894, après un procès à huis clos devant le conseil de guerre, et au vu d’un « dossier secret », non transmis à la défense. La dégradation en public, déshonneur suprême aura lieu le 5 janvier 1895, dans la grande cour de l’École militaire et fera la « une » du Petit Journal. Dreyfus sera ensuite déporté

l’Institut Pasteur naît en 1888. Affaire Dreyfus : 1898 La dégradation du apitaine Dreyfus, dessin d’Henri Meyer, Le Petit Journal illustré, n° 217, 13 janvier 1895 En 1894, le capitaine Dreyfus est accusé d’avoir livré des renseignements militaires à l’Allemagne. Seul officier juif de l’étatmajor, il est immédiatement soupçonné. C’est le début d’un scandale qui va déchirer la France entière. Emile Zola, écrivain, prend la défense du capitaine Dreyfus en interpellant le président de la République