Meurtre

lourd. Sa femme, Clara, devint alors hystérique. Elle voulut que le meurtrier soit retrouvé au plus vite. Hercule Poireau, qui se trouvait sur les lieux car il accompagnait une jeune actrice, décida d’enquêter. Le médecin présent confirma que le meurtre avait eu lieu vers 7h. Hercule interrogea les membres du personnel et les invités. Trois invités paraissaient suspects : Marc-Alexandre, qui convoitait le poste de Georges dans la compagnie d’armement, la femme de ménage et la femme de Georges, Clara

envies de meurtres, des pulsions violent, sexuelle, jalouse, mais la plus part des hommes n’y cèdent pas. La tragédie, ou même le théâtre en général, crée une sorte de catharsis chez le spectateur qui est transcendé par les thèmes et émotions grandioses de la pièce. C’est bien évidemment la raison pour laquelle les dramaturges utilisent des sujets qui sortent de l’ordinaire, pour créer émotions fortes et extraordinaires. Thèmes souvent utilisés en Tragédie : Parricide Suicide (Meurtre Passionné)

Thérèse. Mais le patron de Laurent finit par lui interdire toute sortie et Thérèse doit trouver une excuse pour aller un soir voir son amant. Elle lui propose de se débarrasser de Camille. Trois semaines plus tard, Michaud fait devant eux le récit d'un meurtre qui n'a pu être élucidé. L'occasion se présente un mois plus tard, alors que Laurent, Thérèse et Camille se promènent à Saint-Ouen. Laurent propose un tour en barque et prévient Thérèse qu'il va passer à l'acte. Quand ils arrivent au milieu de la

La violence dans Thérèse Raquin, d’Emile Zola. Introduction : Nous allons vous présenter un des grands thèmes présent dans l’œuvre d’Emile Zola, la violence. Elle est présente dans les gestes durant le meurtre mais vous verrez qu’il y a d’autre genre de violence, il y a aussi de la violence dans l’enfance de Camille et dans les pensée des deux amants. I) Une enfance surprotégée 1. La maladie. Camille à vingt ans, cela fait vingt ans qu’il vit avec beaucoup de problèmes,

esseulé. Se pendre il s'en est allé. N'en resta plus... du tout Chapitre 3: Pendant le dîner les hôtes discutent ils remarquent qu'il y a dix statuette de nègre sur la table. À 9h 20 une voix s'élève et accuse tout le monde d'avoir commis un meurtre. La plupart des personnes accusé réagissent rapidement. Certain s'indigne d'autre sont inquiets mais au dessus de tout on enttend un cris et un bruit sourd. C'est Mrs Rogers qui s'est évanoui. Tous se demandent qui les a accusé de la sorte. En

les accuse chacun d'un meurtre . Quelques temps plus tard, Antony Marston s’étouffe en buvant un whisky et en meurt. La frayeur s’empare des invités mais plus encore lorsque l’on retrouve le corps du général Mac Arthur, le crâne fracturé. Il ne reste plus que 7 personnes sur l'Île, il ne peut donc s'agir d'un accident. Mais qui a bien pu tuer ces personnes ? Les invités fouillèrent l'île et aucune cachette n'est possible, l'assassin fait donc partie des invités. Les meurtres se perpétuent et on se

toi-même parle honnêtement. Bouffon, ne te flatte pas. Ma conscience a mille langues différentes, Et chaque langue raconte une histoire différente, Et chaque histoire me condamne comme scélérat : Parjure, parjure au plus haut degré ; Meurtre, atroce meurtre au plus cruel degré ; Absolument tous les péchés, tous commis au suprême degré, Se pressent à la barre, et crient tous : « Coupable, coupable ! » C’est à désespérer ! Pas une créature ne m’aime, Et si je meurs, pas une âme n’aura pitié

(thèmes typiquement fantastiques) sont au rendez-vous, avec un meurtre et un vocabulaire terrifiants : «criminel», «affreuse», «sèche», «crispée», «lanière de peau parcheminée», «vieux sorcier», «pendu», «détrousser», «horreur», «effrayer», «tué», «charogne», «épouvante»; «sang», etc. De plus, le titre lui- même correspond à ce registre. L'incompréhension, thème également fantastique, règne du début à la fin : Le pourquoi du comment du meurtre n'est jamais expliqué, ainsi que son auteur. La main dont

au peuple, pour le dissuader de commettre un meurtre, de tuer, assassiner une victime. Le problème, messieurs les juges, est que les assassins tuent sous le contrôle de quelques pulsions. Ils ne pensent pas à leur destin avant leur acte, ils sont juste soumis à leurs pulsions incontrôlables. La peine de mort n’est pas efficace, elle n’atteint pas son but principal : faire peur à la population, afin qu’elle se prenne en main et ne commet pas de meurtre. De surcroit, nous ne pouvons pas dire que

arrive à Grasse. Il est fasciné par toutes les nouvelles odeurs qu'il y perçoit et le climat tout à fait inconnu à lui. Il est particulièrement assailli par un parfum provenant d'un jardin dans lequel se trouve une jeune fille et qui lui rappelle le meurtre du septembre 1753. De nouveau Grenouille est plein de désir de posséder cette odeur, mais il se dit qu'il lui faudra encore attendre deux années avant que le parfum ait mûri et se soit entièrement développé. Pendant ce temps, il travaille chez madame