Michonneau

en 1804. Balzac était monarchiste comme eux et étaient donc comme Bonaparte. Cela nous montre le comble de la trahison qu'à Vauquer. Balzac annonce aussi un terme qui sera développe ultérieurement : ce sera la dénonciation du bagnard Vautrin par Michonneau. l.28-29 : « les pensionnaires qui la croit sans fortune ». C'est dernier se trompe, elle a donc de l'argent et fait la comédie pour se faire passer pour pauvre. B ) Propos rapportés des personnages

de la présentation très complète des lieux et des personnages. Après avoir décrit la pension, le narrateur nous promène dans une véritable galerie où figurent la propriétaire Mme Vauquer, qui deux séries de figures groupées, la vieille demoiselle Michonneau avec Poiret, qui se ressemblent, et Victorine avec madame Couture sa gouvernante. Voici à son tour Vautrin. Puis sera évoquée la biographie de Goriot. Extrait du commentaire composé Figure majeure du roman réaliste, Balzac (1799-1850) est l'un

pleines de rides, les épaules larges. Il n'a pas de barbe, mais il porte des favoris peints. Il est presque toujours de bonne humeur, mais il est capable de se croire offensé, et à ces moments-là, il se fâche avec une rapidité inquiétante. - Mlle Michonneau n'est plus jeune, et a un visage sec ainsi qu'un regard blanc. C'est une personne qui n'inspire pas la confiance ; et, effectivement, elle dénonce un pensionnaire qui s'y cachait sous un faux nom. - Le père Goriot est pitoyable rentier de soixante

Rastignac parvient à gagner de l’argent en jouant à la roulette. Eugene de Rastignac apprend au père Goriot les soucis de sa fille ce qui le rend très triste. Rastignac prend gout aux soirées mais n’y gagne plus d’argent. Au jardin M. Poirer et Mlle Michonneau rencontre un policier qui leur apprend que Mr Vautrin est un forçat qui s'est évadé du bagne de Toulon. Celui-ci tue Victorine et se fait arrêté. Le Père Goriot, qui croyait pouvoir quitter la pension avec Rastignac pour vivre auprès de sa fille

Le roman Le Père Goriot commence à Paris à l'automne 1819. Dans la pension Vauquer, rue Nueve-Sainte Geneviève, sept pensionnaires habitent ensemble : Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac, et le père Goriot. Rastignac est un beau, jeune et ambitieux homme qui vient d'une famille noble à Charente. Il arrive à Paris pour faire ses études de droit et trouver fortune. Sa famille n'a plus de l'argent, mais il utilise son ancien

Victoire Dureté, brutalité Elle devient (cf roman l'auberge rouge de Balzac) victorieuse en héritant grâce a Vautrin Mademoiselle Michonneau ______________ _____________________ | | De miche Suffixe diminutif

• Un républicain obligé de cacher son identité sous cette époque de restauration • Un ancien forçat évadé • L’amant de Madame Vauquer, obligé de se cacher pour meurtre Qui l’a dénoncé ? • Bianchon • Mademoiselle Michonneau • Victorine Taillefer Que propose le Père Goriot à Eugène ? • De lui payer un appartement à Paris pour qu’il y vive avec une de ses filles • De lui acheter un château en Province • De quitter la France avec lui Qui paye

l'autre de sa soeur Laure, qui se font un plaisir de lui sacrifier leurs économies. II-Identification du texte • Quels sont les personnages présents dans cet extrait? -Eugène de Rastignac ,Mr de Trailles ,vautrin, Mme Vauquer, Melle Michonneau, Mme Couture et Poivret. • Quel point commun réuni ces personnages? -Ils sont tous réunis dans la pension Vauquer. III-Axes de lecture 1-Le statut du narrateur • Qui parle au début de ce texte? -Eugène de Rastignac. •

débarbouiller : là est toute la morale de notre époque. Honoré de BALZAC Le Père Goriot 1835 -Ah, ma foi ! dit Bianchon, mademoiselle Michonneau parlait avant-hier d’un monsieur surnommé Trompe-la-Mort ; ce nom-là vous irait bien. Ce mot produisit sur Vautrin l’effet de la foudre ; il pâlit et chancela, son regard magnétique tomba comme un rayon de soleil sur mademoiselle Michonneau, à laquelle ce jet de volonté cassa les jarrets. La vieille fille se laissa couler sur une chaise. Poiret s’avança vivement entre

Paris, automne 1819. Dans une pension miteuse de la rue Neuve-Sainte Geneviève, la maison Vauquer (du nom de sa tenancière), se côtoient des pensionnaires et des habitués du quartier qui ne viennent y prendre que le dîner . Ils ont pour nom Mlle Michonneau, Victorine Taillefer, Madame Couture, Monsieur Poiret, Bianchon, Vautrin, Eugène de Rastignac et le père Goriot. Quelques personnages émergent de ce groupe de pensionnaires falots : Vautrin, mystérieux pensionnaire d'une quarantaine d'années qui