Migrations germaniques

Leçon : « NAPOLEON III ET L’UNITE ITALIENNE » Introduction : Président de la République de 1848 à 1852, puis empereur de 1852 à 1870, Napoléon III a joué un rôle capital dans la mise en place d’une Europe des nationsau 19e siècle. Partisan convaincu du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, proche des carbonari italiens pendant sa jeunesse, il s’est toujours senti concerné par les aspirations des patriotes transalpins. A partir du milieu des années 1850, il se fait le champion de l’unité

objectifs principaux : • Mieux connaître le monde du Moyen Age • Se familiariser avec une légende du monde germanique • S’entraîner aux modes de recherche efficaces • Rédiger un texte dans le style journalistique • Produire un objet représentatif et le légender • Travailler en groupes • S’exprimer devant un groupe Allemand : Etude d’une légende germanique à l’aide d’une version adaptée en langue française. Ici se situe le plus gros problème. Il est facile de trouver

nom de l’unification des peuples germaniques . Fustel de Coulanges, le Français, et Mommsen, l’Allemand, incarnent deux thèses opposées quant à l’appartenance nationale des peuples : Pour Mommsen, la nationalité ne peut pas s’acquérir, elle est le produit de la nature et ne dépend donc pas de la volonté des individus. On naît Allemand, on ne le devient pas : c’est le droit du sang. En conformité avec cette thèse, il estime que l’Alsace, terre germanique, doit être allemande. Pour Fustel

important schisme → dérives théologiques → Apparition de différents courants. * Guerres (non cupides) au nom de la religion I) Chronologie : * IIIème siècle : Origine méconnue mais Entrée dans l’Histoire marquée par les intrusions germaniques dans les frontières de l’Empire Romain → Ralliement temporaire au peuple Romain pour la défense du territoire en échange de terres → Acquisition de Force au niveau de l’organisation militaire, stratégique et économique * Début du Vème siècle :

déroulée au sein de la confédération germanique. Les révolutionnaires soutiennent des revendications d'unité nationale, de liberté et de démocratie. Parmi les Principautés allemandes, c'est dans le grand-duché du Pays de Bade que commença la révolution, et celle-ci se propagea en l'espace de quelques semaines dans les autres États de la Confédération. Le parlement de Francfort se réunit dans l'église Saint-Paul afin de transformer la confédération germanique en un état fédéral avec un empereur à

l’apodose de la détente (26-29) A – La césure de 1926 - l’entrevue de Thoiry B – Mais l’espoir de poursuivre la détente - Briand Kellog (28) et UE (29) : entre réussite et échec - Détente économique : EIA (27), traité de commerce, Ligue d’études germaniques (28) C – Nouveau contexte, nouvelles incertitudes - crise économique : All notamment - mort de Stresemann (29) : la France en deuil - des litiges en suspens : rhénanie ok, mais pb réparations Un couple qui n’a su saisir la fenêtre d’opportunités

au sein de la «Confédération Germanique » : Impact de la Révolution Autrichienne En 1848, l'Allemagne n'existe pas officiellement, le peuple allemand est réparti dans plusieurs États formants la « Confédération Germanique ». (voir carte) La « Confédération Germanique » est composée, entre autres, de deux États plus importants que les autres : l'Autriche et la Prusse. Jusqu'en mars 1848, l'Autriche de Metternich a un rôle de gendarme sur la confédération germanique. Le 13 mars 1848, Metternich

p. 91) Rép. : 6. Dès le IIIe siècle, la cohésion de l’Empire romain commence à s’effriter. Les institutions publiques et les activités économiques se dégradent. Cette tendance à la désorganisation s’aggrave avec l’arrivée des peuples germaniques qui dévastent les territoires avant de s’y installer. Au-delà des déprédations, du recul des conditions d’existence, ces peuples mettent en place des institutions bien différentes des institutions romaines. Ils sont moins préoccupés par l’efficacité

rituel n'est pas entièrement conforme à celui impliquant des bateaux enfouis, l'on peut penser que l'importance de la construction d'un tertre comme fermeture de rituel reste un point commun à tous les Scandinaves, peut-être même à tous les peuples germaniques non christianisés. Si les textes nous permettent d'en apprendre plus sur différents aspects de la vie des scandinaves, l'archéologie nous en apprend énormément sur la façon de vivre de ce peuple, notamment concernant leurs rites funéraires, dont

Amalwin, fils du comte Hagmar, l'un des vassaux favoris de Charlemagne, est seul survivant de la prise de Brün, au cours de laquelle sa famille et tous ses compagnons sont massacrés par les Saxons révoltés. Grièvement blessé et mentalement diminué (des crises de démence s'emparent quelquefois de lui et il devient alors l’un de ces Berserkers, les guerriers fous que les Germains croyaient habités par Odin, le dieu de la guerre), il est admis à l’école des armes d’Aix la Chapelle, grâce à la protection