Medee Monologue Deliberatif

⋄ - (Prouvez que ce passage est un monologue délibératif) Dans Médée, tragédie classique représentée en1635, Corneille reprend un mythe antique bien connu de ses contemporains, celui de Médée qui, après avoir aidé Jason lors de la conquête de la Toison d'or, et quitté la Colchide pour l'accompagner, estrépudiée par celui-ci, qui lui préfère la princesse Créuse. Médée, ne pouvant supporter une telle humiliation, entreprend de se venger. Le monologue de la scène 2 de l’acte V va alors mettre en

1) Médée : figure de la puissante sorcière vengeresse - v. 974 à 978, 985 à 1000 (plein d'invocations dans la tirade) - expression de sa puissance dans sa haine (premiers vers de l'acte) 2) Le démarrage de la vengeance infernale - élément déclencheur: Creuse veut la robe de Médée v.962 - empoisonnement de la robe v.973 - citations mythologiques -> que des histoires tragiques -> projection de la mort de Creuse 3) Médée trouve un allié dans sa vengeance - Nerine clef de la

introduction Médée est une tragédie de Pierre Corneille, dramaturge de l'époque classique. Cette pièce a été jouée pour la première fois en 1635, elle retrace la fin tragique de l'histoire d'amour entre Médée et Jason. Corneille nous présente une femme monstrueuse qui renie son rôle de mère pour se laisser envahir par la haine, la jalousie qu'elle éprouve en tant que femme trompée. Apprenant que ses enfants seront sous la garde de son ennemi par l'homme qu'elle aimait, Médée commence à faire

dans chacun des quatre textes du corpus suivants : - Médée (1635) de P. Corneille - Andromaque (1667) de J. Racine, -Rodogune (1664) de P. Corneille et Britannicus (1669) de J. Racine. Pierre Corneille et Jean Racine sont tous les deux...1237 Mots 5 Pages Disserte DISSERTATION SUR LE THEATRE CORPUS : 1- CORNEILLE : Médée (1635) 2- RACINE : Phèdre (1677) 3- BECKETT : Fin de partie 4- Bernard-Marie Koltès : Roberto Zucco (1988) QUESTION (4 pts) Qu’est-ce qui fait l’unité du corpus ? Attention, ce

de 910 a peu près Il nous parle de Médée qui se parle à elle même ,doute et essaye de prendre une décision par rapport à son dilemme . Tout d'abord nous examinerons le doute de Médée puis les caractères d'un personnage tragique de cette histoire. Par quels procédés met il en évidence les passions violentes qui tourmentent le personnage ? Le doute de Médée se caractérise a travers plusieurs choses : tout cela est montré par le monologue délibératif qui montre qu' elle se parle à elle même

Parcours : « Crise personnelle, crise familiale » Explication linéaire 1 : Médée, Sénèque ( 1er siècle après J.C ) ÉPILOGUE : Médée tue ses enfants · Introduction : Les tragédies antiques d’Eschyle, Euripide

Sénèque le Philosophe, Sénèque le Tragique ou Sénèque le Jeune (par opposition à son père : Sénèque l’Ancien) 2. La philosophie de Sénèque : Le stoïcisme 3. L’œuvre littéraire de Sénèque II. Les figures d’Œdipe et de Médée 1. Œdipe Les origines Reprises et variations 2. Médée Histoire et origines Interprétations Pour l’analyse des extraits, voir la page suivante [Fichier audio : « Sénèque – Sé8 Part2 »] III. Analyse des extraits ŒDIPE Questions : 1. Sur quel procédé théâtral est construit

premiere tragédie mythologique en 1635, époque a laquelle les canons du classicisme ne sont Pierre C ar R pas encore tres bien définis au théatre. Sa Médée est donc encore tres baroque : dans la démesure de son personnage, ’ a représentation finale de la mort de Jason sur scéne, ou encore dans le merveilleux trés present par exemple, ou dans! (Médée est une magici : didactiques de Corneille sont les mé! au phénoméne de catharsis. J enne qui senfuit a la fin sur un char tiré par deux dragons ailés)

Commentaire littéraire des vers 891 à 977 de la scène X dans Médée, de Sénèque Dans l’Antiquité, la notion de stoïcisme se développe fortement et devient peu à peu le stoïcisme impérial (morale fondée sur l’effort et l’intention de faire le bien) avec des auteurs et philosophes tels Marc-Aurèle, Epictète et le non moins célèbre Sénèque. Philosophe latin (pourtant originaire de Cordoue en Espagne) donc mais aussi auteur de traités moraux (De la clémence, Des bienfaits), précepteur de Néron et

consiste en un long monologue du personnage de Lyse, la servante d’Isabelle. Ayant précédemment fait face à l’annonce invraisemblable de Clindor déclarant son amour pour elle et affirmant ne courtiser Isabelle que par intérêt, Lyse ne manque pas d’exprimer tous ses ressentis à travers une longue prise de parole. Cette tirade particulièrement expressive est marquée par un fort registre tragique et semble élever le personnage de Lyse au-dessus de son statut de servante. En quoi ce monologue, tout en correspondant