Microscope Optique

phases (ca ce n’est pas très important). Il faut retenir décondensation du pronucleus mâle de façon à rendre accessible les gènes du pronucleus mâle. Sur la diapo on peut voir quatre photos qui sont réalisées en microscopie optique, en l’occurrence il s’agit d’un microscope confocal, où on voit un ovocyte à différentes phases de la fécondation. C’est une observation à microscopie confocale à fluorescence. On peut voir le fuseau méiotique (1), un noyau spermatique qui est décondensé avec son réseau

dans un système optique, c'est-à-dire la lentille convergente dans ce cas-ci. Plus l’image est près du foyer, plus elle est nette. Pour comprendre le fonctionnement de la loupe, il faut savoir comment se forme l’image quand elle passe à travers une lentille. L’image se forme à l’aide de trois rayons principaux qui répondent comme suit : 1. Tous les rayons qui passent par le centre optique, identifié O sur mon schéma, ne sont pas déviés 2. Tous les rayons parallèles à l’axe optique (la droite correspondant

parallèle à l’axe optique. -Lorsqu’il arrive parallèle à l’axe optique, il ressort en passant par F’. Les 4 cas possibles : Cas1 Cas2 Cas 3 Cas 4 Cas 1 : objet réel à gauche de F, image réelle grandie et inversée. Cas 2 : objet réel entre O et F, image virtuelle rétrécie. Cas 3 : objet réel sur le foyer objet F’, image virtuelle formée à l’infini (non inversée), on dit que l’œil n’accommode pas. Cas 4 : objet virtuel obtenu à partir d’un autre système optique se situant

Montmorillonite de Wyoming Vibration de valence OH de H2O 2800 2200 1600 1000 400 Nombre d'ondes cm-1 Déformation de H2O élongation Si-O 4 - MEB et MET Electrons réfléchis ou retro-diffusés Faisceau incident d’électrons Photons X ou optiques Electrons secondaires Solide La microscopie à balayage d’électrons consiste en un balayage synchronisé, par lignes successives, de la surface d’un échantillon mince par un faisceau d’électrons monocinétiques et fins Le faisceau d’électrons

. . 73 2.3.5.3 le test des micronoyaux . . . . . . . . . . . . . . . . 74 2.4 Techniques communes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 76 2.4.1 Dosage protéique par la méthode au BCA . . . . . . . . . . . 76 2.4.2 Observations au microscope électronique en transmission. . 76 2.4.2.1 La microscopie électronique en transmission (MET). 76 2.4.2.2 Préparation des échantillons . . . . . . . . . . . . . 78 2.5 Analyses statistiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

centre. d. Les lunettes de vue, les appareils photogra-phiques, les loupes, les microscopes utilisent deslentilles convergentes. e. Dans le cas des systèmes optiques simplescomme les lunettes ou les loupes, il suffit de lesmettre sur le trajet d’un faisceau de lumière raison-nablement parallèle (comme la lumière du Soleil oud’un plafonnier d’une salle de cours) et de dépla-cer un écran derrière le dispositif optique afin derepérer l’existence d’un point de convergence des faisceaux . La lumière

Polynésie 2003 I- Des oscillations électriques à la cuve à ondes (9,5 pts) Correction http://labolycee.free.fr © A) Étude du vibreur a). uC(t) n'est pas une fonction périodique, car uC(t) ne reprend pas la même valeur à intervalles de temps égaux. Les oscillations sont amorties, il s'agit d'un régime pseudo-périodique. L'amplitude de uC diminue au cours du temps. b) E0 = [pic] à t = 0 s E0 = 0,5 ( 30.10–6 ( (4,0)² E0 = 2,4.10–4 J = 0,24 mJ c) à t = 30 ms E1 = 0,50 ( 30.10–6 ( (2,6)²

P02 : Diffraction de la lumière Objectifs ➢ Réaliser un montage permettant de mettre en évidence le phénomène de diffraction. ➢ Déterminer expérimentalement la longueur d'onde ( de la lumière émise par un laser. Diffraction : détermination du diamètre d'un fil Matériel : un laser, un écran blanc, un support de diapositives, des fils calibrés de diamètres exprimés en micromètre (µm) : 40, 60, 80, 100, 120 et 160, une feuille de papier format A4. 1. Eclairer l'écran (feuille

La lumière qui nous vient du Soleil est blanche, c'est-à-dire qu'elle est constituée de toutes les couleurs de l'arc-en-ciel. Selon sa couleur - on dit sa longueur d'onde - elle interagit plus ou moins avec l'atmosphère. Ce sont justement les plus courtes longueurs d'onde (la lumière bleue et verte) qui sont les plus diffusées par les petites molécules de l'atmosphère. C'est la diffusion de Rayleigh, nommée ainsi en l'honneur de Robert John Rayleigh (fils du célèbre physicien anglais John William

Wilhelm Conrad Röntgen Né le 27 Mars 1845 à Lennep et mort le 10 Fevrier 1923 à Munich,Wilhelm Conrad est un physicien allemand qui a découvert la radiographie à rayon x. Il a étudié à Zurich, puis a été professeur de physique à Strasbourg, à Giessen, à Wüzburg et à Genève. Il a découvert les rayons électromagnétiques (qu’il a appelé rayons x) en 1895. Il est admis à l’école d’Utrecht en 1862. Il épousera Anna Bertha Ludwig le 19 janvier 1872 à Apeldoorm. Ils ne pourront pas avoir d’enfants