Micromegas La Religion

attaque ainsi les rois et les généraux, qui considérant le peuple comme de la canaille n’hésite pas à sacrifier sans les compter des vies pour leurs conquêtes. -Les louanges à Dieu, dans le but de légitimer la guerre, sont une critique en règle de la religion. II-Réalisme de la description -Renversement des valeurs : à la guerre tout est permis (incendie des villages) selon les droits du bien public. -Voltaire joue sur l’ironie constante autour du mot « héros ». L’oxymore fait ressortir la satyre :

Traité sur la tolérance letres philosophiques Euvres historiques : Le henriade l'histoire de charle XII le siécle de louis XIV Contes : Microméga Candide Zadig Tragédie : Zaire Mahomet IV Ses engagements : Voltaire avait de nombreux engagement ( contre l'esclavage , contre les erreur judiciaires , contre les religion qui donnait la peine de mort à certaines personnes pour « pas grand chose » … )

par sa culture comme le Huron de L'Ingénu, ou d'un vieux Tahitien (Supplément au Voyage de Bougainville) ; regard plus sociologique d'un « étranger » évolué, comme les Persans des Lettres persanes, l'extraterrestre venu de Saturne ou de Sirius (Micromégas). L'opposition entre ce monde nouveau et ce que connaît cet « œil neuf » favorise le développement de l'intrigue et la perception de l'étrangeté de l'univers décrit, par les réactions de surprise, de rejet ou d'admiration. Exemples : étonnement

œuvres. Les philosophes des Lumières ne se contentaient pas d'être de simples « penseurs », ils suivaient des objectifs bien précis. Leurs principaux buts étaient de dénoncer les failles dans le système politique ainsi que les abus exercés dans la religion. Ils défendaient donc l'idée de tolérance et d'une justice contre les discriminations et l’arbitraire. Face à l'intolérance et aux persécutions religieuses, les Lumières vont mener un combat dangereux : prison, exil, excommunication guettent l'auteur

Voltaire soutient que l’existance du mal, de la manque de la liberté absolu des êtres humains, pose des conflits profondes à l’harmonie et le bonheur dans la vie sur terre. Dans ce texte, ces thèmes s'addressent à l’idée d’une sorte d’universalité de religion qui propose Voltaire. En plus, les actions et les caracteristiques du personnage de Zadig représentent ce que Voltaire considerait essentiel pour apporter au monde le bonheur. Les thèmes du bonheur et de la destinée (ou la Providence) qui se présentent

conte philosophique. Voltaire est un des grands hommes du mouvement des Lumières, il dénoncera sans relâche et en utilisant différents genres, les injustices, les inégalités et l’intolérance. Il écrira des contes philosophiques, comme Candide et Micromégas, mais aussi des traités, des essais, des lettres ainsi que des articles de l’Encyclopédie. Candide est donc un conte philosophique, une des formes possibles de l’apologue, qui se doit d’être un récit divertissant comportant une moralité, un enseignement

au XVIIIe s, à la lutte contre toute forme d’obscurantisme et d’oppression de l’homme. Ce courant débute en 1715 à la fin du règne de Louis XIV. Les principes des lumières sont le règne d’une raison militante, le modèle naturel, la critique de la religion, la critique de la politique et l’évolution de l’esprit humain. 2) Qu’est ce qu’un philosophe des lumières ? Les philosophes ne sont pas toujours unanimes, mais ont malgré tout une sensibilité commune. Ils se font les défenseurs

à toutes les formes de la connaissance et des sciences, afin de transmettre à tous le savoir acquis jusqu’alors. Pour eux, « l’homme éclairé » est en opposition avec la « masse » qui elle est restée dans les « ténèbres ». En ce qui concerne la religion, les philosophes des Lumières ont des points de vue très différents, ce qui provoque parfois des conflits. II – Des auteurs et des œuvres Parmi les philosophes des Lumières les plus connus, on trouve : - Rousseau (1712-1778) : ses œuvres

chapitre 14, « Progrès de l'esprit de l'Ingénu », du conte philosophique de Voltaire, Jean-François Arouet de son vrai nom, L'Ingénu (1767) - Voltaire est un philosophe des lumières, auteur de plusieurs contes philosophiques, comme Zadig (1749), Micromégas (1752) et Candide (1759) ainsi que du Traité sur la tolérance (1763), entre autres. Il est contemporain des encyclopédistes Rousseau, Diderot et d'Alembert. - Ce conte relate l'histoire d'un jeune Huron, surnommé l'Ingénu « parce qu['il] di[t] toujours

: "il y a un autre magicien, plus fort que lui (le Roi), qui n'est pas moins maître de son esprit qu'il l'est lui-même de celui des autres" : montre le pouvoir de la religion sur les esprits à cette époque. Les rites religieux sont visés. C'est pour Montesquieu l'occasion de manifester son déisme (croit en Dieu mais pas en la religion). Le terme de la magie sert de fil conducteur dans la présentation expéditive et burlesque du dogme chrétien (Pape représenté comme vulgaire : illusionniste et manipulateur)