Maximilien de Robespierre

ressorts profonds résonnent comme des effervescences de surface les batailles, les crises, les emeutes et les décisions administratives. C'est une histoire d'ensemble. Ensemble d'évenements et de personnages comme Clovis, Saint Louis, Richelieu, Robespierre ou Jaurès mais aussi de structures économiques et sociales, de croyances religieuses, d'opinions de créations artistiques et littéraires, de pensées et de progrès scientifiques. Une histoire que l'on divise par souci pédagogique en deux grands moments

faire admettre le principe de l’égalité civile pour les juifs en septembre 1791. La même année il est nommé évêque constitutionnel de Blois puis, il est élu à la Convention qu’il présidera en novembre 1792. Membre des Jacobins aux côtés de Maximilien Robespierre, Antoine Barnave, Pétion de Villeneuve il combat les révolutionnaires un peu trop frigides. [pic] Député en 1789, né à Paris le 5 février 1759, mort à Appenzel (Suisse) le 15 août 1798, était, sous l'ancien régime

parmi les plus puissants souverains d'Europe. À la mort du Téméraire, ses possessions qui provenaient de la famille capétienne sont reprises par Louis XI mais les Pays-Bas reviennent à sa fille unique, Marie de Bourgogne qui les apporte à son époux Maximilien d'Autriche : le partage devient une source de conflit entre les maisons de France et d'Autriche. Le Moyen Âge s'achève sur la disparition des grandes principautés qu'étaient le duché de Bourgogne (1482) et le duché de Bretagne (vaincu en 1488

Entre septembre 1792 et 1795: 1ère phase: élaboration de 2 projets de constitution girondin et montagnard. 2ème phase: gouvernement révolutionnaire est un gouvernement de crise qui veut interrompre le W constitutionnel. 3ème phase: chute de Robespierre le 27 juillet 1794 / convention territoriel. Le calendrier révolutionnaire est voté le 5 octobre 1793 et appliqué à partir de 24 novembre suivant. L’an 1 de l’ère de la liberté est censé avoir commencé le jour de la proclamation de la Rep. Il

Peine De Mort Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 Mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeltier de Saint  est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l’Assemblée National Constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, le privilège d'être décapité qui était réservé

chambre des députés Le premier débat officiel sur la peine de mort en France date du 30 mai 1791, avec la présentation d'un projet de loi visant à l'abolir. Son rapporteur, Louis-Michel Lepeletier de Saint-Fargeau est soutenu notamment par Maximilien de Robespierre. Cependant, l'Assemblée nationale constituante, promulgue une loi le 6 octobre 1791 refusant d'abolir la peine de mort. C'est également avec cette loi qu'est uniformisée la méthode d'exécution, le privilège d'être décapité qui était réservé

académies et sociétés littéraires patentées ou dotées par la nation sont supprimées.» Par la suite, la Révolution se vit dans la nécessité d'imposer le français par des décrets rigoureux à travers toute la France, par la force si nécessaire. Sous Robespierre, le décret du 2 thermidor, an II (20 juillet 1794) sanctionna la terreur linguistique. À partir de ce moment, les patois locaux furent pourchassés. Cette loi «linguistique» nous donne par ailleurs une bonne idée des intentions des dirigeants révolutionnaires: 

partisan de la mort , et les girondins défendent louis 16 , ainsi peut on légitimer le jugement du roi . Au plan juridique , il est difficile d'accepter le jugement par l'assemblée . La condamnation du roi est une mesure du salut public , Robespierre prône que le roi doit mourir pour que la nation vive . Le projet montagnard fait adopté la constitution en l'an 1 ( 1793 ), cette constitution , innove sur le plan social en consacrant notamment le droit au travail , le droit à l'assistance

précédemment indiqués : 1.- Sur le rapport entre la politique et l'éthique : Pour Robespierre, le principe d'émancipation de la société ne pouvait être que la vertu, tandis que pour Jefferson, ce levier devait être l'intérêt. Comment faire naître des dispositions vertueuses dans la masse de la population, afin que le Souverain soit à même de garantir la Liberté et l’Egalité ? – Tel était le problème de Robespierre. Il avait repris de Rousseau l'idée que l'homme ne peut devenir un citoyen capable

la Révolution et entame en parallèle à sa carrière artistique une activité politique en devenant député à la Convention et ordonnateur des fêtes révolutionnaires. Son engagement l'amène à voter la mort du roi Louis XVI, et son amitié pour Maximilien de Robespierre lui vaudra, à la chute de celui-ci, d'être emprisonné. Ses activités politiques prennent fin sous le Directoire, il devient membre de l'Institut et se prend d'admiration pour Napoléon Bonaparte. Il se met à son service et il réalise pour