Michel Admette

Littérature française du XVIe siècle Aller à : Navigation, Rechercher La littérature française du XVIe siècle est marquée par l'établissement de la langue française comme une grande langue littéraire et par d'importants créateurs qui fondent les principaux genres de la littérature moderne en France. Elle s'inscrit dans un siècle de transformations multiples et fondamentales, dans tous les domaines. Sommaire 1 Considérations générales 1.1 Contexte historique 1.2 Tendances littéraires

Andrea del Verrocchio, Léonard de Vinci, Sandro Botticelli, Domenico Ghirlandaio, Filippino Lippi ou, bien sûr, Michel-Ange qui a énormément contribué à faire de Florence la capitale de la Première Renaissance. Bien que ses ennuis financiers ne lui aient pas permis de passer lui-même toutes les commandes, il a su convaincre nombre de bourgeois de commanditer directement certains artistes. Michel-Ange a vécu chez Laurent pendant plusieurs années et a quasiment fait figure de membre à part entière de la

religieux, plus de soucis du réalisme avec les soucis des perspectives et des volumes. - Florence est le principal centre de son mouvement notamment avec son Académie et la Famille des Médicis - Artistes Italien : Donatello, Botticelli, Raphaël, Michel-Ange ; Milan : Léonard de Vinci; La région de Venise : Titien et le Tintoret. - Le pillage de Rome par Charles Quint engendre la fuite des artistes et donc la propagation de la Renaissance. - En France c’est François premier qui ramène des artistes

« Il n’y a de vent favorable pour celui qui ne sait où est le port. » Cette expression ressemble fortement à celle utilisée par Sénèque ( philosophe latin 4 avant JC - 65 après JC ) : « Il n’est pas de vent favorable pour celui qui ne sait où il va ». La signification est la même sauf que dans notre cas, la métaphore marine est plus accentuée. Que se passe-t-il quand on ne sait pas où se trouve le port ? Nous allons d’abord étudier la métaphore en elle-même, c’est-à-dire son sens propre. Ensuite

libre dans la forme, avec ou sans support. Je note l’ensemble (consultation-évaluation de et par la classe entière) Références (entre autres, évidemment) Roland Barthes (Mythologies) Dominique Quessada (La société de consommation de soi) Michel Maffesoli (Iconologies) Mais aussi Baudrillard, La société de consommation.

Francesca…) et les maîtres flamands ( Van Eyck, Van des Wayden…) Agé de 21 ans, en 1504, il quitte Pérouse pour Florence, (ville dont le climat culturel est davantage stimulant) dans le but d'assimiler les techniques de Léonard de Vinci (sfumato), de Michel-Ange, de Fra Bartolomeo, mais aussi de Bernardino di Betto (Il Pinturicchio). Le soutien de l'architecte Bramante conduit le pape Jules II à appeler Raphaël à Rome pour la décoration à fresque de trois chambres de son appartement au Vatican. Jusqu'à

grâce présidentielle a été refusée par Valéry Giscard d'Estaing. Juste avant d'être guillotiné, Christian Ranucci a adressé à ses avocats sa dernière volonté : « Réhabilitez-moi ». En janvier 2006, une nouvelle hypothèse apparait: le tueur en série Michel Fourniret aurait pu être de passage à Marseille en juin 1974, et peut-être commettre le meurtre de la petite Marie-Dolorès Rambla à la place de Ranucci...

LES PENSEES, Pascal. Etude du texte Liasse II. Vanité = Fragments 11 à 48. La dénonciation des apparences Vanité du rire et des apparences. Antithèse : ne fait pas rire >< font rire. Répétition de la racine « semble » D’après St Thomas, il faut préférer les riches aux pauvres.  Les vrais chrétiens respectent les folies (les conventions sociales) par respect pour la volonté de Dieu. Ex de la folie : la préférence des riches s’expliquent par le respect

aux folles de Jean Poiret est difficilement lisible. Non pas que les dialogues soient compliqués, mais encore une fois, même si l'on a une imagination fertile, il est difficile de croire que la scène où Poiret apprend à son partenaire et complice Michel Serrault comment tartiner ou porter une tasse à ses lèvres, donne le même effet lue que vue. Il est aussi possible d'envisager qu'Henry de Montherlant a fait sa déclaration avec une petite pointe d'amertume dans la mesure où ses pièces ne sont

chapitre premier, il traite l'intervention sociologique telle que la conçoit Alain TOURRAINE, décrivant son dispositif et les concepts fondant cette sociologie. Puis, au chapitre second, il est question de l'analyse stratégique menée essentiellement par Michel CROZIER et Erhard FRIEDBERG. Le troisième chapitre est consacré à l'analyse institutionnelle regroupant de multiples écoles ayant en commun une analyse critique de l'institution, une sociologie impliquée et des outils divers. Les chapitres 4 à 7 définissent