Maurice Scève Le Sourcil

avec le recueil L’Olive qui lancera cette forme. Au service du roi François 1° il écrit des poèmes de circonstance. A Lyon, capitale de l’imprimerie : école lyonnaise autour de Maurice Scève, Louise Labé : rénovateurs subtils de la poésie amoureuse .Maurice Scève est l’auteur de blasons du corps féminin, dont celui du sourcil. Louise Labé , femme très cultivée qui dirige un cercle littéraire, auteur d’élégies et de sonnets qui célèbrent l’amour. A Paris, formés par les maitres humanistes de l’illustre

l'occupe aussi pendant plusieurs années. Maurice SCEVE (1501-1564) : Né d’une famille bourgeoise aisée, il côtoie très tôt des personnages comme Clément MAROT, Étienne DOLET, Charles de SAINT-MARTHE et Guillaume du CHOUL son cousin. Il est le chef de file de ce qu'il a été longtemps convenu d'appeler « L’École Lyonnaise » : groupe de poètes lyonnais ayant les mêmes inspirations. C’est quelqu’un de plutôt solitaire, il ne collectionne pas les honneurs. Maurice SCÈVE se fait connaître dans la poésie en

Mathieu de Boutigny, Vau- celles, Jean le Blond. Marot, quoi qu'on ait dit, fut au contraire soutenu par tous les poètes de quelque renom, qui se procla- maient ses disciples, Des Periers, Brodeau, Melin de Saint- Gelais, Charles Fontaine, Scève, Héroêt. On échangea pendant quelques mois beaucoup d'épigrammes, de rondeaux, de triolets plus ou moins satiriques : mais, si l'on excepte les pièces vigou- reuses malgré tout, où Marot s'est défendu lui-même, tous ces 1. Épître LI, t. I

qui est notre moitié, et de revenir ainsi à notre nature première… (Mythe de l’Androgyne).  Louise Labé tient son « bureau d’esprit » dans sa maison lyonnaise. Elle appartient à ce que l’on nomme « la grande poésie lyonnaise » aux côtés de Maurice Scève et Pernette du Guillet.  Sa poésie obéit, en apparence, au pétrarquisme en en contournant les conventions et en en changeant l’esprit.  Elle manie parfaitement la rhétorique amoureuse de l’époque en donnant une touche plus féminine.  Elle chante

qui est notre moitié, et de revenir ainsi à notre nature première… (Mythe de l’Androgyne).  Louise Labé tient son « bureau d’esprit » dans sa maison lyonnaise. Elle appartient à ce que l’on nomme « la grande poésie lyonnaise » aux côtés de Maurice Scève et Pernette du Guillet.  Sa poésie obéit, en apparence, au pétrarquisme en en contournant les conventions et en en changeant l’esprit.  Elle manie parfaitement la rhétorique amoureuse de l’époque en donnant une touche plus féminine.  Elle chante

Berglemir et les 3 dieux qui déplacent la dépouille d'Ymir au centre du Néant et construire ensemble le monde. « Ainsi la chair d'Ymir permet de créer la terre, la sang la mer, les os les montagnes, les dents les falaises, les cheveux des végétaux, les sourcils la muraille entre les dieux et les géants, le crâne la voute céleste et le cerveau les nuages. » Dans la chair d'Ymir se trouve des nains qui naissent des vers et soutiennent ensuite la voûte céleste. Ils ressemblent à des hommes qui sont façonnés

avouant son goût pour la littérature au second degré. Il est un autre type de littérature secondaire, une autre manière d'écrire en lisant, qu'on hésite parfois à considérer comme un genre : le Du Bellay de M. Deguy, le Malherbe de F. Ponge, le Maurice Scève de P. Quignard, pour ne retenir ici que trois titres qui forment déjà série (un architexte donc). Cette relation de «commentaire» figurait, on s'en souvient peut-être, au programme de la poétique transcendantale esquissé par G. Genette dans le

sur l'artiste en vagabond  Rimbaud, "Ma bohème"  Aznavour, "Je me voyais déjà", "la Bohème", "Emmenez-moi" III Les images de la femme - quelques portraits poétiques de femme  Properce, Elégies I, 1  Ronsard, "Ode à Cassandre"  Maurice Scève, le blason du sourcil  "Femme noire" de Senghor  "le Rendez-vous perpétuel" d'Aragon Sur les chimères     Homère, Odyssée, chant XII (cf supra) Nerval, « Myrtho », « El Desdichado » Autoportrait de Maldoror chez Lautréamont, chant IV des Chants

scène est une description très importante puisqu’à chaque fée qui passe la beauté augmente, pour finir par la « Belle Dame », stéréotype de la femme protagoniste du Moyen-Âge, vers 572-574 : «où se détachaient sa belle bouche, son nez parfait, / ses sourcils bruns, son beau front, / ses cheveux bouclés et très blonds ». 6.4.4 Interventions de la narratrice et sa fonction dans le récit. La première intervention de la narratrice est l’incipit des vers 1 à 4, paragraphe dans lequel Marie de France présente

l'absence. L'évidence Man Ray - L'évidence - 1936 Ce dessin surréaliste est constitué par un collage d'éléments en gros plans empruntés à des photographies de Man Ray dont certaines sont bien connues. On y reconnaît en effet l'arcade fine du sourcil de Dora Maar mais l'œil clair de Lee Miller ; la bouche charnue est probablement aussi celle de Lee Miller, qui hante dessins et peintures de Man Raydepuis leur séparation en 1932, à moins qu'il ne s'agisse de celle de Meret Oppenheim, qui lui ressemble