Matraque

Roupillent- Un sieste pour se reposer Foulard- Un autre mot pour une écharpe La douleur- La peine ou souffrance Cerisiers- Arbres qui poussent des cerises La grotte- Un autre mot pour une caverne Frisson d’angoisse- Un secoue cause de l’anxiété La matraque- Un baton Malicieux- Quelqu’un malin La raison pour lesquelles j’ai choisi ces mots et expressions est simplement que je ne les connaissais avant cet ouvrage. 5. Type de récit : C’est un livre d’amour parce qu’il retrouvait l’amour de

LE DEBAT LITTERAIRE · Livre choisi  : Mosa Wosa Résumé :Première partie  : Dans la Techno-CitéChapitre 1  : Mosa, un jeune indien métis qui vit dans l’Oasis Lakota avec son grand père. Sa mère, Nahpi’, est morte en lui donnant naissance. Son père, un blanc, vit dans la Techno-Cité. Après la mort de son grand-père, il décide de rejoindre son père. Il arrive dans la Techno-Cité avec un rapace

un individu", et selon Alfred Delvau, son nom vient d'un "cabaret de Belleville qui est devenu celui de tous les cabarets de bas étage, où le peuple boit des liquides frelatés qui le tuent". Mais c'est aussi un instrument qui assomme, une sorte de matraque, sens attesté dans le texte, à travers ces paroles de Gervaise : "La mauvaise société, disait-elle, c'était comme un coup d'assommoir, ça vous cassait le crâne, ça vous aplatissait une femme en moins de rien" ; sens attesté aussi à travers les métaphores

faire souffrir ces gens qui n'on rien demander. Les S.S. n'agissaient pas seuls pour faire "régner l'ordre" dans le camp, ils choisissaient des déportés, le plus souvent parmi les triangles vert, les criminels, les voleurs... et leur donnaient une matraque et le pouvoir de frapper les déportés. Il se trouvait qu'ils ne s'arrêtaient pas là, les médecins allemands prirent pour cobaye des déportés pour leurs expériences médicales absurdes.Ils utilisaient des enfants, en particulier les jumeaux, furent

vociférait : les terres appartenaient depuis le matin à Monsieur Torrès, qui les avait achetées : les paysans devaient quitter les lieux. Santiago (le frère de Dolores) parvint à fuir, mais José et Ramon qui contestaient, reçurent des coups de matraques. Ils furent sauvés par deux frères syndicalistes : Benito et Pedro. Les frères amenèrent les deux résistants à l'hôpital de Muriente. Dolores qui avait seize ans, assista le médecin Murchante, alors qu'elle n'avait pas fait d'études. Pendant ce

suggérer. De fait, Zola joue sur la polysémie du titre. L'Assommoir est tout d'abord le nom du café du Père Colombe, dans lequel Coupeau comme Gervaise vont échoir, atrocement rongés par l'alcool. Mais c'est aussi un instrument qui assomme, une sorte de matraque, sens attesté dans le texte par les dires de Gervaise : "la mauvaise société, disait-elle, c'était comme un coup d'assommoir, ça vous cassait le crâne, ça vous aplatissait une femme en moins de rien." (également à travers les métaphores animales

traumatismes : Objet pénétrant (effraction de la peau, sur une petite surface, les tissus sont écrases et divisés par le trajectoire de l'objet) Objet contondant (du latin :blesser sans couper – écrasement, décélération ou accélération des organes) – matraque, chute, collision frontale etc. énergies chimiques ( brûlures par acides, bases, solvants, risque de lésion avec passage dans la circulation sanguine) énergies thermiques et irradiations (brûlure par choc électrique, irradiation y compris coup

succès. 3ème crime: A l’heure du diner, le général Macarthur - homme âgé aux cheveux gris et à la moustache soignée, ayant eu une conduite courageuse lors de la Grande Guerre - s’éclipse et il est retrouvé mort, frappé à la nuque par un coup de matraque. Les convives se rendent vite à l’évidence: le meurtrier se cache parmi eux et ils ne pourront quitter l’île tant que la tempête sévit dehors. Par ailleurs, à l’issue de la reconstitution des faits organisée par le juge Wargrave, il s’avère qu’aucun

la chambre à gaz. Le camp principal "affichant" complet, nous avons marché jusqu'à son satellite, BunaMonowitz. On sait aujourd'hui que les satellites étaient beaucoup plus durs que le camp principal. A peine arrivés, toujours sous les coups de matraque et alors qu'il faisait encore nuit, on nous fit mettre tout nu. Les diables sont arrivés. En quelques secondes, ils avaient fait le nettoyage par le vide. Les vêtements, les chaussures, les ceintures, les montres, les bagues, les chaînes avaient

l'oeil sur sa montre. Attendre d'être entrés dans la maison l'aurait mis en retard de trente secondes. Mais sur le porche, dans l'obscurité, il n'y avait aucun danger ; il ne risquait rien, pas plus qu'à l'intérieur de la maison. Il abattit la matraque de toutes ses forces, pendant qu'elle attendait qu'il sorte sa clé pour ouvrir la porte. Il la rattrapa avant qu'elle ne tombe et parvint à la maintenir debout, tout en ouvrant la porte de l'autre main et en la refermant de l'intérieur. Il posa