Maubeuge

Renault SA AUTOMOBILE FRANCE Renault s.a.s. Arkanéo Auto Châssis International (ACI) Le Mans Auto Châssis International (ACI) Villeurbanne Car life Siège et ses filiales Emboutissage Tôlerie Gennevilliers (ETG) Fonderie de Normandie IDVU IDVE RDREAM Maubeuge Construction Automobile (MCA) Renault Développement Industriel et Commercial (RDIC) Renault Retail Group SA et ses filiales SCI parc industriel du Mans SCI Plateau de Guyancourt SNC Renault Cléon SNC Renault Douai SNC Renault Flins SNC Renault Le

Castelnaudary (L) 4- Castres à Dinan (L) 5- Dinard à EU (L'Hermitage) (L) 6- Evaux (Chambon) à Grenoble le Versoud 7- Guéret à La Ferté Alais (L) 8- Langres à Les Mureaux (LP) 9- Les Sables d'Olonne à Luxeil (LP) 10- Lyon Bron à Marseille Marignane (LP) 11- Maubeuge à Metz (LP) 12- Meung-s-Loire à Montbéliard (LP) 13- Montceau les Mines à Mulhouse (L) 14- Nancy à Orléans (L) 15- Oyonnax à Pontivy (L) 16- Pont Saint Vincent à Saint Chamond (L) 17- Saint Cyr à Saint Nazaire (L) 18- Saint Quentin (Roupy) à Strasbourg

d’administration a approuvé les mesures à une large majorité et je pense que mon départ est une illusion ». Au cours de l’interview, Schweitzer ne souhaite rien dire quant au budget destiné à un plan social. Le lendemain, une usine d’assemblage de Maubeuge et un fabricant de sièges près de Douai sont les cibles des ouvriers de Renault. Par ailleurs, on apprend qu’à Colfontaine, une filiale d’Alcatel-Bell ferme. La solidarité se noue également avec les 300 travailleurs de l’entreprise Nova Electro Anternational

varier en fonction du résultat prescrit par la directive. → Arrêt du 18 juin 2002, Commission c/ France, affaire C-60/01. La Commission avait été saisie d'une plainte contre la France parce que l'auteur de la plainte estimait que l'incinérateur de Maubeuge ne respectait pas les conditions de combustion imposées par la directive. La Commission a constaté que la France n'avait pas pris toutes les mesures nécessaires pour garantir que l'ensemble du parc des incinérateurs était exploité conformément à

COMMISSION CONTRE FRANCE : recours en manquement ici, la France est attaquée car elle est supposée avoir violé le droit communautaire. La commission avait été saisie d’une plainte contre la France : l’auteur de la plainte estimait que l’incinérateur de Maubeuge ne respectait pas les conditions de combustion imposées par une directive. La commission a constaté que la France n’avait pas pris toutes les mesures nécessaires pour garantir que l’ensemble du parc de l’incinérateur était exploité conformément à

prescrit par la directive. - Arrêt « Commission c. France » (recours en manquement) du 18.06.2002 aff. C60/01 : la Commission avait introduit un recours contre la France car la Commission avait été saisi d’une plainte concernant l’incinérateur de Maubeuge. Il était reproché à cet incinérateur de ne pas respecter les conditions de combustion imposées par les directives. La Commission invoque devant le juge que la France n’a pas prise toutes les mesures nécessaires et appropriés pour que l’ensemble

d’insertion, 130 euros de RSA activité. Ma femme touche 200 euros de RSA. Une fois, j’ai été deux mois sans pouvoir payer. Ils ont repoussé au mois d’après. «E Avant, je n’avais jamais de problème pour régler mes factures, j’étais ouvrier à Maubeuge Construction Automobile, puis à Toyota. Toujours volontaire. Mais avec la crise, les intérimaires ne sont pas réembauchés. J’ai une voiture à rembourser, 250 euros par mois. On doit se serrer la ceinture, impossible de sortir au Flunch le week-end

privilégiant l’externalisation des services de logistique, voire quelques fonctions d’ingénierie, les embauches reprennent progressivement à la production selon les succès des modèles. Dans le nord de la France, entre les usines Renault de Douai ou Maubeuge ou les usines valenciennoises de PSA ou Toyota, les intérimaires ont l’habitude désormais de passer d’une usine à l’autre. Dans l’est de la France, après Sochaux, qui avait renforcé ses effectifs en 2014, c’est au tour du site de Mulhouse de créer

à coopération métropolitaine, lancé par le gouvernement français, a permis de former un autre partenariat, plus large mais plus souple, avec des régions situées au sud de Lille, dans l’ancien bassin charbonnier et autour d’Arras, de Cambrai et de Maubeuge. En mai 2005, un «protocole d’accord de coopération» a été signé dans l’«aire métropolitaine de Lille» par vingt-trois autorités publiques locales et régionales de France et de Belgique. L’objectif est de «constituer une métropole en réseau, combinant

industries: la métallurgie du fer (hauts fourneaux, fonderies, aciéries, laminoirs), du cuivre, du plomb, du zinc, la verrerie et la céramique. En dehors du pays Noir, un second centre d’industrie métallurgique s’est développé dans le Hainaut (Aulnoye, Maubeuge, Jeumont). On y fait surtout des pièces de forge, des moulages, tubes et boulons et de la construction mécanique. D’autre part Calais et surtout Dunkerque ont dû à leur fonction de port l’implantation d’industries: tulle, produits chimiques et