Mercantilisme Et La Révolution

monopole. L’entreprise va être en permanence recapitalisée pour augmenter ses moyens de production.  leadership européen grâce à la technologie utilisée - De 1765 à 1789 : développement de l’industrialisation, et du financement des entreprises - La révolution arrive : 1789 :fin de la situation de monopole de 1789-1856 l’entreprise va devoir s’adapter à la situation politique et économique. S  C  P S : politique  va modifier la situation concurrentielle  va donc modifier le comportement de Saint

différences au sein de cette dernière. Frédéric Gaussen dans « qu’est-ce qu’une génération » la définit comme « les gens ayant une expérience historique commune », en effet l’Histoire rassemble les gens autour des grands évènements tel que la Révolution Française ou encore la Guerre de 14-18. Lors de ces phénomènes, les personnes partagent des idées communes. Cependant selon Fréderic Gaussen c’est plus le souvenir et la commémoration de l’évènement que celui-ci lui-même qui crée la génération.

PEC I. LE MONDE La pensée économique au fil des âges. Section 1 : Les démarches pré classiques Mercantilisme (XV-XVIe) : attacher une force importante à la monnaie -> Population = base de la richesse donc pour accroître la richesse il faut encourager la natalité. -> Protectionnisme rigoureux : il faut cumuler la richesse -> Pré-quantativisme : niveau général des prix est lié à la quantité générale de monnaie => Accumulation de richesses Physiocrate : critique école Mercantiliste, assez libérale

qui va développer des infrastructures et petit a petit l’industrie. C’est ce qui amènera petit à petit vers la révolution industrielle. Dans l’agriculture, on aura moins besoin de main d’œuvre, ce qui va permettre à l’industrie de se développer. Ces évolutions démarrent tout d’abord en Angleterre et ensuite dans les autres pays occidentaux. 2- Réaction contre le gouvernement mercantilisme C’est le courant dominant depuis le 16°s. au départ ça a favorisé le développement économique. C’est un courant

demandait était justement ce qu'ils n'avaient pas su faire auparavant. Une fois arrivé en Nouvelle-France, ils devaient créer une certaine économie autonome qui du coup, se devait d'être essentiellement une source de profit pour la France, un mercantilisme français. Ce qui ne fut pas tout à fait le cas. Bien au contraire, la Nouvelle France devenait une charge économique et les colons apparaissaient comme des « concurrents ». Graduellement, la France abandonna les colons a leurs misères et leurs

nourriture à chaque printemps. Il arrivera ainsi à se concilier les bonnes grâces des rentiers terriens tout en proposant un nouveau système prenant en compte autant que se peut les idées nouvelles et permettant de dépasser le mercantilisme (et le colbertisme) sans révolutionner la société. Les principes de l'école physiocratique [modifier] La richesse [pic] Tableau économique de Quesnay En opposition aux idées mercantilistes, les physiocrates considèrent que la richesse d'un pays consiste

le péril et donne envie de gagner auprès de ses compagnons, quitte à mourir avec l'honneur et la gloire de n'avoir pas failli à son devoir, ni même faibli [les soldats de Bonaparte avaient retrouvé l'ardeur en se sentant porteurs des idéaux de la Révolution (liberté, égalité, fraternité)]. Les tyrans le savent bien et font tout leur possible pour avachir leurs sujets, et les outils de la tyrannie sont toutes sortes de drogues, de distractions, de récompenses (décorations, médailles), de jeux, tombolas

modèle ont été mises en évidence à partir du 17e par les libéraux de l’école classique. Le mercantilisme et le libéralisme de l’école classique. 1) Le mercantilisme Il regroupe un ensemble d’auteurs espagnol, italien, français et anglais qui au cours de cette période (entre 16 et 17e) élaborent des règles de politique économique. Objectif : affirmer la puissance nationale. Le mercantilisme est apparu dans un contexte particulier, contexte concrétisé par 3 choses : – les grandes

navires de guerre)). 3)L’intérêt d’une étude de l’histoire des pensées économiques. A la différence des sciences de la nature où à un moment donné un paradigme (ensemble de croyances, de valeurs..) s’impose et ne sera remis en cause que par une révolution scientifique (donc les méthodes sont communes, les façons de travailler assez proches) la science économique ne présente pas une image unifiée. On peut donc observer une diversité des méthodes (ex individualisme méthodologique…), des oppositions

économique : description des grands concepts de l’analyse économique, des enjeux politiques, moraux… * Chapitre 1 : la place de l’économie dans la pensée grecque * Chapitre 2 : l’économie subordonnée aux impératifs politiques et juridiques. Mercantilisme, physiocratie… * Chapitre 3 : les classiques et le marché autorégulateur * Chapitre 4 : la pensée de Marx, le dernier des « classiques » Introduction générale La plupart des économistes que nous étudieront ont été également des philosophes