Mémorial de la Résistance

de la Libération" par le général de Gaulle. Les noms des morts sont gravés sur une bande de granit longue de 25 mètres, précédée de deux mots "Rester-Résister". À voir Vassieux-en-Vercors, au nord-est de la Drôme, abrite aussi le Mémorial national de la Résistance, qui retrace notamment l’histoire héroïque des résistants maquisards contre les nazis pendantla Seconde guerre mondiale. Le monument Rester-Résister, d’Emmanuel Saulnier, se trouve à l’emplacement de l’ancien cimetière. Tél. : 04 745

envoyée par deux fois en France. Violette Szabo se ports volontaire pour une mission particulièrement dangereuse en France en avril 1944. La, elle fut messagere auprès d'un Francais qui avait survécu au démantèlement de son reseau de Résistance basé à Rouen, et qui tantait de reconstituer un nouveau groupe dans cette region stratégiquement importante. Elle dut voyager entre Paris et Rouen pour contacter des personnes censées avoir aussi survecu, et en rapporter à son chef à Paris. Cette

CORRIGE – SUJET Š LES MEMOIRES DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE EN FRANCE DEPUIS ‰„…, UN DEVOIR DE MEMOIRE ? [Accroche] En 1945, lorsque la Seconde Guerre mondiale prend fin, les forces de la résistance – gaulliste et communiste – accèdent au pouvoir. Ce sont elles qui, jusqu’à la fin des années 1960 (moment où le général de Gaulle quitte le pouvoir puis meurt), dictent les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. [Définition] Ces mémoires sont plurielles, en fonction de ce que les groupes sociaux ont

introductioEn 1945, lorsque la Seconde Guerre mondiale prend fin, les forces de la résistance – gaulliste et communiste – accèdent au pouvoir. Ce sont elles qui, jusqu’à la fin des années 1960 (moment où le général de Gaulle quitte le pouvoir puis meurt), dictent les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. [Définition] Ces mémoires sont plurielles, en fonction de ce que les groupes sociaux ont vécu pendant le conflit : mémoire des résistants, mémoires des juifs, mémoires des collaborateurs/collaborationnistes…

le « petit père du peuple ».  5. Systèmes de prisons Goulag Le Goulag est l’organisme central gérant les camps de travail forcé en Union soviétique. Les principaux camps du Goulag entre 1923 et 1961, selon les travaux de la fondation russe Memorial Le terme Goulag est un acronyme formé d'après le russe Главное управление лагерей, Glavnoïé oupravlénié laguéreï, qui signifie « Administration principale des camps ». Elle a été créée en juillet 1934 lors de la réorganisation de la Guépéou et de

CORRIGE – SUJET : LES MEMOIRES DE LA SECONDE GUERRE MONDIALE EN FRANCE DEPUIS 1945„…, UN DEVOIR DE MEMOIRE ? [Accroche] En 1945, lorsque la Seconde Guerre mondiale prend fin, les forces de la résistance – gaulliste et communiste – accèdent au pouvoir. Ce sont elles qui, jusqu’à la fin des années 1960 (moment où le général de Gaulle quitte le pouvoir puis meurt), dictent les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. [Définition] Ces mémoires sont plurielles, en fonction de ce que les groupes sociaux

replacerons son contexte historique, puis nous étudierons son contenu et pour finir nous travaillerons sur ses conséquences. Les années 1970 voient un tournant décisif dans la mémoire de la Seconde Guerre mondiale. La mémoire officielle de la Résistance vole en éclate tandis que se dévoile la réalité du régime de Vichy. Au cours des années 1970 et 1980, des films et des ouvrages provoquent la prise de conscience collective d'une complicité du régime de Vichy dans le génocide des Juifs. Cette prise

malheureux traîtres ». Pourtant, la République est bien morte en 1940, et à peine 2 % des Français entrèrent en « résistance ». L’immense majorité s’est accommodée de l’Occupation. La mémoire résistante s’organise alors : le cinéma lui offre des héros, comme dans La Bataille du rail de R. Clément (1946). Cette mémoire unitaire est frappée d’amnésie : elle tait la diversité des résistances (on pouvait avoir été maréchaliste et résistant, comme H. Frenay) et l’ambiguïté des situations. La stratégie

décembre 1964. L’élévation de monument au mort participe également au renfort du mythe de cette Résistance unie. Le programme scolaire subit lui aussi son lot d’enseignement résistancialiste, avec la diffusion de d’ouvrages, mais aussi de films où la Résistance est mise en avant, avec par exemple l’œuvre cinématographique de René Clément en 1946 , « La bataille du rail ». Même si ce Mythe de la Résistance est erroné, il faut tout de même reconnaître qu’il cachait un but bien spécifique, celui

car il forme un saillant dans la ligne de défense allemande. Les Allemands s'attendent à ne rencontrer aucune résistance. Tout est écrasé, détruit. Mais ils tombent sur des groupes de soldats isolés, sans commandement, qui résistent avec l'énergie du désespoir. La ténacité et le courage dont font preuve les poilus construisent la légende de Verdun. Falkenhayn, surpris par cette résistance, décide de "saigner l'armée française" ; les Allemands obtiennent quelques succès avec la prise de Douaumont le