Médullaire

↑ latences distales, bloc de conduction, ↓du potentiel d'action sensitif/moteur. - Sérologie virale : HIV. - ECG. 2 - Bilan inflammatoire, NFS, VS, CRP, EPP. - Ionogramme. - ECBU. DIAGNOSTIC DIFFERENTIEL : - Compression médullaire. - Pathologie vasculaire médullaire. - Syndrome de la queue de cheval. - Autre neuropathie périphérique. - Poliomyélite. - Crise miasmatique. - Polyradiculonévrite chronique. PRISE EN CHARGE : - Le but du traitement c'est améliorer l'état du malade en évitant

différenciée Les Cellules Souches Caractéristiques des CS Hématopoïètiques (CSH) • localisées dans la moelle osseuse • Contenues dans le microenvirronement médullaire • mobilisables • Circulation temporaire et rapide dans le sang • Appellées CFU-S (colony forming unit) • Peu nombreuses • 0.01 à 0.05% des cellules médullaires • Non identifiables morphologiquement • Exprimant des marqueurs de surface •CD34 6 07/10/2013 CFU-L : progéniteur lymphoïde CFU-GEMM : progéniteur

troubles du sommeil – anxiété & dépressionMultiples causes de douleur :· Douleurs liées à la pathologie · Douleurs liées aux soins et aux thérapeutiques · Pathologies banales Épidémiologie :· IMC 70%· Polio 80%· Traumatismes crâniens 50%· Blessés médullaires 60%· Amputés 30%· SEP 55%· AVC 40%· Parkinson

(y compris la médullaire osseuse) et dans le crâne le cortex et la substance blanche afi n de distinguer : T1, – T1 avec injection de gadolinium, – T2, – T2 avec saturation du signal de la – graisse (T2 F.S), Pour les plus curieux :• FLAIR, (Cerveau seulement) – Diffusion, (Cerveau surtout). – T2 étoile, (cerveau uniquement). – 3D TOF, (Cerveau uniquement). – T1 T2 T2 F.S. FLAIR Eau, LCR Noir Blanc Blanc Noir Graisse Blanc Blanc Noir Noir Sang Variable Var. Var. Var. Os médullaire Blanc Blanc

existait une relation linéaire entre le nombre de cellules et le nombre de nodules formés. La concentration de précurseurs hématopoïétiques, appelées CFUs de l'anglais "colony forming unit in the spleen" est d'environ 1 cellule pour 1000 cellules médullaires. Ces auteurs ont par la suite montré que les CFUs sont capables de générer des colonies de différents types histologiques. [pic] Fig. 2: Preuve de l’existence de précurseurs hématopoïétiques (Till et Mac Culloch, 1962) - Clonalité

pour rechercher notamment une carence en fer (ferritinémie). Un fond d'œil peut être réalisé dans le but de visualiser d’éventuelles thromboses artérielles ou veineuses. Enfin, un myélogramme (= ponction sternale), voire une biopsie ostéo-médullaire peut-être effectuée sous anesthésie locale au niveau de l’os iliaque dans le but de prélever un échantillon de moelle osseuse. L’étude de ce dernier au microscope permet d’analyser les cellules à l’origine des cellules sanguines et de détecter

reste des tissus, nous pouvons bien voir les os et les articulations. Les os sont constituer de plusieur spécialisation de tissu conjonctif tel que du tissu osseux qui forme la partie dure de l’os et du tissu adipeux qui se trouve dans la cavité médullaire et qui encore stock les graisses. L’os est lui aussi recouvert d’une couche de tissu conjonctif dense. Au bout de l’os nous observons un tissu de couleur blanche. Il est dur et lisse, c’est le cartilage. Dérivation du tissu conjonctif, le tissu

production végétale- Tome III- Soltner D.- STA- 1999 5/7 BE-I1sn Document 2c Observation des nodosités Coupe longitudinale d' nodosité une (zone médullaire) en microscopie optique (grossissement X 40) Extrait de Les bases de la production végétale- Tome III- Soltner D.- STA- 1999 Coupe transversale d' nodosité une (zone médullaire) en microscopie électronique à transmission (barre noire : 3 m) Extrait de La Symbiose- Selosse M.A.- Vuibert- 2005 6/7 BE-I1sn Document 2d

ité du message nerveux véhiculé jusqu’au  cerveau et diminuent donc fortement la sensation de douleur.    Les enképhalines sont sécrétées par des interneurones spécialisés qui établissent des contacts  synaptiques avec les neurones nociceptifs médullaires (de la moelle épinière) localisés dans la  corne dorsale.            Elles vont se fixer sur des récepteurs spécifiques localisés dans la membrane des neurones post‐ synaptiques.    Elles inhibent (inhiber : empêcher ou ralentir un processus physiologique) ainsi la transmission des 

drépanocytose, qui peut conduire à l’urémie terminale (environ 20% des patients ayant des signes de néphropathie atteindront ce stade). Les traits caractéristiques de la néphropathie drépanocytaire sont d’une part la vaso-occlusion et l’hypoperfusion médullaire, d’autre part l’augmentation de la perfusion corticale et du débit de filtration glomérulaire (DFG). Les mécanismes reliant les phénomènes hémodynamiques et les lésions fibreuses et inflammatoires de la néphropathie constituée sont mal connus. Nath