Mieux Vaut L Inflation Que Le Chômage

l’efficacité de cet Etat providence, dans une économie mondialisée. Le modèle fordiste s’épuise. La stagflation remet en cause la relation chômage/inflation définie par Phillips. Les thèses libérales comme celles émanant des monétaristes comme M.Friedman récuse l’efficacité des politiques de relance pour faire reculer le taux de chômage. Il pose l’hypothèse d’un taux de chômage naturel résultant de toutes les imperfections qui entravent le libre fonctionnement du marché du travail et que seules des actions

investisseur. Microéconomie: Analyse formalisée sous forme d'un programme à résoudre. Fonction objective à optimiser et une ou plusieurs contraintes. Macroéconomie: fonctionnement d'une économie nationale, groupe d'agents économiques. Chômage, croissance, inflation, échanges extérieurs, répartition des revenus... Rapport macroéconomie/microéconomie. Toute macroéconomie a des fondements microéconomie. Le fonctionnement d'une économie nationale dépend du comportement des agents qui la constitue

on ne peut plus changer ni le décollage, ni les 9500 euros amassés. On doit essayer de vendre ces 5 places de manière à avoir le moins de perte possible. On tape un prix très élevé, et on descend si ça ne part pas : même à 5 euros, qui est toujours mieux que 0 euro. On ne se base que sur ce qui est encore variable, qu’on peut modifier. On peut donc vendre à n’importe quel prix du moment qu’il ne soit pas négatif. Deux heures avant le départ, que le vol soit déficitaire, on s’en fiche, c’est trop tard

vérifiées : - - A chaque fois qu’un produit est fabriqué, il y a une distribution de revenus. S’il n’y a pas de thésaurisation, ces revenus vont nécessairement venir alimenter une demande. Pour Say, il n’y a aucune raison de thésauriser, il ferait mieux d’épargner (au sens d’investir). Chez Smith et Say, épargne et investissement sont indifférenciés : « c'est l'accumulation des épargnes qui forme les capitaux », les épargnes représentent à la fois une absence de consommation de bien et un achat de

recevra quelle part de la production collective. Il revient pour mesurer ) quelle valeur on échangera et finalement combien sera consommé. Enfin, l’économiste aura pour mission de déterminer ce qu’on peut faire pour améliorer le sort collectif (mieux organiser la production ou les échanges). 2. Place de l’économie parmi les sciences a L’économiste comme scientifique Chaque domaine d’étude à son langage et sa manière de penser. En économie, on parlera d’O/D, élasticité, avantage

nominal – le taux d'inflation. Ex : placement de 1000 € à 5% to : 1000 (inflation : 4%) t1 : 1000 × 1,05 = 1050 pouvoir d'achat : 2 TV à 500 € 2 TV à 520 € Le placement a réellement rapporté 10 €. 1 € de t1 a perdu 4% par rapport à 1 € de to. L'inflation est mauvaise pour les rentiers. L'économie elle est favorable pour les rentiers car la BE limite une inflation à 2% maximum par an. L'inflation est positive pour les emprunteurs. Le taux d'intérêt

autres facteurs ( dont la productivité marginale décroîtra alors et permettra le rétablissement de la condition d'optimalité que l'on a écrit). Tout ceci implique une relation décroissante entre la demande d'un facteur et le prix de ce facteur. Ceci vaut pour tout facteurs de production, capitaux comme travail. Conclusion: En Admettant que l'agrégation des demandes et des offres des différents agents ne posent pas de problèmes nous sommes en mesure de définir les prix et les quantités d'équilibre

une baisse des recettes fiscales. En effet, l’augmentation du taux d’impositiondécourage le travail des plus dynamiques : à quoi sert de travailler beaucoup, puisque le supplément de revenu qui endécoule est prélevé par l’Etat, et l’épargne : il vaut mieux consommer. Ainsi, la quantité de facteurs de productiondiminue : il y a moins de travail et de capital disponible, ce qui entraîne une réduction de la croissance et donc desrecettes fiscales.Le deuxième moyen est le recours à l’endettement : l’Etat

ont joué à plein : l'Etat, les collectivités territoriales et les régimes de protection sociale ont maintenu le niveau de leurs dépenses, en dépit de la baisse des recettes fiscales et sociales engendrée par le recul de l'activité et la montée du chômage. C'est pourquoi les déficits publics ont dépassé les 8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2009 et 2010. Cette politique était nécessaire, mais elle a provoqué une forte montée de l'endettement public. La dette a ainsi franchi le cap des 80 % du

ont joué à plein : l'Etat, les collectivités territoriales et les régimes de protection sociale ont maintenu le niveau de leurs dépenses, en dépit de la baisse des recettes fiscales et sociales engendrée par le recul de l'activité et la montée du chômage. C'est pourquoi les déficits publics ont dépassé les 8 % du produit intérieur brut (PIB) en 2009 et 2010. Cette politique était nécessaire, mais elle a provoqué une forte montée de l'endettement public. La dette a ainsi franchi le cap des 80 % du