Médée

guerre de Troie. Il en existe plusieurs versions, l'œuvre de référence est les Argonautiques d'Apollonios de Rhodes(-295;-215),auteur grec et un poème de Valérius Flaccus, auteur latin. Ces aventures ont inspiré les poètes tragiques comme Euripide (Médée) ou Corneille. Pour aller chercher la toison d'or, Jason choisit une cinquantaine d'hommes(leur nombre varie suivant les versions). Parmi eux on trouve Hercule, Héraclès et son demi-frère Iphiclès, Éthalidès fils du dieu Hermès, Orphée le musicien

L'héroïne de la pièce est la magicienne Médée, qui, répudiée par Jason après lui avoir donné deux enfants, accomplit sa vengeance en empoisonnant la nouvelle épouse de Jason, Créuse, et en égorgeant ses propres enfants. Le dernier acte se termine sur la fuite de Médée sur un char tiré par deux dragons et sur le suicide de Jason. Médée incarne depuis l’Antiquité l’effet dévastateur de la passion de vengeance. La première tragédie de Corneille, créée en 1635 est encore fortement marquée par le

Pierre Corneille, Médée écrit en 1635, de Victor Hugo, Lucrèce Borgia en 1833 ainsi que le texte de Jean Giraudoux Electre (1937). Ils ont été écrits à trois périodes différentes (l’un au XVIIe siècle, l’autre au XIXe et le dernier. Ce sont trois extraits de textes théâtraux appartenant au genre tragique. À travers ces pièces, nous pourrons voir comment s’exprime la violence de ces trois femmes. Tout d’abord, nous pouvons remarquer une différence d’écriture ; le texte de Médée est écrit en alexandrins

Toison, aidé par la magicienne Médée, qu'il épousa. À leur retour à Iolcos, Médée, pour venger Jason, assassina Pélias en persuadant ses filles de le faire bouillir dans une marmite sous prétexte de le rajeunir. Mais elle fut, avec Jason, chassée par le fils de Pélias et ils durent se réfugier chez Créon, roi de Corinthe. Plus tard, Jason abandonna Médée pour Créüse, la fille de Créon (cette trahison et ses conséquences fournirent à Euripide le sujet de sa tragédie Médée). Enfin, Jason revint à Iolcos

les véritables sentiments ainsi que le vrai visage des personnages. Le monologue peut prendre une fonction délibérative. En effet, le personnage est confronté à un choix et doit prendre une décision en pesant le pour et le contre. C’est le cas de Médée dans l’ouvrage de Corneille. Dans l’acte V scène II, elle fait face à un dilemme terrible. Epargnée ses enfants ou les tuer et assouvir sa soif de vengeance envers Jason. Dans cette scène, elle se demande s’il est vraiment nécessaire qu’elle tue ses

revisitent les mythes avec une grande liberté de ton : Médée (-431), Alceste (-438). La légende de Médée est particulièrement sombre. En effet, elle est constituée d'une succession de meurtres commandités par Jason et sa haine de vengeance envers Pélias, le roi usurpateur d'Iolcos. Puisque Médée était folle amoureuse de Jason, elle pris part à sa vengeance et mena les opérations. Sa vengeance meurtrière a donné naissance au complexe de Médée. La légende d'Alceste, quant à elle, se déroule pendant

 Les extraits de ces œuvres de Euripide ,Médée en 431 avant Jésus Christ, Antonin Artaud,Le théâtre et son double,publié 1938 au moment ou l'auteur se fait interné, ainsi que Jean Anouilh,Médée en 1946, ces deux auteurs appartiennes au XIXe siècle Contrairement a Max Rouquette ,Médée,en 2003 bien après.Ces extraits sont des pièces de théâtre.Le thème commun portent sur le théâtre. L'extrait de Euripide,Anouilh et Rouquette sont des dénouements d'une mythologie grec.Comment les didascalie

textes dont deux écrits par Racine « Andromaque » extrait de la scène 5 de l'acte IV et « Bérénice » extrait de la scène 5 de l'acte IV puis « Médée » de Corneille nous pouvons constater que le discours des trois personnages féminins évolue au fil des extrait, en premier lieu nous pouvons observer le temps de parole des trois femmes. Dans le premier texte « Médée » le temps de parole de la magicienne est tout à fait égale part apport à celui de Jason son époux contrairement aux deux textes suivants.

final, c’est la mort d’Hamlet, mais aussi sa propre mort. Tous deux on voulu se venger et l’on payé de leur vie. Et personne ne saura jamais si c’était la meilleure chose à faire. Dans « Médée » de Euripide, la vengeance est abordée de manière différente. Au lieu de s’attaquer à son ex-mari en le tuant, Médée décide de s’attaquer à lui en tuant ce qu’il a de plus cher au monde : ses enfants. Ce même procédé (tuer un ou plusieurs proches de la personne que l’on veut blesser) est repris dans « Thyeste »

aurait déjà tranché ma destinée ; Mais je laissais gémir la vertu soupçonnée : J’ai voulu, devant vous exposant mes remords, Par un chemin plus lent descendre chez les morts. J’ai pris, j’ai fait couler dans mes brûlantes veines Un poison que Médée apporta dans Athènes. Déjà jusqu’à mon cœur le venin parvenu Dans ce cœur expirant jette un froid inconnu ; Déjà je ne vois plus qu’à travers un nuage Et le ciel et l’époux que ma présence outrage ; Et la mort à mes yeux dérobant la clarté, Rend