Ménage

de vie et la taille du ménage Selon l’INSEE le niveau de vie est égale aux revenue disponible du ménage/le nombre d’unité de consommation, le niveau de vie est donc le même pour toute les personnes appartenant au même ménage. Les enfants de moins de 14ans compte en dessous de 0,3UC et en dessus de 14ans 0,5UC. * l’épargne La part du revenue des ménages qui n’est pas consommé immédiatement. Le taux d’épargne est = au rapport entre le montant de l’épargne des ménages/sur le revenue disponible

naissance à d’autres biens. La consommation finale est la destruction immédiate ou progressive de biens dans la satisfaction directe de besoins. C’est la consommation finale qui nous intéresse dans ce chapitre : elle est principalement le fiat des ménages et des administrations. 1. Consommation = destruction de bien et service La théorie néo-classique considère que le consommateur est rationnel (homo oeconomicus) : l’individu cherche à maximiser la satisfaction procurer par la consommation pour

communautaire –La distribution du revenu Ciblage catégoriel basé sur l’ âge •La variabilité s’ explique par –La corrélation entre l’ et la pauvreté âge –La taille du ménage –L’ espérance de vie et le seuil d’ choisi âge –Le degré auquel la retraite est vraiment universelle –La fonctionnalité des registres des ménages –Les mécanismes de vérification de l’ âge Les étapes du ciblage Les étapes du ciblage Quels sont les critères d’ éligibilité ? Qui est recommandé / se recommande ? Qui

Ressources pour les enseignants et les formateurs en français des affaires Auto-formation : Comprendre l’environnement économique Crédit : Joëlle Bonenfant Jean Lacroix Notion : Le crédit Les ménages, pour acquérir des biens de consommation (voiture, électroménager…), et les entreprises, pour acquérir des biens d’équipement (machines…), ont de plus en plus recours au crédit si bien que l’on parle de notre économie comme d’une économie de crédit. 1. Définition. Pour les économistes, le crédit

Dépenses moyennes par ménage x nombre de ménage dans la zone. Pour déterminer les dépenses moyennes/ménage on part de la moyenne national que l’on pondère avec deux indices : * IRV (indice de richesse vive) * IDC (indice de disparité de consommation) 2. Calculer le marché potentiel réel (MPR) MPR = MPT – évasion commerciale + attraction Taux évasion : % des achats réalisés hors de la zone par les ménages qui habitent dans la zone Taux d’attraction : % des ménages qui habitent hors

Comportements de consommation actuels * La demande provient globalement du grand public, c'est-à-dire les ménages * En 2009, les foyers avec bébé de 0 à 47 mois ont achetés 2 094 408 couches pour un total de 503 530 euros. * Le taux de pénétration du marché de la couche jetable est quasi maximum * On note qu’en général, les consommateurs restent fidèles à la marque qu’ils achètent * Les ménages dépensent en moyenne 2000 euros par enfants pour les couches * Les couches jetables représentent

Je me fierai à celle donnée par l’INSEE, qui considère un travailleur pauvre comme une personne ayant été active au moins six mois dans l’année dont au moins un mois ayant un emploi. Cette définition prend aussi en compte son niveau de vie dans le ménage qui est inférieur au seuil de pauvreté (950 euros en 2011). Selon une interview de Jean-Luc OUTIN, cette notion combine deux dimensions : la situation de revenus qui dépend des ressources de la personne mais aussi de son statut (est-ce un célibataire

l’ensemble des biens et services acquis par les ménages pour satisfaire les besoins individuels. La consommation représente 60 % du PIB. Un certain nombre d’économistes se sont donc attachés à définir précisément la fonction de consommation. L’analyse de la fonction de consommation, est alors effectué d’un point de vue macroéconomique, même si la consommation globale n’est que le résultat de la réunion des consommations individuelles des ménages. Selon Keynes, notre consommation est principalement

créatrices de richesses. Cette production est destinée aux ménages (biens de consommation) et aux entreprises (bien de production) résidents ou non résidents. * Les entreprises du secteur concurrentiel produisent pour la demande solvable, c’est-à-dire pour le consommateur final (ménage, entreprise, État, ou reste du monde) qui dispose du revenu nécessaire à l’acquisition du bien produit. Mais que faire pour les agents (États et ménages essentiellement) dont le revenu est insuffisant pour satisfaire

TD3 : Exploiter un tableau Méthodologie Ce graphique présente l’évolution, exprimé en pourcentage et en milliards d’euros, de la structure de la consommation des ménages entre 1960 et 2010. Il est issu de l’ISSEE 2011. En 2010 les ménages ont dépensé, pour leurs consommations, 1 440.5 milliards d’euros. Cette évolution pendant 50 ans regroupe 3 tendances : Les postes de consommation qui augmente sont le logement qui passe de 10% à 20% environ, cela représente une forte augmentation