Max Jacob

la femme amoureuse. 2.le jet d'eau celle-ci évoque ses amis qu'il a perdus de vue le point d'interrogation traduit le doute et l'inquiétude pour ses amis : Georges Braque : peintre Fauvisme (peinture abstraite) Derain : peintre et graveur. Max Jacob : écrivain → après la guerre il fonde le surréalisme,il est déporté lors de la 2eme G.M parce qu'il était juif. Raynal, Billy, Dalize sont des amis de G.A Champ lexical de la mélancolie : « naguère »  « souvenir » « mélancoliquement » « gris » « âmes »

durera qu'un an, et il s'éloignera peu à peu d'elle, à partir de 1918. Agé de 15 ans, il décide d'abandonner définitivement ses études pour se lancer dans le journalisme. Il se lie d'amitié avec de nombreux jeunes écrivains et compositeurs, tels que Max Jacob, Picasso, Modigliani. Aux débuts du Canard enchaîné, il signe quelques contes sous le pseudonyme de Rajky. 1918: il rencontre Jean Cocteau. Celui-ci, charmé par les poèmes que Radiguet lui lit, le conseille, l'encourage et le fait travailler. Par

peintre d’Aix sur lui. Le peintre se fond bientôt dans l’effervescence de la vie artistique parisienne et, dès 1908, travaille aux côtés de Modigliani, Laurens, et surtout Archipenko. Installé à la Ruche en 1908, il se lie avec Blaise Cendrars, Max Jacob et Guillaume Apollinaire et dialogue, entre autres, avec le peintre Robert Delaunay.

. 1901  Il prend le patronyme de sa mère : Picasso 1904  Il s’installe définitivement en France après y avoir fait 3 séjours les années précédentes. Il emménage d’abord au célèbre atelier de Montmartre où il rencontrera Braque ( mais aussi Max Jacob, Apollinaire , Matisse ) 1907 Picasso travaille à la composition des Demoiselles d’Avignon. C’est à partir de l’œuvre du peintre d’Aix-en-Provence qu’il se rapproche de Georges Braque. Ensemble, ils se consacrent à la formulation du cubisme. Mais

il découvre les légendes et paysages rhénans et publie trois poèmes sous un pseudonyme en 1901. En août 1902, il rentre à Paris, publie l’Hérédisiaque et signe pour la première fois Guillaume Apollinaire. En 1904, il devient ami avec Picasso et Max Jacob et élabore le cubisme, une nouvelle théorie artistique. En 1914, il s’engage dans la guerre, son aventure amoureuse avec Louise de Coligny-Châtillon venant juste de se terminer. Etant toujours amoureux, il lui compose plusieurs poèmes en 1915. Il

partage toutes ses descriptions sur le ravage de la guerre et ses effets sur Brest. L'écriture de poème d'engagement sert aussi en quelque sorte de s'évader, de partir dans un monde imaginaire, fuir les problèmes rencontrés de tous les jours. Pour Max Jacob c'était exactement ce cas-là ; il fut arrêté par la Gestapo (à cause de ses origines juives) et puis envoyé dans le camp de Drancy, où la réalisation de ses poèmes lui a donné la possibilité, grâce à son imagination, d'oublier ses maltraitances pour

premier livre d’un romancier de 17 ans ». Devant une telle publicité, qu’elle juge de mauvais goût, la critique est surprise, voire moqueuse et hostile. Mais, après la publication, Radiguet reçoit de chaleureuses félicitations d’écrivains tels que Max Jacob, René Benjamin, Henri Massis et Paul Valéry. Le jeune écrivain écrit dans Les Nouvelles littéraires le jour même de la publication de son roman, le 10 mars 1923, un article dans lequel il affirme que son roman qui puise pourtant dans sa vie est « une

Doumergue. En septembre 1926, il se marie avec Marguerite Cerruti, dont il divorcera deux ans plus tard, en 1928. En 1930, il est sous-préfet de Châteaulin dans le Finistère. Il y fréquentera des poètes locaux comme Saint-Pol-Roux à Camaret et Max Jacob à Quimper. Il fut également illustrateur du morlaisien Tristan Corbière. Parallèlement, il publie des caricatures et des dessins humoristiques dans la revue Le Rire sous le pseudonyme de Romanin. En 1932, Pierre Cot homme politique radical-socialiste

premier livre d’un romancier de 17 ans ». Devant une telle publicité, qu’elle juge de mauvais goût, la critique est surprise, voire moqueuse et hostile. Mais, après la publication, Radiguet reçoit de chaleureuses félicitations d’écrivains tels que Max Jacob, René Benjamin, Henri Massis et Paul Valéry. Le jeune écrivain écrit dans Les Nouvelles littéraires le jour même de la publication de son roman, le 10 mars 1923, un article dans lequel il affirme que son roman qui puise pourtant dans sa vie est «

professeur à l'École normale de musique de Paris. Il est également l'un des membres du groupe des Six, avec Georges Auric, Louis Durey, Darius Milhaud, Francis Poulenc et Germaine Tailleferre. Outre les Six, il a fréquenté Paul Claudel, Jean Cocteau, Max Jacob, Pierre Louÿs, Pablo Picasso, Erik Satie,Louis Jouvet et Paul Valéry, dont certains lui ont fourni des sujets pour ses œuvres. Il est enterré au Cimetière Saint-Vincent à Paris