Matraque

étudiants de pékin se mettent en grève sur la place de Tian’anmen. Protestant contre les conditions de vie difficile ainsi que la corruption des officiels, ils veulent de la démocratie, l’intervention de l’armé se finira par de violent affrontement à la matraque devant le siège du gouvernement. Le 4 juin 1989, l’armé débarque sur la place de Tian’anmen et tire à balles réelles et les tanks écrasent les tentes des derniers manifestant de la place. Ce fut un véritable massacre… 2500 civils tués et quelques

leader communiste (7 à 10) sont caractérisées par un hymne en crescendo qui n’est pas sans rappeler celui de l’Internationale. L’arrivée des policiers est marquée par des roulements de tambour et des rythmes très saccadés qui suggèrent les coups de matraque (11 à 14). La sortie de Charlot des égouts (15, 16, 17, 18) s’accompagne de la reprise du thème de la manifestation, joué plusieurs fois, avec différents instruments (tuba…), de plus en plus lentement, avec une dissonance finale, comme pour signaler

d’aspirine. Il est notoire que, quels que soient les crimes que les 19 219488QQA_PAS_PLEURER_CS5_pc.indd 19 29/04/2014 10:24:28 PAS PLEURER catholiques commettent contre les rouges à cette époque-là, à l’arme blanche, à l’arme à feu, à coups de matraques ou de barres de fer, ils sont instantanément blanchis et pardonnés, pour peu que leur auteur fasse acte de contrition avant la prière du soir, les petits arrangements avec le Ciel espagnol s’avérant proprement magiques. Doña Pura reprend son invocation

étroit et requiert pour cela un aménagement optimal avec tentes, couloirs, étals et toilettes. Les autorités haïtiennes, selon leurs dires, devraient se préoccuper à chercher un emplacement plus confortable pour héberger le marché au lieu de les « matraquer » jour et nuit. En effet, depuis l’arrivée de la nouvelle administration municipale à la tête de la Commune de Delmas, les marchands sont, sans répit, pourchassés par les agents municipaux qui saisissent ou séquestrent leurs marchandises. Ils

croyances : Dieu, la Vierge, ses grands-parents, Bastien…..Dieu et la kyrielle de ses saints n'existaient pas puisque personne n'intervenait, là-haut, afin d'interrompre son calvaire. Les médecins ne lui trouvaient aucune maladie particulière. Un corps matraqué par un accident peut-il à ce degré ne pas retrouver la plénitude de ses moyens alors qu'aucune trace de cet accident ne s'inscrit dans la chair ? A l'allopathie succédèrent l'homéopathie, phytothérapie, acupuncture. Un radiesthésiste du Vaucluse

bastion historique du syndicalisme indépendant : Citroën et Talbot. Plusieurs grèves éclatent qui vont connaître des affrontements physiques très violents entre CSL et CGT-CFDT. Les militants de la CSL ont donc gardé, malgré leur nouveau discours, la matraque à portée de la main. Mais cette tension semble davantage s’expliquer par des intérêts d’appareil que comme une violence contre-révolutionnaire. Dans les années 80, la CSL connaît donc un recul numérique, assumé publiquement par la confédération

attentat. Selon eux la situation est telle qu’elle les prive de leurs droits nationaux, car ils n’ont pas de pays à eux. Le gouvernement qu’ils exècrent les ignore et refuse de leur offrir un sol. Dans ce pays, les manifestations sont réprimées à la matraque. Ils font alors passer leur message par la force. Une voiture remplie d’explosif qui tue alors un certains nombre de personne. Ils sont alors fiers de leur action qui selon eux a permis de faire passer un message. Au même moment un président

[convaincu] Quand on était arrêté, on allait à Tulles. Oui Tulles et puis là, le supplice de la baignoire, le ci, le la, à l’hôtel Saint Martin, certains parlaient, d’autres parlaient pas, on les revoyait pas toujours, ils mouraient à force d’être matraqué [soupir], de temps en temps on sortait pour faire sauter un train, un point de ralliement, une milice quand c’était sur Brive, mais on peut pas dire qu’on a beaucoup souffert, on souffrait d’être isolé dans les bois, de vivre couper de tous, c’est

leader communiste (7 à 10) sont caractérisées par un hymne en crescendo qui n’est pas sans rappeler celui de l’Internationale. L’arrivée des policiers est marquée par des roulements de tambour et des rythmes très saccadés qui suggèrent les coups de matraque (11 à 14). La sortie de Charlot des égouts (15, 16, 17, 18) s’accompagne de la reprise du thème de la manifestation, joué plusieurs fois, avec différents instruments (tuba…), de plus en plus lentement, avec une dissonance finale, comme pour signaler

ensommeillés. Mais la partie n’est pas encore jouée, car trois heures plus tard les grévistes reviennent en force et pénètrent dans le palais. Le combat fait rage dans tout le bâtiment; armés de bouteilles et de bâtons, les grévistes répondent aux coups de matraques avec l’énergie du désespoir. Une soixantaine d’entre eux parviennent à se réfugier sur les terrasses et se prépare à la résistance. Une compagnie de CRS est appelée en renfort et le commandant à l’aide d’un mégaphone, parlemente avec le dernier carré