Mayflower

15ème, 16ème siècle dans le contexte colonial où on retrouve un grand nombre d'accord de chartes, de textes, qui avaient pour objectif de fixer des limites aux pouvoirs des colonies et de reconnaître des droits aux individus. Le premier texte est le MayFlower Compact de 1620 qui mentionne la liberté religieuse et une forme de liberté d'expression, et toute une série de textes : « Acte pour les libertés du Peuple » (1638), « Corps des D&L du Massachusetts » (1641), « Charte des libertés et des privilèges »

puritains en Ecosse, en Hollande, en Allemagne, va être considérable, et encore plus en Amérique car, persécutés un temps en Angleterre, ils constitueront une part essentielle du peuplement fondateur. C'est le cas du groupe de Quakers, passagers du Mayflower, qui fonde en 1620, l'actuel Massaschussets, ou de Franklin, un des pères de la nation américaine. Par contre, la France, particu­lièrement après la révocation de l'édit de Nantes (1598), va les pourchasser, leur dynamisme ira s'ac­complir ailleurs

après les régimes autoritaires majoritairement d’extrême-droite soutenus par les Etats-Unis, de véritables démocraties. 1. Les Etats-Unis, régime présidentiel fondé sur le principe des contrepoids. En 1620, débarques en Amérique du Nord le Mayflower, bâtiment chargé de gens martyrisés sur le plan religieux parcequ’ils revendiquaient des différences religieuses. Ces migrants sont partis là-bas avant tout pour créer un pays où chacun pourrait pratiquer la religion de son choix. Leurs descendants

promptement, en toute hâte, précipitamment. Page 49 : « se dessaler » : devenir moins niais, plus déluré. Page 50 - « roublardise » : astuce, ruse, habileté. - « s'embusquer » : se faire placer à un poste sans risque. Page 51 - « le “Mayflower” » : le bateau qui transporta de l'autre côté de l'océan les premiers colons anglais (en fait, à Plymouth et en 1620). Page 53 : « souffler une femme (à quelqu'un) » : la lui enlever. Page 54 : « orientalo-fragonarde » : qui évoque la sensualité

partiellement européenne : presque tous originaires de l’Europe. Point qui a joué rôle important → toujours gardé un regard sur l’Europe. Du point de vue de ces institutions, que ce que recherchaient les migrants anglais et irlandais au bord du Mayflower : peur de certains modèles politiques et envie de construire autre chose. - origines anglo-irlandaises : Histoire commune qui est aussi explication de la position particulière de la GB vis-à-vis de l’Europe et vis-à-vis des EUs. On peut expliquer

langue et un seul discours. Et si cela se réalisait, le paradis ne pouvait pas être loin derrière. De même que Babel avait été construite trois cent quarante ans après le Déluge, ce serait exactement trois cent quarante ans après l’arrivée du Mayflower à Plymouth que l’ordre serait exécuté. Car c’étaient sûrement les puritains, le nouveau peuple élu de Dieu, qui tenaient en leurs mains la destinée humaine. Contrairement aux Hébreux qui avaient démérité de Dieu en refusant d’accepter son fils

des mille » (pasteurs), il persécute les sectes « dissidentes », dont le nombre s'accroît de baptistes, d'indépendants, et dont les plus menacées ont le choix entre l'exil en Hollande ou l'émigration vers l'Amérique, à l'instar des voyageurs du Mayflower en 1620 ; Charles I er suit l'exemple de son père et, dans les années 1630, conseillé par l'archevêque Laud, multiplie les poursuites, faisant traduire les dissidents pour rébellion devant la Chambre étoilée, suscitant à leur encontre des peines

sont développés dans 3 états différents des E-U et en particulier dans la côte Est des E-U. ( 1er modèle Il y a d’abord l’état du Massachusetts où il y a Boston. Boston, c’est le lieu où arrivent les protestants les plus puritains avec le Mayflower. On trouve encore cette caractéristique aujourd’hui. Une ville très déterminée par une immigration anglaise qui correspond le plus a l’étiquette de WAPS (withe anglo-saxon protestants) c à d le terme utilisé pour désigner les blancs protestants.

s’américanise rapidement. J’entends bien qu’il y a de nombreux Américains qui descendent des Pères et Fondateurs et qui ont une tradition locale remontant au XVIIe siècle. Si l’on en croyait les Américains, ils auraient eu presque tous un ancêtre dans le Mayflower. En fait, les régions où la tradition des Fondateurs demeure vivace sont limitées à quelques villes et villages de l’Est et du Sud. Hors de Boston, Philadelphie, p.171 New York, Baltimore, hors de la Virginie et de quelques autres Etats, il y a aux

plus particulier, car les conditions 8 de vie sont difficiles, et correspond à une démarche plus risquée d’individus, souvent des célibataires, en proie au mirage de la quête de l’or. Doc. 3 1. Les États-Unis, terre de liberté religieuse (cf. le Mayflower) est vue par les Juifs d’Europe centrale, et particulièrement de Russie (cf. Nicolas II désigné par Roosevelt sur l’image), victimes des pogroms de la fin du XIXe siècle, comme un refuge. Cette image a un double sens : certes, c’est une dénonciation