Mignonne Allons Voir Si La Rose

d'abord sur une invitation visible par un impératif « allons voir ». Cette initiation semble tout d'abord anodine, désintéressée. On peut le voir par la douceur des allitérations en m, n, s ainsi que des assonances en o dans les quatre premiers vers. Le rythme y est vif, entraînant avec deux syllabes dans le vers1. Le poète s’efforce ensuite de séduire la jeune femme grâce à une comparaison flatteuse et élogieuse. Pour cela, il compare le teint de la rose à celui de la jeune femme vers 6  « et son teint

ceinture de débris, lui dit-il. Natale s'avança. "laisse la là bas, nous ne sommes pas un centre d'accueil, quelqu'un d'autre viendra le ramasser" dit la femme d'un ton dur. Kira était en colère contre le commandant en second. "Non, je viens avec,et si vous voulez qu'elle reste la, alors je reste aussi" Natale allait protester, mais Maryu lui coupa la parole. "Ok Kira porte le à bord, mais attend que nous sommes là avant de l'ouvrir" Kira sourit au capitaine. «Oui madame, et merci!" dit le garçon

Type de vers: Octosyllabes 2) Composition du poème: 1ere strophe: une invitation adressée à une femme. 2eme strophe: Le poète déplore la fuite du temps. 3eme strophe: Un conseil de « vie » 3) Remarques stylistiques : Une métaphore filée antre la rose et la femme. Personnification de la fleur , procédés d'inspiration. Vocabulaire : Déclose : Ouverte Vesprée : Le soir (vesper) Las ! : Hélas ! Espace : Temps (espace temporel) Marâtre : Belle-mère Introduction 1) Présentation de

I- Invitation à la promenade / beauté de la rose (1ère strophe) : « Mignonne » -> Apostrophe - beauté de la femme – thématique de la beauté dès le début. « allons voir si la rose » -> invitation – poète et dédicataire – « rose » nbrx poèmes de Ronsard : « Comme on voit sur la branche », « Sonnet sur la mort de Marie » 4 premier vers -> la rose que le poète invite la jeune fille à aller regarder Vers 1-2 : ouverture de la rose – métaphore : humain / rose Couleur pourpre : érotisme -> symbole amour

15 Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait déclose1 Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu cette vesprée2 Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vôtre pareil. Las ! Voyez comme en peu d'espace, Mignonne, elle a dessus la place, Las ! las ! ses beautés laissé choir ! O vraiment marâtre Nature. Puisqu'une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir ! Donc, si vous me croyez, mignonne, Tandis que votre âge fleuronne3

Métaphore de la fleur La femme est désignée par le terme « Mignonne » au vers 1, au vers 7 et au vers 12. Ensuite le reste des vers renvoie eux à la rose au vers 2 et 3 « qui ce matin avait déclose, sa robe de pourpre au soleil ». La description de la « robe » au vers 3 avec les détails des « plis de sa robe pourprée » au vers 5 renvoie aux parures de la femme. On peut donc bien voir ici que la femme est décrite par le poète comme étant une rose. Il fait donc ici une métaphore filée de la femme. De même

chauffaient d’un coup de lumière crue. — Est-ce qu’il est arrivé ? demanda Prullière, qui entra, dans son costume d’Amiral suisse, avec son grand sabre, ses bottes énormes, son plumet immense. — Qui ça ? dit Simonne sans se déranger, riant à la glace, pour voir ses lèvres. — Le prince. — Je ne sais pas, je descends… Ah ! il doit venir. Il vient donc tous les jours ! Prullière s’était approché de la cheminée, qui faisait face à la console, et où brûlait un feu de coke ; deux autres becs de gaz y flambaient

LITTÉRAIRE À PARTIR DU POÈME « À CASSANDRE » DE RONSARD À Cassandre… Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avait éclose Sa robe de pourpre au soleil A point perdu, cette vesprée, Les plis de sa robe pourprée Et son teint au vôtre pareil. Las! voyez comme en peu d’espace, Mignonne, elle a perdu la place, Las! las! ses beautés laissé choir! Ô vraiment marâtre nature, Puisqu’une telle fleur ne dure Que du matin jusques au soir! Donc, si vous

V1 « nous vîmes » = le nous du couple amoureux – cf v34 « nous regardait d’un air fâché » : couple uni V2v3 : « ce beau matin d’été si doux » = rythme 2 + 4 + 2 = enjambement à l’hémistiche, rayonnement du soleil « ce » : adjectif démonstratif = ce jour précis = appel au souvenir commun, complicité Trois épithètes mélioratives: « beau » , « d’été » , « si doux » (adv d’intensité) => nature belle et douce en harmonie avec le sentiment amoureux V3 « au détour d’un sentier » = promenade

      Mignonne, allons voir si la rose          Qui ce matin avait déclose          Sa robe de pourpre au Soleil,          A point perdu ceste vesprée          Les plis de sa robe pourprée,          Et son teint au vôtre pareil.          Las ! voyez comme en peu d'espace,          Mignonne, elle a dessus la place          Las ! las ses beautés laissé choir !          Ô vraiment marâtre Nature,          Puisqu'une telle fleur ne dure          Que du matin jusques au soir !          Donc, si vous me