Mathilde Bonaparte

peut réciter par cœur le Nouveau Testament, s'il bénéficie de la protection du curé de son village, le curé Chélan, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Sainte-Hélène, car paradoxalement il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte qu’il considère tout à la fois comme un Dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au Maire de Verrières, Monsieur

réciter par cœur le Nouveau Testament en latin, s'il bénéficie de la protection du curé de son village, le curé Chélan, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Sainte-Hélène, car paradoxalement il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte qu’il considère tout à la fois comme un dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au maire de Verrières, Monsieur

peut réciter par cœur le Nouveau Testament, s'il bénéficie de la protection du curé de son village, le curé Chélan, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Sainte-Hélène, car paradoxalement il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte qu’il considère tout à la fois comme un Dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au Maire de Verrières, Monsieur

France, en 1814, il part en Italie et il s'installe à Milan où il retrouve sa maîtresse Angéla Pietragrua. En 1818, Stendhal travaille à une Vie de Napoléon. C'est aussi l'année où il rencontre celle avec laquelle il va vivre une grande passion, Mathilde Dembowski (Métilde), qu'il suit l'année suivante à Volterra. Pendant cette période, il écrit plusieurs oeuvres autour de l'Italie ainsi que De l'amour. En 1821, parce qu'il est accusé de sympathie pour le carbonarisme – affection particulièrement

peut réciter par cœur le Nouveau Testament, s'il bénéficie de la protection du curé de son village, le curé Chélan, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Sainte-Hélène, car paradoxalement il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte qu’il considère tout à la fois comme un Dieu et comme un modèle de réussite. Malmené dans sa famille qui le tourne sans cesse en dérision ou lui fait subir des violences, il est protégé par l'abbé Chélan qui le recommande au Maire de Verrières, Monsieur

malheurs de Mathilde Loisel et à ses rêves de dépasser sa classe sociale qu’elle déteste vraiment. Dans notre texte, on s’apprêtera à expliquer les épreuves de Mathilde. Cette nouvelle raconte le drame d’une splendide femme mariée à un homme d’une condition modeste qui travaille comme un simple employé au ministère de l’instruction publique. Toute cette tragédie commence au moment où les deux ont été invités par le ministre même, à passer la soirée dans une place à laquelle Mathilde rêvait depuis

comme Julien, etc. Mathilde peut être citée en tant que héroïne romantique pour ces mêmes raisons.Le roman est donc romantique car il parle d'amour, de rêveries et de déceptions.Ce passage est construit sur une métaphore : Stendhal utilise la métaphore de « l'azur des cieux », pour décrire le beau dans la société, les bonnes mœurs, et il utilise la métaphore de «la fange des bourbiers» pour décrire l'hypocrisie de l’homme, tout ce qui est mauvais chez l'homme. Julien, tantôt

Révolution, la place dans la société ne dépend plus de la naissance mais du mérite. Il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte et fait montre d’une très grande ambition. Il entre se lie avec la femme du maire, Mme de Rênal et entre au séminaire. De fait, il ment à M. de Rênal, sur sa passion pour la femme de celui-ci, et à l’abbé, quant à son admiration pour Bonaparte. Suite à des dénonciations calomnieuses, il finit par être renvoyé de la maison Rênal et part au grand séminaire de Besançon

comme un jeune homme âgé de 19 ans est passionne par l’amour et le pouvoir qu’il rêve depuis son enfance à cause de la Révolution et du Napoléon Bonaparte. Son ambition lui mène au bonheur qu’il peut trouver facilement. Les personnages Julien Sorel  : Julien Sorel est un jeune homme héroïque, ambitieux qui est passionne par l’amour et Napoléon Bonaparte. Il est percepteur qui travaille pour la première fois chez M. Rênal puis après son séminaire a Grenoble, il travaille chez M. Valenod à Paris

mépris son père qui n’apprécie pas les choses intellectuelles. Si le jeune garçon bénéficie de la protection du curé de son village, il connaît aussi tous les détails du Mémorial de Saint-Hélène car il voue une admiration sans bornes à Napoléon Bonaparte qu’il considère comme un Dieu. Malmené dans sa famille qui lui fait subir des violences, il est protégé par l’abbé Chélan qui le recommande au maire de Verrières, M. de Rênal comme précepteur de ses enfants puis le fait entrer au séminaire. Malgré