Michonneau

La pension Vauquer et ses pensionnaires vient d’être évoquée. La description a été faite selon le critère de la fortune, description ordonnée selon la hiérarchie sociale. L’analyse se focalise ensuite sur les personnages : Monsieur Poiret, Melle Michonneau, Mme Couture, etc., et Vautrin. Vautrin a droit à un véritable portrait : d’abord un portrait physique, puis un portrait psychologique, portrait qui mène à l’évocation des mœurs (habitudes de vie). S’ensuit une conclusion qui laisse une impression

rêve de s’introduire dan la haute société Parisienne. Vautrin, lui est un mystérieux pensionnaire d’une 40ème d’années qui se fait passer pour un ancien commerçant. Ensuite, il y a Madame Vauquer, qui elle est chargée de la maison Vauquer. Mlle Michonneau est une vieille femme. Puis Bianchon qui est un étudiant en médecine. Madame Couture, elle est veuve d’un commissaire ordonnateur de la République française. Ainsi il y a Victorine Taillefer, une jeune femme qui habite avec Mme Couture. Christophe

très différents les uns des autres. On peut citer : Vautrin : un sombre garçon prêt à tout pour l’argent Le père Goriot : un vieillard démuni Victorine Taillefer : une fille ruinée après le décès de sa mère Eugène de Rastignac : un étudiant Melle Michonneau : une femme avec peu de morale 6- Eugène de Rastignac est venu à Paris afin d’étudier le droit. 7- Eugène de Rastignac s’adresse à ses sœurs et à sa mère en leur envoyant des lettres pour obtenir de l’argent. 8- Eugène de Rastignac est

au-dessus de lui, le pauvre homme!Il aimait jusqu'au mal qu'elle lui faisait."Père GoriotLe roman Le Père Goriot commence à Paris à l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue Nueve-Sainte Geneviève, sept pensionnaires habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le père Goriot.Rastignac est un beau, jeune et ambitieux homme qui vient d'une famille noble à Charente. Il arrive à Paris pour faire ses études de

" copie" du monde, il est visionnaire. Une description qui annonce la suite du roman, soit par ressemblance, soit par contraste : ' à la laideur s'oppose l'éclat, la splendeur de madame de B ; - à l'hypocrisie de V. correspond l'hypocrisie de Michonneau - les comparaisons animales se retrouvent dans le portrait de Poiret, au laisser aller de V s'oppose la volonté de Vautrin et de Rastignac - le règne de l'argent et l'hypocrisie se retrouvent dans tout le roman - l'importance du milieu est montrée

Mme Vauquer la propriétaire, Mme Couture un veuve et sa fille adoptive Victorine Taillefer, l’étudiant Eugène de Rastignac, le Père Goriot et ses deux filles Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud, la Vicomtesse de Bauséant, Poiret et Mlle Michonneau. Je n’est pas ressentie de sentiments particuliers en lisant toute cette première partie car cette partie est surtout basé sur la description de la pension de Mme Vauquier et ensuite sur l’étudiant Eugène de Rastignac qui tente d’apprendre le fonctionnement

lecture du mot « Trompe-la-mort » inopinément répliquer par Bianchon, cela renforce le coup de surprise, l‘interrogation et l’inquiétude par rapport à la manière dont Vautrin va réagir. Tout s’enclenche à partir de ce moment. Poiret vient en aide à Michonneau, pris de peur et de malaise à la vue de Vautrin qui la fixait de toute sa couleur comprenant que c’était à cause d’elle. Les pensionnaires sont d’abord éberlués « sans rien comprendre à ce drame, tous les pensionnaires restèrent ébahis ». Ils sont

FP CPEA 18/09/08 16:45 Page 1523 SCIENTIFIQUE & CLINIQUE Endodontie animée par Pierre Machtou et Dominique Martin Rubrique CPEA Chirurgie endodontique ou endodontie chirurgicale ? Bertrand Khayat* et Jean-Charles Michonneau** ÉVALUATION FORMATION CONTINUE 1 L o rs d’une chiru rgie endodontique, une simple résection apicale est ■ Vrai ■ Faux suffisante pour permettre une guérison. 2 La chirurgie endodontique est env i s a g e a ble uniquement lors de ■ Vrai ■ Faux l’échec

C'est un forçat évadé du bagne de Toulon, qui a été condamné pour un faux commis par un autre. Depuis 1815, il se cache à Paris sous le nom de Vautrin. Il est probablement trahi par un ancien camarade du bagne, surnommé Fil-de-Soie. À l'aide de Mlle Michonneau, qui découvre la marque « T.F. » sur l'épaule de Vautrin, on peut l'arrêter et l'envoyer au bagne de Rochefort. Vautrin a des cheveux roux et porte une perruque. Delphine de Nucingen Fille cadette du père Goriot, femme du baron de Nucingen

réalité un forçat. Il tient beaucoup à aider Eugène de Rastignac mais celui ci désapprouve les méthodes de Vautrin et refuse son aide. Vautrin est retrouvé par le chef de la police Bibi-Lupin mais celui ci ne peut l’emprisonner sans preuves. Mlle Michonneau trahit Vautrin en le droguant et en faisant apparaître sur son épaule droite les marques TF avec lesquelles ont marquaient les forçat. Vautrin est donc incarcéré au bagne de Rochefort. Vautrin réapparaît ensuite en 1822 dans Illusions perdues