Merde d'Artiste

voter). Autrement dit le léger se place dans le domaine de l'abstrait et des phantasmes qui représentent leurs applications concrètes. Et c'est ainsi que le kitsch kunderesque représente un embellissement d'un état de fait, qui cherche "à nier la merde", il "exclue de son champ de vision tout ce que l'existence humaine a d'essentiellement inacceptable"[3]. Ce kitsch est donc à cheval entre les notions de légèreté et de pesanteur; il a pour but d'afficher du léger pour enfouir la partie insoutenable

systématiquement à signer tout ce qui ne l'a pas été. Je crois que l'art est dans l'intention et qu'il suffit de signer. Je signe donc : les trous, les boîtes mystères, les coups de pied, Dieu, les poules, etc. Je vais être très jaloux de Manzoni qui signe la merde et qui me volera l'idée des sculptures vivantes. » Pierre Pinoncelli est un peintre et artiste comportemental français, spécialiste des « happenings » artistiques, né en 1929. La première partie de sa vie artistique est consacrée à la peinture (1954)

l’artiste mais du côté de la surface. La matière est comme la puissance créatrice. Elle accède au rend d’œuvre d’art si toutefois l’artiste accepte de mettre sa culture plus loin. Et cette inversion du processus créateur s’agit de dire qu’il n’y a plus d’artiste mais des passeurs. Et donc si l’âme du spectateur est amener à ressentir quelque chose c’est parce qu’elle partage avec la lumière des objets, des sensations commune, entré en dialogue avec l’œuvre. C'est-à-dire que dans cette inversion de la potentielle

porte volontaire dans l’artillerie à Dresde et est envoyé au front comme mitrailleur en France, Flandres et Russie ; en 1945, il est mobilisé à 54 ans dans la troupe territoriale (il est fait prisonnier et passe sa captivité à Colmar dans la colonie d’artistes du camp). Il s’agit d’un peintre de la Nouvelle Objectivité, mouvement qui s’est développé en Allemagne après l’expressionnisme, dans les années vingt. Ce mouvement se caractérise par un goût pour le réel et le quotidien, dans sa réalité tangible

de choses qu'il n'a jamais faites : « put1 mdr lot ilé pusso mé mdrrrrrrrrrrrrrr » « le canabbisse c tro bon mm si jené jamé fumé mé g pari ke c dla bomb atomik mdr » Mais bon, il a quand même le QI d'une tapette à mouche (et fait des blagues de merde) : « Kesse ke C un Cuhi? Cé le cri D zoizo? Loooool mdrrrr » Mais le Kévin se substitue aussi à des taches plus hardcores comme Kevin B. : « "Trololol g gg 1 cont mincraft ac Boblénone mwa jé sui le + chanceu du world lol XD et chuis un gro chateu"

débouche sur la culture, qui est elle-même l'antidote à la propagande. 5 Livret_Layout 1 21/01/11 13:16 Page6 6 Livret_Layout 1 21/01/11 13:16 Page7 Chers amis, tous, nous aimons l'art, et certains d'entre vous revendiquent le statut d'artiste. Sans possibilité d'être jugé, l'art n'existe pas. L'art n'existe que du fait que nous le reconnaissons comme tel. Existe-t-il ? La réponse à cette question est d'une importance capitale, car si l'art est vivant, le monde va changer. Sans art, pas

souvent improvisées, agencées par un traumatisme mental : « La plupart de mes pièces traitent de la question de l’initiation, de l’innocence à la culture », et d’ajouter : « j’ai toujours été intéressé par la répression, la culpabilité, le sexe et la merde ». Nous orienterons notre étude de cet artiste controversé à l’aide de 5 thèmes s’interpénétrant dans ses travaux, à savoir :  Le symbolisme du corps dans son œuvre  Sa vision critique de la société et son industrie.  La culture et l’apprentissage

travers ses célèbres dialogues socratiques qui sont indiscutablement l’œuvre d’un philosophe- artiste ! Et comment oublier les pages exquises de Platon sur l’enthousiasme et l’inspiration ? En fait tout se passe comme si Platon avait refoulé son âme d’artiste pour laisser émerger son âme de philosophe. Car Platon a cru, ou fait semblant de croire, que l’artiste était un usurpateur du réel. A mon sens ce refoulement de l’art par Platon cache un évènement traumatique… Dans son premier livre L’origine de

du métro aux galeries de Manhattan, perdant alors de leur agressivité, mais aussi, parfois, de leur spontanéité. Toutefois, leur réflexion devient plus maîtrisée, et leur vocabulaire plus élaboré. C’est alors que se distinguent un certain nombre d’artistes, dotés d’un style propre, mais partageant un même intérêt pour la culture de masse, qui les rapproche des artistes pop de la génération précédente. Cependant, si le pop art s’est limité à la reproduction, fidèle ou décalée, des objets de la société

conseille Le Festin Nu de Burroughs... Là, il n'y a aucun doute: ce bouquin n'a pu être écrit que sous l'influence de drogues... Sunday 23 January 2005 à 16:23 Alors là je crois qu'il y'a plusieurs cas de figures . . . . C'est vrai que beaucoup d'artistes avaient ce genre de probléme ! En peinture: Pollock était alcoolique, Warhol prenait toutes sortes de drogues psychedeliques, les impressionistes de l'absynthe . . . En litterature: Baudelaire: Opium, haschich ( je te conseille de lire les paradis