Métavers

L’ENJEU DE LA CONNAISSANCEOTC LE CYBERESPACE : CONFLICTUALITÉ ET COOPÉRATION ENTRE LES ACTEURSIntroduction : Le terme de cyberespace apparaît dans la littérature des années 80 et est popularisé par William Gibson qui imagine une sorte de métavers qu’il nomme « The Matrix ». Le cyberespace se définit comme un espace virtuel rassemblant les données numériques disponibles sur Internet et les infrastructures matérielles (câbles, ordinateurs, serveurs…) et logicielles permettant l’accès à ces

dans un état d'esprit positif et pensent que les Intelligences Artificielles permettront d'augmenter les capacités de l'homme sans l'asservir, ce qui débouchera sur une catégorie d'hommes symbiotiques vivants dans un village planétaire à travers les métavers. Ils voient dans la Singularité l’aspect messianique d'une transformation venant nous libérer de nos contraintes intellectuelles et mentales pour nous transcender. C'est notamment la vision de Joël De Rosnay, Hervé Fischer, Ray Kurzweil et Pierre

outils utiles aux blogs (bookmarker, gestion des trackbacks, widget...). 5_ Les interfaces personnalisables • Page personnalisée avec Netvibes, agenda en ligne, bureau virtuel, stockage de données… ; • Les espaces ludiques et les "metavers". • Les espaces collaboratifs (gestion des favoris, des tags...). 6_ Utiliser les contenus dynamiques • Les flux RSS (agrégateur de flux, création d'un système d'informations…). • Les podcasts et vidéocasts. • La diffusion

g ei~ soi proshvk ein khvd esqaiv te th~ς povlewς kaiV bouvlei genevsqai polivt hς ajg aqovς , ej p iyhv f ize kaiV gnwv m aς protiv q ei au^ q iς jA qhnaiv oiς, nov m isaς, eij oj r rwdei~ς toV aj n ayhfiv sai, toV meVn luv ein touVς novm ouς mhV metaV tosw~ nd j a# n martuv rwn aij tiv an scei~n, th~ς deV pov l ewς kakw~ς bouleusamev n hς ij a troVς a#n genev s qai, kaiV toV kalw~ς a! r xai tou~ t j ei^n ai, o$ς a# n thVn patrivd a wjf elhv sh/ wJς plei~ sta h# eJ k wV n ei^ n ai mhdeVn blav y h/

l’erreur ne nous y apparaît plus comme fatale et nous ne sommes plus obligés de subir nos limites biologiques ou physiques comme autant de manques et d’imperfections. Quoi de plus rassurant et enthousiasmant que de vivre sa vie dans un «  métavers  » sans aucune autre limite que celle de notre imagination, véritable refuge face monde complexe qui nous oppresse de toutes ses limites . Du moins, tel est l’argument de vente par lequel Mark Zuckerberg