Mémorial de la Résistance

un souci d'unité nationale le mythe résistantialiste. Ce mythe fut créé par les gaullistes et les communistes ( parti qui s'attribue le deuil des 75000 fusillés) dans le but de ressouder la France qu'ils qualifient dès lors d'une « France de la résistance ». Dans ce même but l'on assiste au transfert des cendres de Jean Moulin ( haut résistant français) au Panthéon en 1964. Le resistancialime laisse cependant peu de place au mémoire personnelle, elles sont souvent occulté car jugée trop honteuse

l'Allemagne, participation à la politique génocidaire des nazis. C'est aussi une période où des Français ont combattu pour les valeurs de liberté et de démocratie : le général de Gaulle et tous les combattants français au côté des Alliés et dans la Résistance. La mémoire de cette époque troublée est complexe. Le travail des historiens consiste donc à mieux comprendre comment s'organisent ces mémoires, tant individuelles que collectives. Comment les historiens ont-ils contribué à la mémoire de la Sde

net, parfait, clair, distinct, précis, ………………………. dans sa mémoire. - Avoir une mémoire d’ ………………………., infaillible, fidèle, précise. ➢ Vouloir garder en mémoire : imprimer, mnémotechnique, pierre blanche, entretenir, commémorer, mémorise, mémorial, écrire en lettres d’or, garde, réhabilité, célébrer, fêter, immortaliser, perpétuer, mémorable - Pour …………………… le souvenir, Céline se rend chaque année sur le lieu du drame. Elle veut ………………………. dans sa mémoire le souvenir de cette période

Introduction Durant la seconde guerre mondiale une résistance se mets en place face à l'autorité allemande. Elle débute dés 1940 après l'armistice lors du traité de paix signé par Pétain avec le gouvernement allemand. C'est le début de la collaboration entre la France et l'Allemagne et surtout de l'apparition d'un mouvement de résistance contre les autorités Franco-Allemande. Ces autorités ne tardent pas à répliquer et mettent en place à l'aide de la Gestapo et de la milice une forme de répression

attachés à la lecture de la Bible. Ils ne baptisent que les adultes qui professent leur foi. L'action non-violente : permet de lutter contre l'injustice sans recourir à la violence morale ou physique La désobéissance civile : est une forme de résistance passive qui consiste à refuser d'obéir aux lois. Elle a pour objectif d'attirer l'attention de l'opinion publique sur le caractère injuste d'une loi dans l'espoir d'obtenir son abrogation ou son amendement. Ceux qui pratiquent la désobéissance

Sachsenhausen, Mauthausen, Neuengamme. Le Frontstalag 122 ( ou camp Royallieu) s'est caractérisé notamment par l'internement et la déportation des « politiques » et personnalités « otages » : communistes, syndicalistes, résistants et civils. Un Mémorial de l'internement et de la déportation a pu être créé dans les trois bâtiments conservés du site. Il a été inauguré et ouvert au public le samedi 23 février 2008. En 1940, la caserne de Royallieu, faubourg de Compiègne, créée en 1913 et devenue

Bilan et Mémoire de la seconde guerre mondiale en Bretagne Intro : Le nombre des victimes du premier conflit mondial a été pour la Bretagne moins lourd que ce que l'on a pu lire dans des inscriptions antérieures ( au "Mémorial" de Ste Anne d'Auray et aux Invalides, à Paris) ; 120.000 morts est le bilan aujourd'hui retenu, alors que l'on avait avancé le chiffre de 240.000 victimes. La mémoire de ce "sacrifice" est diversement interprétée : Pour la Bretagne catholique, la foi et la fidélité

Chapitre 1 : L’historien et les mémoires de la 2e Guerre Mondiale I/ 1945-1970 : une mémoire qui se veut unie autour de la Résistance A) De l’épuration à la volonté de réconciliation L’histoire de la 2e Guerre Mondial est complexe et cette complexité va avoir des conséquences sur les décisions politiques en 1944-1945 (fin de la guerre) et aussi sur la mémoire qui se met en place à partir de 1945. FRANCE Au milieu de l’occupation et de « l’était français » se retrouvent

sera ensuite arrêtée dans les heures qui suivent car la Gestapo a intercepté un mot de Simone qui disait de prévenir ses parents de son arrestations avec leur adresse indiquée. Une de ses sœurs ne sera pas arrêtée car elle est engagée dans la résistance. Simone sera déportée à Auschwitz Birkenau (avril-juillet 1944) et ensuite dans le camp de Bobrek ( juillet-janvier 1945) , lors de l’évacuation des camps en 1945 Simone sera l’une des prisonniers qui devront traverser la marche vers Gleiwitz

reconstruction savante, souvent incomplète mais tachant le plus souvent d’être objective. La mémoire est un objet d’étude. Problématiques : - Conséquences du conflit en France ? - comment se sont construites les différentes mémoires ? - Vichy. - Résistance. - Déportation et génocide. I. Du chaos à la reconstruction. a. Un pays ravagé et meurtri. - La France compte 600 milles morts directs, 500 milles morts du aux conditions de vie, et conditions extérieures. - une plus grosse destruction