Maximilien de Robespierre

avoir uns à uns gravi le échelons chef d’artillerie à Toulon prêt à remporter son premier fait d’arme. C’est en effet face aux britanniques que Napoléon remporte son premier fait d’arme lors du siège de Toulon. Envoyé par Robespierre-Augustin, frère de Maximilien de Robespierre à Toulon afin d’assister le général Dugommier. Bonaparte soumet un plan d’attaque qui entraine alors l’abandon de la ville par les forces britanniques et marque le début de l’ascension du futur empereur des français. Nommé

mort, en suspendant son exécution jusqu'après la ratification de la constitution par le peuple. » Ce vote exaspéra la Montagne, et valut aux Girondins l'accusation de royalisme. En mars, la commune de Paris essaya de conspirer; le 10 avril, Robespierre dénonça les Girondins comme complices de Dumouriez ; le 19 mai, Brissot, qui appréciait exactement le danger, écrivait à un ami: « On a guillotiné assez de cuisiniers, assez de cochers de fiacre, ce sont des têtes de conventionnels qu'il faut à

Jacques-Louis David entame en parallèle à sa carrière artistique une activité politique en devenant député à la Convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra d'être emprisonné lors de la réaction thermidorienne. Ses activités politiques prennent fin sous le Directoire. Il devient membre de l'Institut et se prend d'admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son service quand celui-ci

fut finalement pas adopté par l’Assemblée. Condorcet se trouva bientôt en mauvaise posture. Deux courants de pensée s’affrontaient quant à la manière de réformer l’État français : les Girondins, et les Jacobins, ces derniers dirigés par Maximilien de Robespierre. Condorcet, Girondin et opposé à la peine de mort, vota contre l’exécution de Louis XVI, mais ne fut pas exactement partisan de la clémence, en cela qu’il prôna la condamnation aux galères à vie, idée qu’il fut d’ailleurs l’un des seuls à

L’évolution de la conception des droits et libertés à travers les préambules des constitutions révolutionnaires : Citations : « Citoyens, vouliez-vous une révolution sans révolution ? » Maximilien de Robespierre. « Prenons-y garde, nous aurons peut-être un jour à nous reprocher un peu trop d’indulgence pour les philosophes et pour leurs opinions… La philosophie trop audacieuse du siècle a une arrière-pensée… » Louis XVI. « Sire, si l’on voit où les bonnes têtes ont mené la France, il ne

pics. Les chefs politiques sont renouvelés. Maximilien Robespierre (1758-1794) est « l’Incorruptible ». Avocat, député aux Etats Généraux puis la convention, il est le chef des Jacobins. Il s’oppose à George Danton (1759-1794) issu du même milieu mais plus ambitieux. Conventionnelle, il fond les Cordelier plus extrémiste et lance la Terreur. Rapidement cependant il en demande l’arrêt, aux contraire des enragée qu’ils veulent aller plus loin, Robespierre tend un compromis entre les deux tendances.

membres siègent à la gauche du président dans les travées les plus élevées de la montagne qui se distingue la plaine et les travées inférieure où se retrouve les députés les plus discrets ils sont menées par des hommes de de charisme que son Robespierre Danton Saint-Just marat et cetera les montagnards veulent un pouvoir fort centralisé pour avant tout consolider les acquis de la révolution et ne souhaite à aucun prix une guerre il s'appuie sur les sans-culottes parisiens toujours prêts à déclencher

maison de co"mmerce considérable. Madame de FonLenay arl'Íva au I?-lilieu de la ville en pleine terreur, apres la répression de la Gironde sous l' étreinte de deux proconsuls du nom oe Tallien et d'Isabeau, avec la surveilJance d'un petÍt séide de Robespierre, du nom de Jullien de Paris, jeune homme de vingt ans, qui avait l'art d'unir les chants de la Carmagnole aux plus jotis madrigaux de boudoir (1). (1) La eorrespondan.cc dc Jullicn dc Paris avce RolJespierrc, si curieuse, si expressive, a <lté publiée

de la guillotine Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, le privilège d'être décapité qui était réservé

au bout de la nuit « Le bonheur est d'abord une rupture, un isolement de toute la banalité des jours. » Robert Brasillach, Comme le temps passe « Vous avez dans les lois, tout ce qu'il faut pour exterminer légalement vos ennemis. » Maximilien de Robespierre « Il est plus sûr de travailler à améliorer la raison et le coeur des hommes, si peu que ce soit, et si grand que soit l'effort. » Maurice Challe, Notre révolte « Au paradis du tiers monde, pour accueillir leurs amis d'occident les