Michonneau

de ses objets en vermeil, les allées et venues de Vautrin. La deuxième journée voit le lever de Mme Vauquer troublé, le retour de Vautrin, de Goriot, de Mme Couture accompagnée de Victorine et celui de Rastignac. Après le déjeuner Poiret et Mlle Michonneau se promènent au Jardin des Plantes. Ensuite, le dîner. La troisième journée voit la visite de Rastignac chez Mme de Restaud, puis celle chez Mme de Beauséant. Ensuite le dîner à la pension, la passe d’armes avec Vautrin et les lettres à sa mère

un roman dans un roman, racontant l'histoire de Vautrin. Dans cette partie, plusieurs personnages quittent définitivement la scène, notamment un personnage principal, le plus trouble, le plus sombre de tous, Vautrin, ainsi que les couples Michonneau-Poiret et Victorine-Couture. IV. Le véritable dénouement : la mort du père Goriot dans la 4ème partie appelée « La mort du père » qui décrit cruellement la mort du personnage-titre lors d’un parallélisme contrastant entre un bal mondain et la

9 Le père Goriot de quatre chambres, dont deux étaient louées, l'une par une vieille fille nommée mademoiselle Michonneau, l'autre par un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d'Italie et d'amidon, qui se laissait nommer le père Goriot. Les deux autres chambres étaient destinées aux oiseaux de passage, à ces infortunés étudiants qui, comme le père Goriot et mademoiselle Michonneau, ne pouvaient mettre que quarante−cinq francs par mois à leur nourriture et à leur logement ; mais madame Vauquer

étage se composait de quatre chambres, dont deux étaient louées, l’une par une vieille fille nommée mademoiselle Michonneau, l’autre par un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d’Italie et d’amidon, qui se laissait nommer le père Goriot. Les deux autres chambres étaient destinées aux oiseaux de passage, à ces infortunés étudiants qui, comme le père Goriot et mademoiselle Michonneau, ne pouvaient mettre que quarantecinq francs par mois à leur nourriture et à leur logement ; mais madame Vauquer

étage se composait de quatre chambres, dont deux étaient louées, l'une par une vieille fille nommée mademoiselle Michonneau, l'autre par un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d'Italie et d'amidon, qui se laissait nommer le père Goriot. Les deux autres chambres étaient destinées aux oiseaux de passage, à ces infortunés étudiants qui, comme le père Goriot et mademoiselle Michonneau, ne pouvaient mettre que quarante-cinq francs par mois à leur nourriture et à leur logement; mais madame Vauquer

Le père Goriot de quatre chambres, dont deux étaient louées, l'une par une vieille fille nommée mademoiselle Michonneau, l'autre par un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d'Italie et d'amidon, qui se laissait nommer le père Goriot. Les deux autres chambres étaient destinées aux oiseaux de passage, à ces infortunés étudiants qui, comme le père Goriot et mademoiselle Michonneau, ne pouvaient mettre que quarante−cinq francs par mois à leur nourriture et à leur logement ; mais madame Vauquer

étage se composait de quatre chambres, dont deux étaient louées, l’une par une vieille fille nommée mademoiselle Michonneau ; l’autre, par un ancien fabricant de vermicelles, de pâtes d’Italie et d’amidon, qui se laissait nommer le Père Goriot. Les deux autres chambres étaient destinées aux oiseaux de passage, à ces infortunés étudiants qui, comme le père Goriot et mademoiselle Michonneau, ne pouvaient mettre que quarante-cinq francs par mois à leur 19 nourriture et à leur logement ; mais madame

l’impression d’être une sorcière. - « escompteur »,  « bagne », « entremetteuse ». Tout cela donne une vision péjorative de la pension Vauquer b. Un portrait à fonction prémonitoire - le bagne et Vautrain (vendu par Michonneau, réf : « Georges et Pichegru ») - l’escompteur : Vautrain prête de l’argent à Rastignac c. La méthode interprétative du romancier - assimilation de Mme Vauquer à la pension (citer : « sa jupe lézardée » :

chez mama Vauquer » comme tout les autres. Vautrin initie donc Rastignac à « l’Entrée dans le monde ». Cette troisième partie ce concentre sur Vautrin allias « Trompe la mort ». La découverte de son passé, la trahison de Poiret et mademoiselle Michonneau qui le dénonce à la police. Voilà pourquoi cette partie se nomme : « Trompe la mort ». La dernière partie se focalise, elle, sur la mort du Père Goriot, une scène mythique. On retrouve un père remplie d’amour pour ses filles au point de s’appauvrir

réalité à attendrir madame Vauquer pour éviter tout soupçon de sa part à l’égard de Vautrin. En partant, il parle toujours de ses affaires sans pour autant en divulguer la nature. Tous ses mensonges seront finalement dévoilés lorsque mademoiselle Michonneau et Poiret le dénoncent au responsable de la police, Gondureau. Tous les pensionnaires découvrent alors Vautrin sous son vrai jour, malhonnête, sans ses cachoteries destinées à masquer son identité. En réalité, Vautrin s’appelle Jacques Collin alias