Mème

PUIS-JE ME CONNAITRE MOI-MÊME ? Immédiatement, une telle connaissance ne semble pas problématique : s’il est une chose, en effet, qui peut m’apparaître comme des plus familières, c’est bien moi-même. Dans la mesure où j’ai conscience de moi-même et où cette conscience accompagne les moindres faits de mon existence, il n’y a rien de plus évident que cette claire présence de soi à soi. En ce sens, l’objet d’une telle connaissance est sans mystère car sans distance. Ainsi, ce

PUIS-JE ME CONNAITRE MOI-MÊME ? Immédiatement, une telle connaissance ne semble pas problématique : s’il est une chose, en effet, qui peut m’apparaître comme des plus familières, c’est bien moi-même. Dans la mesure où j’ai conscience de moi-même et où cette conscience accompagne les moindres faits de mon existence, il n’y a rien de plus évident que cette claire présence de soi à soi. En ce sens, l’objet d’une telle connaissance est sans mystère car sans distance. Ainsi, ce qui nous apparaît

Suis-je conscient de moi-même ? Le sujet humain se distingue de l’animal par sa capacité à penser, par la présence d’une conscience. Celle-ci se définit par le savoir que nous avons de nous même et du monde qui nous entoure, en nous et en dehors. Elle est donc naturellement opposée à l’instinct bien qu’une partie de la nature humaine en est habitée. L’Homme aurait donc des aptitudes morales, celles de penser, juger, connaître, retenir, interagir, anticiper et même celle de douter… Descartes

ne pas être soi-même ? On ne peut se soustraire à notre propre conscience, quand bien même essaierait-on de devenir un autre ; car celle ci fait partie de notre être. L'expression « être soi-même » peut nous apparaître comme un pléonasme : en effet, qui sommes-nous, sinon nous-même ? Pourtant, il nous arrive de dire « j'étais hors de moi », ou « je n'étais plus moi ». Ces tournures révèlent que l'évidence de ma propre identité était comme suspendue. Mais dans le fond, même si je dis « ne pas

conséquences de nos actes. L'expression « par soi-même » induit que cette réflexion est particulière et indépendante de tout facteur extérieur. Cela lui confère un caractère autonome, donnant à la pensée la possibilité de se construire seule, c'est-à-dire libérée de toute influence exercée en dehors du sujet lui-même. Mais, si l’homme ne pense pas par lui-même, alors comment pense-t-il ? Comment bien penser ? Et pourquoi ne pense t-il pas systématiquement par lui-même ? L’homme a tendance à croire que ses

Isselin Laurie May TES3 Dissertation de Philosophie (à rendre pour le 22/10/2010) : Sujet : Peut-on se connaître soi-même ? Depuis Socrate et l’injection de la Pythie au temple de Delphes « Connais-toi toi-même », l'homme a depuis toujours aspiré à plus de connaissances ce qui en découle aujourd'hui à la multitude de connaissances que nous avons à notre disposition. Si ces connaissances peuvent être d'ordre matériel, elles le sont donc aussi de l'ordre de la connaissance de soi. Ainsi

Nous allons tout d'abord montrer que l'homme peut s'évader de soi-même au sens où l'homme a choisie l'évasion comme mode de vie. Ce qui pourrait être constitutif de notre existence est nous sommes malheureux. L'homme éprouverait donc le besoin de se divertir. Dans son premier sens, en latin,le divertissement est une pratique d'esquive du genre humain, typique de son existence. Les animaux, ou tout autre être vivant n'ont pas cette conscience et cette capacité a se projeter dans le futur ou le passé

contradiction ? 1,. Si cette expression avait un sens quel serait-il ? a. Etre soi même : unité : être < un >, objectivement par son corps, intérieurement, j'agis dans la continuité cie mon être et je me reconnais comme une personne (exemple : le b. rapport à notre corps dans le fait que quand j'agis via mes membres par ex je suis conscient que c'est moi qui le fais) Etre soi même : unicité : ce serait être unique, non interchangeable et différent de tous les autres par revendication

informé de. • même : Analogue, aussi, égal, identique, uniforme. • On est le mieux placé pour savoir ce que l'on pense et ressent, bref, ce que l'on est. Car chacun d'entre nous est le seul à avoir un accès immédiat et transparent à son intériorité. Le cogito de Descartes : «je pense donc je suis », ou «je suis, j'existe », montre ainsi que toute pensée est immédiatement conscience et connaissance de soi. Elle est personnelle et intransmissible. On peut donc se connaître soi-même. Ou : L'homme

Dossier peut-on se connaitre soi-mêmePeut-on se connaitre soi-même? Platon, Charmide,164d La connaissance de soi est condition de toute connaissance. CRITIAS J'aurais même presque envie de dire que se connaître soi-même, c'est cela la sagesse, et je suis d'accord avec l'auteur de l'inscription de Delphes. (...) Voilà en quels termes, différents de ceux des hommes, le dieu s'adresse à ceux qui entrent dans son temple si je comprends bien l'intention de l'auteur de l'inscription. A chaque visiteur