Matraque

Malheureusement, il y a depuis le début du conflit, beaucoup d'abus de la part des forces policières. Les policiers ont utilisé trop fréquem-ment des moyens disproportionnés tel que des gaz poivre, des bombes assourdissantes, des balles de plastiques et des matraques. On dénombre beaucoup de blessés depuis février. C'est choquant et révoltant. Les policiers qui ont commis des abus physiques envers les manifestants devront répondre de leurs actes devant le comité de déontologie policière et être sanctionnés s’ils

valeur, argent ou autre. On retire les montres, les bagues, les bijoux ; on arrache les boucles d’oreille brutalement, avec le bout de l’oreille si ça ne vient pas assez vite. Malheur à ceux ou à celles qui ont caché quelque chose. Ils seront matraqués à tour de bras par les miliciens enragés. En rang dans la cour du camp depuis le lever du soleil qui monte jusqu’à devenir brûlant, debout sans boire ni manger ni faire ses besoins pendant 10 à 12 heures ; jusqu’à ce que en fin de journée arrive

gardait l’œil sur sa montre. Attendre d’être entrés dans sa maison l’aurait mis en retard de trente secondes. Mais sur le porche, dans l’obscurité, il n’y avait aucun danger ; il ne risquait rien, pas plus qu’à l’intérieur de la maison. Il abattit la matraque de toutes ses forces, pensant qu’elle attendait qu’il sorte sa clé pour ouvrir la porte. Il la rattrapa avant qu’elle ne tombe et parvint à la maintenir debout, tout en ouvrant la porte de l’autre main et en la refermant de l’intérieur. Il posa

écoulé depuis le début de son emprisonnement ; au-dessous de sa cellule « au rez-de-chaussée, c’est la division de condamnés à mort », ils ont « les chevilles enchaînées ». La violence est évoquée lorsqu’il écrit : « des prisonniers jetés à coups de matraque d’un étage à l’autre […] hébétés par la torture et les coups ». Henri Alleg ne s’y attardera pas dans ce passage, mais plus en avant dans le livre, il décrit toutes les tortures qu’il a subies : la gégène, les brulures au briquet dans les parties

l'accident. Babu pissa derechef. Cela commençait à sentir très mauvais et son odorat, intact, ne lui épargnait aucun outrage. L'homme en noir avança encore d'un pas. Quelque chose de sombre pendait à son bras. Cela ressemblait vaguement à une matraque. Babu pensa alors que ses batteries étaient chargées au maximum, et il chargea sur l'intrus qui recula vivement, trébucha sur un pouf et s'étala sans aucune décence au beau milieu du salon. Voyant cette première victoire sur l'ennemi, Babu voulu

Prénom, nom, fonction exacte, raison sociale • Le message • Style direct, simple, vocabulaire et ton adaptés, équilibre entre familiarité et distance, aération, lisibilité • Phrases et paragraphes courts • La pesonnalisation doit exister sans matraquer • Une attention doit être apportée aux derniers mots à droite • La signature • Doit précéder le nom + la fonction • Une personne et non un service • Le ‘PS’ ou la mention ‘important’ mardi 25 octobre 11 Lettre en 3 étapes • Impliquer

laveur d'excréments. La plume de Claudel va cependant attribuer à Brodeck une mission de porte-parole auprès des personnes qu'il rencontre pendant ou après son retour du camp. Ainsi Kelmar, son ami, lui dira avant de mourir sous les coups de matraques : « Tu penseras à moi quand tu reviendras dans ton pays, tu penseras à l'étudiant Kelmar. Et puis tu raconteras, tu diras tout. Tu diras le wagon, tu diras aussi ce matin, Brodeck, tu le diras pour moi, tu le diras pour tous les hommes... »

coupables meurent en premier afin que les plus coupables subissent une véritable torture psychologique.A chaque meurtre une statuette disparaît. Ainsi E.Rogers meurt dans son sommeil ("l'un d'eux oublia de se réveiller"), Mac Arthur reçoit un coup de matraque alors qu'il admire le paysage (l'un d'eux voulu y demeurer"),T.Rogers se fait fendre le crâne à la hache ("un se coupa en deux"),E.Brent se fait piquer par une injection de cyanure de potassium ("une abeille a piquée l'un d'eux"),le juge Wargrave

l’individu, ont considérablement modifié les rapports entre l’annonceur et son public. Le nouveau consommateur est désormais capable de communiquer et d’échanger avec un réseau mondial et son influence sur les autres consommateurs n’est plus à négliger. Matraqué depuis de nombreuses années par les mêmes de stratégies de communication développées par les annonceurs, il n’a plus le même rapport aux messages qui lui sont adressés. Devenu un véritable expert, il sait désormais les analyser pour en déceler les

* *   Recommander1 PORTRAIT - Cet ex-premier ministre, qui n'a jamais aimé la confrontation, surprend depuis les élections de juin par son courage et sa détermination. Les bassidjis sont remontés à bloc. La veille, leurs coups de matraque n'ont pas eu raison des opposants, à nouveau dans la rue pour célébrer la journée des étudiants. Ce 8 décembre 2009, c'est à la «tête» du mouvement qu'ils ont donc décidé de s'attaquer. À cheval sur leurs motos, ils sont plusieurs dizaines à bloquer