Mickaël Vendetta

Toutefois, d’autres modes de résolutions de conflits on su perdurer et même prendre l’avantage dans certains domaines ou lorsque la justice publique semblait montrer des inefficacités. Si les modes de résolution de conflits s’apparentant à la vengeance (vendetta) ont été déclarés comme contraire au droit, d’autres moyens de résolution de conflits par la négociation (médiation ou arbitrage), très répandus avant l’apparition d’une justice publique clairement organisée, on su perdurer sous la forme de ce que

Dissertation portant sur la nouvelle une « Une vendetta» par Claudine Quévillon Travail remis à André Thérien dans le cadre du cours FRA 601 102 MQ gr. 06 Collège Montmorency le 21 novembre 2012 Suite à la révolution Française de 1848 et aux tensions et soulèvements qui furent engendrés par celle-ci, un nouveau courant littéraire en réaction contre le Romantisme émerge en France. Les auteurs délaissent les thèmes récurrents de ce courant, comme le mal de vivre, le néant et la mélancolie

sont inscrits à la craie sur le mur. Les Italiens, malgré ces abus, ont recours à lui à cause de leur ignorance. Ils se sentent gênés devant les patrons américains et n’aiment pas avoir affaire à eux. Quand un padrone en prend trop à son aise, la vendetta fait sa besogne, et la crainte du coup de couteau est le seul frein qui le retienne un peu. Les Italiens sont groupés à New-York dans deux quartiers qu’ils occupent exclusivement et dont l’un, fort pittoresque, a reçu le nom de Petite Italie

par le don de soi. Lorsque l’honneur d’un mafieux est bafoué, celui-ci va user de la loi du talion (« œil pour œil, dent pour dent ») et donc se venger de l’affront dont il a été victime, aussi insignifiant qu’il puisse être. On appelle cela la « vendetta » (vengeance). Plusieurs actes peuvent causer le déshonneur d’un mafieux : le fait de briser l’Omertà est l’ultime déshonneur. En ne se conformant pas aux autres règles, telles que l’interdiction du proxénétisme, de l’adultère, la désobéissance à

société des hommes et de la société des femmes (Nigritie, Micronésie), des sociétés secrètes, des rangs de femmes (Nord-ouest américain, Pueblos), de l'autorité, de la cohésion. Les femmes sont un élément capital de l'ordre. Ainsi, par exemple, la vendetta est dirigée par les femmes en Corse, comme elle l'est chez les gens de l'Ouest-Australien. Nous avons le texte de certains « voceros » composés par une vieille Australienne de la tribu de Perth dans la première moitié du XIXe siècle; ils sont remarquables

Della Rebia- du meurtre de leur père et dont la culpabilité n'avait soi-disant pas été prouvée par la justice. Elle lui fait bien comprendre qu'elle veut qu'il les venge, en tant que nouveau chef de la famille, et ce malgré ses réticences envers la vendetta (vengeance corse). Le lendemain, Colomba et Orso repartent pour leur village natal, Pietranera ; Lydia laisse à Orso une bague égyptienne, et tous deux espèrent se revoir bientôt. Arrivés au village , tous acclament Orso. Encouragés par sa sœur

qualifiées de modernes. La survie des sociétés passe par la construction d’un système souvent répressif, permettant de cantonner, d’édulcorer, éventuellement de rendre évanescente cette violence. Les sociétés primitives vivent dans la crainte de ces « vendetta infinis », de ces représailles sans fin qui mettent en cause la paix et l’harmonie sociale mais aussi la survie de tous. La pénologie (science qui étudie les sanctions encourues, leurs modes d’exécution et d’extinction) est univoque à ce sujet

violence, éventuellement sans limite dans sa quotité et dans sa durée, ainsi dans certaines populations du Caucase qui posent la règle que le sang ne sèche jamais et acceptent une vengeance inapaisable qui se transmet de génération en génération. La vendetta corse, telle que la décrit Mérimée dans "Colomba", pourrait procéder du même modèle. On peut dire alors que la vengeance correspond à un sorte de procédé de purification, le sang lavant le sang. Elle paraît si normale que les textes sacrés n'hésitent

Dans la nouvelle «  une Vendetta » de Guy de Maupassant parût en 1885, nous allons nous pencher sur la relation que la mère et la chienne entretiennent qui est d’ailleurs mise en avant dans le texte : Tout d’abord, nous pouvons dégager deux thématiques qui monopolisent le texte et unissent la mère et la chienne : celui de la souffrance, et de la vengeance. Dans un premier temps, nous allons aborder le thème de la souffrance : pour commencer, nous pouvons constater que la chienne est abattus, par

des guerres de religion résulte d'un enchevêtrement complexe de facteurs, aussi bien religieux et politiques que sociaux. Il est la conséquence des déchirements militaires et civils de la noblesse française entre catholiques et protestants, notamment de la vendetta entre le clan des Guise et celui des Châtillon-Montmorency. Il est le résultat d'une sauvage réaction populaire, ultra-catholique et hostile à la politique royale d'apaisement. Il reflète également les tensions internationales entre les royaumes