Medecine Et Derive

HISTOIRE DE LA MEDECINE I-ECHELLE DES TEMPS - préhistoire : (av -1700) pas de traces écrites d’activités curatrices, pas de dessins humain, rien de médical - Sumériens - Antiquité : (à partir de -1700 jusk +476) (fin de l’empire romain d’occident car coup d’état. Tt la partie orientale a survécu pdt 1000ans) *Egypte *Grecs *Romains - My âge : 476(1443 fin de l’empire romain

novembre 2013. C’est un établissement qui accueille majoritairement des patients en soins libres avec leur consentement (elles disposent des mêmes droits d’exercices des libertés individuelles que les malades soignés pour une autre cause, libre choix du médecin et de l’établissement, et choix de la fin des soins). Cette structure possède un accueil de 74 lits pour adultes et 14 lits pour adolescents. Dans un premier temps je vais présenter la situation qui m’a permis de réaliser mon analyse. Ensuite mon

inutiles chez le médecin et à demander des soins dont il n’a pas besoin (risque « x post »). Les médecins, de leur côté, multiplient les examens et traitements inutiles, parce que cela les enrichit et que le patient, qui ne paie pas, est ravi de pouvoir bénéficier de tant d'égards. En effet, ni les patients ni les médecins ne subissent de pénalités lorsque leurs comportements dépassent la limite du raisonnable. Ainsi, des mesures de régulations sont indispensables pour conduire médecins et patients

SHS : En quoi l’éthique éclaire la médecine moderne ?Hippocrate père symbolique de la médecine moderne Grèce antique Médecine hippocratique  : Rupture avec la médecine magiqueCorpus de connaissances par l'observationMédecin désigné par le peuplePas de santé publiqueApproche corps, esprit, comportement, environnementMédecine des faits et de l’observation / rupture avec la médecine magiqueCorps humain = solide + liquide (humeur)Santé = équilibre des humeurs, et relation harmonieuse

Droits de l’Homme Hippocrate : « primum non nocere » Antigone (Sophocles) 1789 1948 Code de Déontologie 2002 : Loi Droits des Malades Dans la relation très asymétrique (autant du point de vue de l’information que de la décision) médecin – malade, on retrouve à 95% un consensus éthique. 5% des cas posent cependant problème. Cas d’une transfusion nécessaire chez un témoin de Jéhovah suite à un accouchement suivi par un saignement utérin On a ici contradiction entre à la fois les

L’euthanasie 1. Définition des termes importants Euthanasie active : injection par un médecin d’une substance qui va provoquer la mort Euthanasie passive : arrêt d’un traitement, de l’hydratation qui entraine la mort = arrêt brutal = s’oppose à l’acharnement thérapeutique Laisser mourir : loi Léonetti 2005 : médicaments antidouleurs qui plongent dans le coma et entrainent la mort. Pas d’arrêt brutal comme euthanasie passive. S’oppose à l’acharnement thérapeutique Sédation profonde : traitement qui

suite d'une erreur de liaison, deux médecins découvrent en 1886 les propriétés antipyrétiques de l'acétanilide. L'acétanilide est alors synthétisé à partir de l'aniline, molécule clé de l'industrie des colorants. Les dérivés de l'aniline déjà connus à l'époque,  notamment la phénacétine, suscitent alors l'intérêt des médecins. En 1893, le médecin allemand J.von Mehring publie ainsi les résultats de ses études cliniques sur le paracétamol. Toutefois, ces dérivés de l'aniline en raison de leur toxicité

ni être indifférent. La médecine qui a beaucoup évolué, peut se vanter d'avoir fait de nombreuses avancées dans la guérison et la decouverte de nouveaux traitements. Elle n'est pour autant , pas encore en droit d’accompagner de manière active une personne dans la mort. Il est vrai que l' on peut actuellement de manière passive mettre fin à la vie grâce au député Leonneti qui a instauré un droit au «laisser mourir», avec des soins palliatifs. Le fait qu'un médecin ne puisse aider une personne

Une transfusion sanguine est une opération consistant à injecter, par perfusion intraveineuse, du sang ou des dérivés sanguins. Dans le système de santé français actuel, seuls les médecins, infirmiers et sages femmes ont le droit de pratiquer des transfusions sanguines. Seulement des personnes âgées de 18 à 50 ans et n'étant pas obèse peuvent donner leur sang, celles qui prennent des médicaments ou ayant subi une opération un tatouage ou une greffe d'organe, ainsi que les femmes enceintes

* Prescrite par le médecin * Contrôlée et délivrée par le pharmacien * Exécutée par le malade ou une tierce personne (infirmier) * (examinée par les médecins des organismes) - Engage juridiquement la responsabilité du médecin I. Les différentes classes de médicaments - Médicaments à prescription médicale facultative - Inscrits sur une liste (prescription obligatoire) - À prescription restreinte - D’exception - Statut « hors AMM » - Médicaments Dérivés du Sang (MDS)