Mazarinade

non la Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 117 moindre, il y eut le jansénisme, cette Réforme sans schisme, qu'on a pu appeler « la Fronde religieuse ». Les pamphlets contre Mazarin et les polémiques avec les jésuites, les « mazarinades » et les Provinciales (bien que légèrement postérieures) partent du même esprit. Un admirateur de la Fronde l'a appelée « la guerre des honnêtes gens contre les malhonnêtes gens ». Si elle avait réussi, on lui aurait certainement reconnu les caractères

part, et non la Jacques Bainville, Histoire de France (1924) 117 moindre, il y eut le jansénisme, cette Réforme sans schisme, qu'on a pu appeler « la Fronde religieuse ». Les pamphlets contre Mazarin et les polémiques avec les jésuites, les « mazarinades » et les Provinciales (bien que légèrement postérieures) partent du même esprit. Un admirateur de la Fronde l'a appelée « la guerre des honnêtes gens contre les malhonnêtes gens ». Si elle avait réussi, on lui aurait certainement reconnu les caractères

his thirteen Satyres (1608–13) made little impact on the vogue for coarse vituperation which then passed for satire, from Sigogne (c.1560–1611) or Sonnet de Courval (Satires contre les abus et désordres de la France, 1622) to the several thousand Mazarinades which, during the Fronde, heaped abuse on France’s much-hated first minister. Boileau Literary querelles and salon rivalries raised the tone but were generally stronger on venom than wit. It was left to Boileau to revive Régnier’s view of satire