Michel De Certeau Braconnage Culturel

que, donnant raison au relativisme, on ne voie dans l’universel qu’une chimère, et dans l’idée d’une communication des cultures qu’une façon de se voiler la face devant des rapports de force qui ne concernent pas moins les « rencontres » inter-culturelles que toute autre manifestation de la vie sociale. Avant de préciser comment Ricœur répond à cette question préjudicielle, nous devons justifier, mieux que nous ne l’avons fait jusqu’à présent, notre décision d’éclairer la question de la tradition

crise environnementale : peut-on croire aux TIC vertes ? Responsable du projet : Fabrice Flipo (Telecom Ecole de Management) Contributeurs : Cédric Gossart (Telecom Ecole de Management) François Deltour et Bernard Gourvennec (Telecom Bretagne) Michelle Dobré (Université de Caen) Marion Michot et Laurent Berthet. SOMMAIRE SOMMAIRE ................................................................................................................ 2 RÉSUMÉ EXÉCUTIF ............................

et de cartographie des controverses Thèse soutenue le (6 janvier 2012) devant le jury composé de : Catherine Loneux Professeur à l’Université européenne de Bretagne/ examinatrice Gino Grammacia Professeur à l’Université de Bordeaux/ rapporteur Michel Durampart Professeur à l’Université de Toulon / rapporteur Antoine Matta Professeur à l’Université Libanaise / examinateur Walid Arbid, Professeur à l’Université Libanaise/ examinateur Christian LE MOENNE Directeur de thèse Zammar, Nisrine. Réseaux

par l’entremise du Programme d’aide au développement de l’industrie de l’édition (PAdie) pour nos activités d’édition. La publication de cet ouvrage a été rendue possible grâce à l’aide financière de la société de développement des entreprises culturelles (sOdec). Intérieur Mise en pages : inFo 1000 motS Couverture conception : richArd hodgSon illustration : m.c. eScher, Drawing hands, 1948, Lithographie. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 PUQ 2009 9 8 7 6 5 4 3 2 1 Tous droits de reproduction, de traduction

l’autre forme de modalisation. Il en est ainsi pour les adverbes, notamment, qui 1. Nous rejoignons Ducrot sur ce point : « l’analyse modus-dictum, si elle constitue une constante de la pensée linguistique occidentale, repose plus sur un parti-pris culturel que sur une donnée empirique. Ni les ‘faits’, ni le ‘sens commun’, ne révèlent avec évidence la frontière entre ces deux éléments, comme serait le cas, me semble-t-il, si leur opposition tenait à une hétérogénéité intrinsèque. Tout se passe comme