Merveilleux

3-Le conte Nous savons tous bien ce que c’est qu’un conte, alors, que peut-on dire   de plus que : « c’est une histoire qui commence par, il était une fois, et se termine par, ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfants » ?  Le conte merveilleux se déroule dans un univers où l’invraisemblable est accepté, où le surnaturel s’ajoute au monde du réel sans lui porter atteinte. Les personnages jouent des rôles bien définis et leurs aventures se terminent généralement bien. L’histoire racontée

que la présence d’un certain nombre de « grincements » invite à une lecture ironique du texte et que derrière une façade idyllique le monde du baron n’est pas ce qu’il semble. Cet incipit déconstruit donc plus encore qu’il ne construit un univers merveilleux. A. L’ironie : définition Ecrire le contraire de ce que l’on pense. En d’autre terme, il s’agit de faire semblant d’être d’accord avec une proposition fausse afin de souligner son décalage avec la réalité B. Critique sociale : Thunder-ten-tronckh :

l'un des plus grands auteurs du XXème siècle et d'une extrême influence pour bons nombres de grands noms littéraires tel que Milan Kundera. Sa pièce, écrite en 1935 est un conte de fées à l'envers ; contrairement à ce qui se passe dans les récits merveilleux où le baiser du prince brise l'enchantement et transforme le laideron en belle princesse, Yvonne elle, reste triste et maussade. Le fils d'un roi décide de se fiancer de manière soudaine et impulsive, avec celle de qui toute l'éternité lui était

causalité sont suspendues, comme il est vrai pour nos processus inconscients. Ainsi, le conte de fées, à partir de faits terre à terre, extrêmement simple se lance ans des événements fantastiques. L’enfant, après s’être laissé emmener dans un voyage merveilleux, revient à la réalité à la fin du conte, d’une façon tout à fait rassurante. L’enfant apprend ce qu’il a tant besoin de savoir à ce stade de développement : que l’on peut sans dommage se laisser emporter par son imagination et ne pas en rester éternellement

RECHERCHE : DIFFERENCIER LE CONTE, LE ROMAN, ET LE RECIT Définition et présentationLe conte est un récit court (en prose ou en vers), un récit de faits qui pose un regard sur la réalité par le biais du merveilleux ou du fantastique. Le conte est généralement destiné à distraire, à instruire en amusant. Le mérite principal du conte consiste dans la variété et la vérité des peintures, la finesse de la plaisanterie, la vivacité et la convenance du style, le contraste piquant des événements. Dans

faite de détaille (les bandeaux, la rose sur le chignon la rose met avant l’impression de déséquilibre ou de vulnérabilité). 2) Un conte de fée * Arrivée de l’héroïne évoque le conte de fée (fait penser à « Cendrillon ») * Univers merveilleux « vin de champagne à la glace », « sucre en poudre » aliments nobles * Lors de la dance héroïne exceptionnelle elle est en accord avec la musique, moment de gloire « elle glissait en avant avec des mouvements légers » * Charles est émerveillé

Le chat botté est un conte merveilleux car c’est dans un passé lointain et imprécis, il n’y a aucune précision, on ne sait pas où on se trouve, le récit illustre une morale, que l’on développera plus tard. C’est une histoire merveilleuse, il y a des éléments surnaturels, comme par exemple l’ogre qui sait se transformer, ou encore, le chat botté, qui est un chat doué de paroles. Ce conte a été publié par Charles Perrault, en France, en 1697, avec d’autres contes comme par exemple, le petit chaperon

lecteur, cas du Petit Chaperon rouge, où la morale de l’histoire s’adresse principalement à de jeunes filles ou à des enfants, qui devraient rester vigilent et ne pas faire confiance aux inconnus. Cependant il ne faut pas confondre le conte merveilleux aux contes philosophiques, similaire aux contes traditionnelles mais différents car les contes philosophiques cherchent à éveiller l’esprit critique du lecteur sur des questions d’actualités de l’époque comme : la critique de la religion, du pouvoir

des reprises ironiques d’expressions de Leibniz. c’est bien Leibniz qui est visé Conclusion : Ce texte présente une critique mordante d’un univers figé dans la hiérarchie féodale et dans le discours optimiste de Pangloss. La parodie du conte merveilleux et tous les procédés de l’ironie concourent à mettre en évidence cet univers illusoire. Voltaire a composé ce texte avec une écriture qui fait appel à l’intelligence et à la complexité du lecteur puisqu’elle repose souvent sur l’implicite. 

l’apologue. Présent dès l’Antiquité, avec Esope et Phèdre, ce genre triomphe avec La Fontaine, au XVIIe siècle, et se poursuit au XXe sièce, par exemple chez Anouilh. (Récit allégorique, art de séduction, critique et sagesse) Le conte : Le conte merveilleux : exemple  Les contes de Grimm Le conte fantastique : exemple Les Contes Cruels de Villiers de L’Isle-Adam Le conte réaliste : exemple Maupassant Le conte philosophique : exemple Voltaire Le réalisme souhaite retranscrire la réalité le