Mercure

ponctuation dans Alcools et par la forme des poèmes dans Calligrammes. Ce dernier recueil de 1918 est former par plusieurs éléments qui l'ont marquer, notamment l'amour, ses voyages et surtout ces relations avec les Femmes. Alcools est publié à Paris au Mercure de France en 1913. De nombreux poèmes étaient déjà parus auparavant en revue. C’est le premier grand recueil poétique publié d’Apollinaire, mais il rend compte d’un long trajet poétique puisqu’il rassemble des poèmes écrits de 1898 à 1913 (d’ailleurs

d’art et de littérature publiées dans ces villes retransmettaient les meilleures productions artistiques de l’époque et de la même manière que l’Opéra de Vienne constituait la consécration d’un compositeur, les revues comme le Temps Parisien, le Mercure de France, la Neue Freie Presse ou le Burlington Magazine représentaient le rêve suprême de tout écrivain. Dans ces revues se trouvaient les écrits d’Anatole France, Rilke, Zola, Strindberg et bien d’autres. D’autres l’exemple de la revue Jugend

au 96e régiment d'infanterie avec le grade de sous-lieutenant en novembre 1915, il fut naturalisé français le 9 mars 1916 sous le nom de Guillaume Apollinaire. Il fut blessé à la tempe par un éclat d'obus le 17 mars 1916, alors qu'il lisait « le Mercure de France » dans sa tranchée. Évacué à Paris, il fut trépané le 10 mai 1916. Après une longue convalescence, il se remit progressivement au travail, et fit jouer plusieurs pièces de théâtre. Il épousa Jacqueline, la « jolie Rousse » que l’on retrouve

André du Bouchet, Philippe Jaccottet, Jacques Dupin, André Frénaud, Alberto Giacometti, Pierre Klossowski, Balthus, Paul de Man, Boris de Schloezer, Gaëtan Picon, Claude Esteban, Salah Stétié et Jean Starobinski. Yves Bonnefoy publie en 1953, au Mercure de France qui restera son éditeur, son premier recueil de poèmes Du mouvement et de l'immobilité de Douve. En 1955, il réalise avec le scénariste Roger Livet un film en 35 mm de 17 min, Royaumes de ce monde, sur le sens de l'Annonciation en peinture

Madeleine en août 1915. Transféré à sa demande au 96e régiment d'infanterie avec le grade de sous-lieutenant en novembre 1915, il fut naturalisé français le 9 mars 1916. Il fut blessé à la tempe par un éclat d'obus le 17 mars 1916, alors qu'il lisait le Mercure de France dans sa tranchée. Évacué à Paris, il fut trépané le 10 mai 1916. Après une longue convalescence, il se remit progressivement au travail, fit jouer sa pièce Les Mamelles de Tirésias en juin 1917 et publia Calligrammes en 1918. Affaibli

s’éloigne de la philosophie. C’est dans ce contexte qu’il travaille à son premier livre. 1969 Le Mercure de France publie son premier essai, consacré à Sacher Masoch : "L’être du balbutiement" mais, il faudra "Le Salon du Wurtemberg" en 1986 puis "Les Escaliers de Chambord" en 1989, pour révéler Pascal Quignard au grand public. Il devient parallèlement lecteur dans cette maison (Le Mercure de France) et chez Gallimard. 1976 Il entre au comité de lecture des éditions Gallimard. 1980

piano, à l'orgue, au violoncelle, au violon et à l'alto. En 1968, il est étudiant en philosophie à Nanterre C’est dans ce contexte qu’il travaille à ses premiers livres, et retrouve l'orgue familial d'Ancenis. Il est aussi libraire bouquiniste. Le Mercure de France publie son premier essai, L’être du balbutiement, consacré à Sacher Masoch en 1969, mais il faudra le Salon du Wurtemberg en 1986 puis les Escaliers de Chambord en 1989, Pascal Quignard fut révélé au grand public après La publication des

lèvres de ma mère prononcer des mots cabalistiques, des dérivations dépourvues de sens pour un enfant." Très vite, il est pris par une passion qui est restée la passion de sa vie : la lecture. En 1968, il est étudiant en philosophie à Nanterre. Le Mercure de France publie son premier essai, consacré à Sacher Masoch en 1969, mais il faudra Le Salon du Wurtemberg en 1986 puis Les Escaliers de Chambord en 1989, pour enfin révèler l’écrivain post-moderne à un grand lectorat français friand de nouvelle

Madeleine en août 1915. Transféré sur sa demande au 96e régiment d'infanterie avec le grade de sous-lieutenant en novembre 1915, il est naturalisé français le 9 mars 1916. Il est blessé à la tempe par un éclat d'obus le 17 mars 1916, alors qu'il lit le Mercure de France dans sa tranchée. Évacué à Paris, il est trépané le 10 mai 1916. Après une longue convalescence, il se remet progressivement au travail, fait jouer sa pièce Les Mamelles de Tirésias (sous-titrée drame surréaliste) en juin 1917 et publie

exceptionnel, pour qui voudrait étudier le phénomène du dédoublement auctorial. » Guérin, Raymonde, Le Mythe de Protée dans l’oeuvre d’Émile Ajar, 1994 La vie devant soi est donc un roman d’Émile Ajar (Romain Gary) publié le 14 septembre 1975 au Mercure de France et ayant obtenu le Prix Goncourt la même année. résumé Madame Rosa, une vieille juive qui a connu Auschwitz et qui, autrefois, se défendait (selon le terme utilisé par Momo pour signifier prostitution) rue Blondel à Paris, a ouvert « une