Memoire Des Opcvm Maroc

Universitaire : 2010 / 2011 A mes parents A mes professeurs A mes amis REMERCIEMENTS Le présent mémoire est le fruit des efforts consolidés de plusieurs personnes ayant contribué de près ou de loin à son élaboration. Je tiens à remercier en premier lieu M. Khalid SOBHI pour sa disponibilité et son bon encadrement, et à qui je suis redevable de la réussite de ce mémoire. J’ai également l’honneur d’adresser mes vifs sentiments de remerciement et de gratitude à l’ensemble du corps

ventilation du patrimoine des ménages en 2004 (en milliards d'euros) Placements Monnaie Dépôts à vue Placements à vue (livrets A, bleu, jeunes, populaire,...) Placements à échéance Épargne contractuelle Placements en assurance-vie Obligations OPCVM monétaires OPCVM non monétaires Actions et autres participations Autres Total Encours 36,2 235,2 367,9 28,5 271,6 896,4 44,6 30,7 229,1 465,6 132,6 2850 Flux 4,5 15,9 24,7 - 2,0 4,3 57,6 - 2,7 - 2,4 - 8,5 19,7 10,6 121,8 L'ÉPARGNE RÉGLEMENTÉE : TAUX DE

l’examen final de l’Université de Nouakchott, en vue de l’obtention de la Maitrise en Droit, option Droit des Affaires. L’étudiant accepte, le cas échéant, la clause de confidentialité. L’utilisation des conclusions et recommandations formulées dans ce mémoire, sans préjuger de leur valeur, n’engage ni la responsabilité de l’auteur, ni celle de son directeur. ≪ J’atteste avoir réalisé seul le présent travail, sans avoir utilisé des sources autres que celles citées dans la bibliographie. ≫ Fait à Nouakchott

septembre 200511, soit l’équivalent de 2,6 années de leur revenu brut disponible. Une grande partie de cette épargne est collectée et gérée par les banques, soit directement (dépôts, comptes sur livret), soit au travers de filiales de gestion d’actifs (OPCVM) et d’assurance-vie. 11 Source : Banque de France – Tableaux de financements et de placements – 3 ème trimestre 2005 CCSF – Les enjeux économiques et sociaux de l’industrie bancaire 29 Une industrie en mutation permanente Évolution

projets de convergence sont en cours, entre les deux grands normalisateurs internationaux, mais aussi avec les autres, et devraient aboutir à l’horizon 2011, à une seule et même normalisation internationale. Les pays frères et voisins (Tunisie et Maroc) ont entamé ce travail depuis quelques années, avec l’adoption du référentiel IAS IFRS. L’Algérie ne peut rester à l’écart de ce mouvement international, et a décidé de faire adopter un nouveau plan comptable ayant pour socle conceptuel les normes

les investisseurs institutionnels. Il y a alors les actionnaires et investisseurs institutionnels, qui regroupent principalement les sociétés d’investissement, les sociétés d’assurance, les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM, Sicav, FCP) et les caisses de retraites. Les investisseurs institutionnels ont pour but de valoriser dans le temps les fonds qui lui ont été confiés, ce sont des gestionnaires de portefeuille. Pour finir, les salariés sont également des cibles de

MEMOIRE POUR L'OBTENTION DU MASTER SPECIALISE EN MANAGEMENT DU COMMERCE INTERNATIONAL Sous le thème : Identification, Mesure et Gestion du Risque Opérationnel : Cas de la Banque Centrale Populaire Préparé par : Mme Imane AMMOR Encadrée par : Mr Mohamed DEBBAGH Année : 2010-2011 Identification, mesure et gestion du risque opérationnel cas de La Banque Populaire REMERCIEMENTS Aux recherches pour ce rapport ont contribué beaucoup de personnes, dont la disponibilité, la compétence et la gentillesse

présentation ou de contrôle. Dans les pays où il existe une réglementation comptable, le travail et les méthodes comptables sont codifiés par des règles précises (loi comptable - plan comptable etc…). Parmi ces pays, nous citons la France, l'Allemagne, le Maroc etc… Dans les pays anglo-saxons, on parle beaucoup plus de normalisation que de réglementation puisque les méthodes applicables et les pratiques en vigueur résultent de normes émises par des organismes professionnels et non de textes réglementaires

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.1 La fiscalité des revenus d’actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.2 La fiscalité des revenus d’obligations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .149 7.3 La fiscalité des OPCVM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.4 Les charges déductibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.5 La fiscalité des plus-values . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

. . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.1 La fiscalité des revenus d’actions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .148 7.2 La fiscalité des revenus d’obligations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .149 7.3 La fiscalité des OPCVM . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.4 Les charges déductibles . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .150 7.5 La fiscalité des plus-values . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .